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Queribus
21/1/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Une première remarque tout d'abord: votre texte me semble bien trop long et je pense qu'il aurait pu donner naissance à trois ou quatre textes plus synthétiques. Ceci dit, l'écriture me parait très moderne et très intéressante, bien ancrée dans notre époque; les mots s'enchainent harmonieusement les uns les autres avec de nombreuses images poétiques qui se succèdent. Il faudrait voir ce que tout cela donne avec voix, musiciens, accompagnement, et. En conclusion, à part la longueur, j'ai bien aimé votre écrit. Bien à vous. |
Miguel
25/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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D'abord un peu rebuté par la longueur de ce texte, j'ai eu l'imprudence d'y jeter un oeil, et j'ai été happé par l'engrenage de ces trouvailles poétiques. Une atmosphère de déréliction entretenue pas des images fortes, des choses neuves, de belles inventions, une force qui ne s'essouffle pas, un régal.
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Cyrill
26/1/2022
a aimé ce texte
Bien
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J’ai trouvé dans cette longue réflexion de belles formules, percutantes dans leur sens comme dans leur sonorités. Pour exemple :
« Mon cœur est noir et périssable Mon dieu est pernicieux Et mon autel est battit sur du sable » « J'ai passé le stade de la surprise J'ai pas la date mais je suis désigné J'ai pas hâte mais je suis résigné » Ce n’est pas un texte qui s’apprivoise facilement eu égard à des longueurs parfois dispensables, mais au final il en reste quelque chose. |
papipoete
2/2/2022
a aimé ce texte
Bien
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bonjour BaalHasoulam
Votre texte a comme votre pseudo, le défaut d'être fort long ; présenté sous forme de prose, il put se lire plus aisément ? Toujours est-il, qu'on vous lit avec soin, concerné que nous sommes par cette question " ai-je connu le paradis et l'enfer sur Terre, et retrouver pareille situation dans l'au-delà ? " NB moi, je suis persuadé que sur notre planète, nous rencontrons de près ou de loin ces phases de vie ; nous pouvons jouir à l'Eden terrien, et goûter à l'enfer au même endroit ! Quand au paradis de Saint Pierre j'en pense de même ! Et parfois se dire que les flammes de Satan sont " feu de paille ", par rapport à ce que nous pouvons traverser " en vrai ! " Finalement là-haut ou ici, ce doit être kif-kif... Un poème que vous pûtes soumettre à Salvator Dali, qui put en faire une remarquable fresque ! Techniquement on ne met pas de majuscule en retour de vers libre...surtout si vous ne ponctuez aucunement ! |
Ascar
2/2/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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un texte qui noircit la page et l'ambiance...
Je me suis demandé pourquoi ce titre : 21 grammes ? En recherchant une réponse, je suis tombé sur la théorie de la masse de l'âme qui ferait 21 grammes et du film éponyme que je ne vais pas manquer de visionner d'ici peu. Bref, je comprends mieux votre texte qui, malgré sa longueur, m'a tenu en haleine jusqu'au bout avec l'impression de défricher une terre vierge. Des images fortes et originales rendent cette rage sous-jacente presque palpable sans pour autant que je puisse la définir comme rage de vivre ou de détruire. Un peu des deux peut-être ? Au final, une lecture envoutante qui aurait pu devenir exaltante avec un agencement plus aérien des idées. |
Marite
2/2/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Cette très longue tirade me fait penser à l'amertume et au sentiment d'abandon ressenti suite à un "pélerinage solitaire". Peut-être une recherche spirituelle précipitée et difficilement conciliable avec la société actuelle. Une belle écriture et un beau souffle poétique qui transmet l'immense déception d'une âme qui, malgré tout, espère encore avec les trois dernier vers :
" J'ai les pieds sur terre Et j'ai jeté mes rêves Comme une bouteille à la mer" |
LouValette
2/2/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai adoré ton poème: sa musicalité, son rythme, sa sincérité…
Je le trouve très accrocheur, beau et sans prétention. Il m'a piqué tout de suite ! En bonne mélomane, je l'ai aussi pensé en rap (je ne sais pas si c'est une idée qui te plaira ni même qui convient à ce texte mais j'y ai pensé). Au plaisir de te lire ! |
Pouet
3/2/2022
a aimé ce texte
Bien
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Salut,
j'ai bien aimé ce texte peut-être sous forme de confession ou d'introspection. Il y a un certain souffle, comme une urgence à dire. Toutefois, il me semble qu'un ressenti brut, factuel, qui se mue en métaphores, en images, tend à une plus large portée, une amplitude différente . Que "fait-on" de ses angoisses, de son mal être ? Les dire et les exposer peut soulager et faire poésie bien sûr, mais il me semble que les "transformer" est un défi d'autant plus prenant et complexe tant pour l'auteur que le lecteur. Voilà un peu mon impression de lecture Ceci étant ce n'est que mon avis n'ayant en aucun cas valeur d'une quelconque "vérité". Au plaisir. |