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Absolue
16/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Même si certaines rimes sont boiteuses (certains vers ont 7 pieds), je trouve l'ensemble très réussi. On imagine la marin, le visage dans le sable, qui se réveille, tout étonné d'être encore en vie. J'ai bien aimé le "Et tout humide encore de ta bave"... Encore, encore!
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baboo
17/11/2007
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Sept pieds, où ça ?
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Absolue
17/11/2007
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Je voulais dire 13... Voir en mp le détail:-)
Mais je me répète, c'est un très bon poème! |
bernalot
18/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Absolue m'ôte les mots de la bouche !
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strega
25/12/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Je continue ma promenade dans Oniris et tombe sur Naufragé. D'emblée le titre m'interpelle et pour cause, ma subjectivité pour les poèmes maritimes n'est plus à prouver depuis l'Albatros. Mais je me suis laissée rouler, submerger par la vague maritime, mais jamais noyer. Ce poème est très bon (pour ce que vaut mon avis...). Malgré le sujet, maintes fois traité, le poème reste original. Il est très visuel et dans le même temps très aérient, paradoxe non? Je persiste et signe : "E il naufragar m'è dolce in questo mare". Merci beaucoup pour cette évasion (tardive :)]
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clementine
26/12/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Et bien, moi, grâce à la lecture des derniers commentaires, me voilà en train de lire un poème que je ne connaissais pas.
On ne peut tout lire hélas! Et là franchement, c'est un peu l'extase, car j'aime énormement. Je n'ai pas compté les pieds, car peu m'importe du moment que je suis emporté par la magie des mots et la beauté des images. J'en ai encore le goût du sel sur mes lèvres et l'odeur de l'océan dans le nez! Pas un vers ne dénote même légèrement, j'aime particulièrement les premiers . Bravo. |
Anonyme
10/5/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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En vous lisant me revient en mémoire un film que j'ai vu la semaine dernière qui s'intitulait "Tempête", c'est effrayant de voir cette étendue d'eau en mouvement, déchaînée, c'est vraiment terrifiant. Votre écrit est d'une grande exactitude, la peur de l'homme face à sa colère mais aussi cette volonté farouche de survivre coût que coût, mais hélas bien peu y parvienne, même les plus expérimentés ne sont pas préservés, comme le dit Renaud, "c'est pas l'homme qui prend la mer, mais la mer qui prend l'homme".
J'ai lu beaucoup d'écrits à ce sujet, ce n'est pas un de plus, car vous avez su me captiver, m'émouvoir avec vos mots très prenants, très réalistes, sans ambages. J'en retiendrai ces deux strophes : "Par la grâce touché, tout à coup le dormeur Sort des flots du sommeil sa figure hagarde, Se redresse, s'effraye, réalise et regarde. "Mon Dieu, je suis en vie, quelle joie, quel bonheur !" "Car la mer m'a roulé comme un galet, parmi Les morts gonflés et mous se heurtant à l'épave, Et je suis tout humide encore de ta bave Qui colle sur ma peau le sable où j'ai dormi". |