|
|
Ora
18/10/2016
a aimé ce texte
Passionnément
|
Magique! Je plonge mon regard en vos mots comme je le ferais dans une boule de cristal ou sur les mots jaunis d'un vieux grimoire qui révèle ses secrets par la poésie des mots. J'y vois la merveille d'un amour où se mêlent le réel et l'irréel dans une danse magnifique.
Mes passages préférés: J’effeuillerai le temps des couleurs de l’aurore Et qui lit dans le vent le cantique des brumes Bravo! |
papipoete
25/10/2016
a aimé ce texte
Bien
|
néo classique
un poème de promesses pour cette " fille brune des lacs " que le héros se promet de réaliser, empli des fièvres de l'amour . NB le 1er et 4e vers ont des rimes non accordables ( masculine/féminine ) " diadème " se prononce en diérèse ( 13 pieds ) la ponctuation est cruellement absente ! papipoète |
LeopoldPartisan
31/10/2016
a aimé ce texte
Un peu
|
Est ce le néo-classissisme de cette oeuvre qui me perturbe, mais de nouveau après cette lecture agréable et bien structurée aux images riches, j'ai à nouveau l'impression que la poésie est définitivement morte à la fin du 19ème siècle pour nombre de versificateurs et cela me déprime au plus au point. Tant de talents aux services du manque d'originalité me confondent. désolé...
|
Donaldo75
31/10/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour,
Un poème bien rythmé, équilibré et agréable à lire. Le premier quatrain décrit bien le sentiment pictural de l'amour. Le second quatrain est évocateur, avec un vocable féérique; la ponctuation, ou plutôt son absence, rend la lecture fluide. Le troisième quatrain termine bien ce court poème, avec toujours ces références classiques (fées, orant, cantique) et religieuses qui donnent le ton général de l'ensemble. Réussi. Merci pour la lecture, Donald |
sourdes
16/11/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour AxelDambre,
dès le début, j'ai été attiré par le rapprochement des couleurs et des situations. Par exemple le bleu naufragé, la couleur la plus froide et "les couleurs de l'aurore" dont on sait qu'elles évoluent progressivement vers les couleurs les plus chaudes. Le paroxysme du chaud et du froid est atteint au troisième vers de la seconde strophe, par le rapprochement de la Nubie, "diadème candace" et de la Scandinavie, "secret des runes", si j'ai bien compris. L'éclat du diadème et le crypto-alphabet. Le dernier vers conclut avec un rapprochement de l'amour et des frimas qui m'invite à penser que votre poème pourrait être à la fois un hymne, le chaud, et une élégie, le froid. Sur la forme néo-classique du poème, je partage les remarques déjà faites. Merci pour cette invitation délicate. |
Anonyme
16/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonsoir,
Un beau poème servi par des quatrains aux vers de qualité, même si je regrette un peu l'absence de ponctuation. Ceci dit, cela ne m'a pas tant dérangé que ça, donc bravo ! Wall-E |
HadrienM
21/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Joli cantique.
L'écriture est assurément puissante : l'érotisme latent de ces vers est permis par une fluidité et une solidité des images. Le poète est un "orant incroyant". La bouche du poète est d'or et d'astre. On croirait Salomé un homme. Le poème est excellent ; compliments. Bien à toi, |
Pouet
17/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bjr,
Rien de très constructif à dire si ce n'est que j'ai beaucoup aimé lire. Certes la forme est classique, le fond aussi d'ailleurs. J'ai toutefois fort apprécié ces vers, les images, les tournures... Il se dégage une réelle force évocatrice de ce poème. J'ai appris "candace", l'équivalent de pharaon pour une femme si j'ai bien compris. Bref il est parfois difficile d'exprimer pourquoi l'on aime (ou pas) un texte. Question de "sensation" je pense. Au plaisir. |
MissNeko
17/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour
Il y a beaucoup de magie et de délicatesse dans votre poème. J t ai vu une dualité entre des vers, des mots qui évoquent la vie et d autres la mort ( naufragés, ultime saison). Un beau moment de lecture. |
emilia
18/11/2016
|
Trois quatrains riches en évocation qui semblent sublimer un amour intense mais perdu, ce que laisse suggérer le terme « naufragé »…, me rappelant à la fois le célèbre vers d’Aragon : « J’ai tout appris de toi… » et celui de Brel réunis : « Je t’offrirai des perles de pluie… » ; ici, le chevalier servant s’agenouille aux pieds de sa belle comme pour lui adresser une prière et mieux la retenir, lui offrant une fleur et des bijoux : « un œillet, une opale de lune et un diadème » pour la couronner reine, sans oublier « le secret des runes » cette antique sagesse astrale et mystique permettant d’exprimer de façon symbolique une certaine divination qui peut atteindre l’illumination, jusqu’à « lire dans le vent le cantique des brumes… » ; un zeste de mystère légendaire et de charmantes images comme « effeuiller le temps », malgré les mots « crucifère et candace » certes très « savants » qui apportent une sonorité moins agréable, me semble-t-il…Au final, le feu de l’amour éteint par les frimas et qui s’achèvera « noyé »… peut-être pour échapper à une certaine forme de servitude…
|
hersen
18/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'aime beaucoup votre poème, chaque lecture supplémentaire m'apporte plus de plaisir;
je ne peux malheureusement pas être utile à grand-chose car je ne sais pas décortiquer un poème que je dirais si complet; Je ne sais pas décortiquer un poème tout court, pour dire la vérité. Complet dans les images qu'il offre et dans le sentiment qu'il laisse après lecture; Mais même sans pouvoir en parler mieux, ou en tout cas de façon constructive, j'avais envie de vous dire cela, que je l'aime. hersen |
SaintEmoi
21/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour,
J'aime l'ambiance de votre poème, ses fleurs, ses bijoux, et cette nature poétique que sont les aurores, les aubes, les brumes. Merci pour ce voyage? |