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Vincent
14/6/2015
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je suis extrêmement surpris
de la brièveté de votre texte et surtout de son contenu je n'y ai rien trouvé, ou ça m'a échappé |
marimay
6/6/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce qui est écrit est bien écrit et bien pensé : un homme arrêté pour avoir osé regarder des étoiles, un autre parce qu'il a des dessins en couleur.
La fin est bien trouvée car elle justifie la brièveté du texte. J'imagine que le prisonnier n'a à sa disposition qu'un tout petit morceau de papier. Elle est bien trouvée mais en même temps elle limite fortement le contenu. En la modifiant un peu (Marie, merci de m'avoir fait parvenir de quoi écrire), cela permettrait d'étoffer le poème : j'aime beaucoup et je reste sur ma faim. Qui seront ces autres ? Quels "crimes" ont-ils commis ? Qui sont ceux qui les arrêtent ? Pourquoi les arrêtent-ils ? |
Robot
29/5/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Dans sa brièveté ce texte exprime beaucoup de chose, sur l'intolérance, la liberté d'expression. J'aime particulièrement cette phrase de conclusion qui laisse le récit ouvert pour le lecteur et pour ma part m'interroge. L'écriture est-elle aussi subversive dans ce monde là, comme la littérature dans Farenheit 451 ? L'idée initiale de ce poème m'apparaît dans la veine du texte de Bradbury.
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Anonyme
30/5/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Petit texte sans prétention bien écrit. En si peu de mots, un monde terrible est révélé dans lequel l'art, le rêve, sont apparemment devenus des crimes. J'ai bien aimé. "Demain, d'autres viendront." Ce passage me rappelle une chanson des années soixante dix de Triangle, un groupe pop français aujourd'hui oublié, qui s'intitulait "Peut-être demain" Toujours en nous cette peur enfouie du totalitarisme qui écrase l'homme libre, qui hait la poésie et l'évasion de l'esprit. C'est sûr qu'après l'assassinat de Charlie, la prise de Palmyre, ville aux trésors culturels irremplaçables, et le martyre de ses habitants, on peut redouter le pire. Même si votre texte ne ressemble pas réellement par sa composition à une poésie, ce qu'il véhicule a une portée immense. "Oh Marie, si tu savais, tout le mal que l'on m'a fait..." chantait Johnny ( un personnage que je ne vénère vraiment pas d'habitude). Je vois dans ce prénom un symbole, Marie, la mère du Christ. Est-ce une nouvelle guerre de religions aux prémices de laquelle nous assistons actuellement, et votre petit billet en raconterait une simple petite anecdote future. Bravo à vous pour inspirer tant d'images d'un chaos probable avec des moyens si dérisoires (comme un prisonnier démuni de tout au fond de sa cellule). A vous relire. |
Lunar-K
6/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un petit poème qui interpelle et c'est à vrai dire bien malheureux... L'écriture est sobre, dépouillée, sans le moindre jugement en fait et pourtant profondément "politique". Et si le narrateur, de même que ses nouveaux compagnons de cellules se trouvent réduits au silence, dépossédés de leurs forces expressives propres, ce n'est peut-être pas de la façon que l'on croit, pour les raisons que l'on croit non plus. Je veux dire que la prison en elle-même n'est sans doute pas ce qui les contraint au mutisme, du moins n'est-ce pas là le procédé le plus efficace... Au contraire de l'impératif financier terriblement exprimé dans cet ultime requête du narrateur à Marie. Le bagnard que vous nous présentez est en fait tout à fait "libre" de s'exprimer et d'exprimer ce qu'il veut, à partir du moment où son expression est "rentable" et profite au système qui la bâillonne. La voix n'a plus lieu d'être, n'est plus audible que convertie et réappropriée. Un poème à mon avis moins caricatural qu'on ne pourrait le penser de prime abord donc, un poème qui va droit au but et écrit dans l'urgence d'une parole qui semble avoir trouvé ou s'être conditionné la faille même infime dans laquelle il s'engouffre pour nous parvenir. Et rien que cela nous met un peu de baume au coeur, signe d'un espoir pas tout à fait mort. Nul besoin d'ajouter que j'ai été profondément touché par ces quelques mots, par leur nécessité. Au plaisir de vous lire. |
Arielle
14/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai été touchée par ce peu de mots qui laissent entendre tellement de choses. Il me rappelle une lettre que je possède, écrite par un prisonnier sous la Révolution, obligé de vendre deux de ses mouchoirs à un gardien pour recevoir une lettre de sa femme, elle-même emprisonnée ailleurs ...
L'émotion est là, la construction est impeccable, la poésie se trouve dans les raisons d'incarcération (les étoiles, les dessins qui paraissent pénétrer dans cette cellule avec les prévenus) Vous esquissez avec justesse, en quelques traits, un univers terrifiant dans lequel ni l’art, ni la science n’ont de place alors que règne la corruption (pour quelques sous) Une forme de poésie du quotidien à laquelle on ne peut rester insensible tout en souhaitant qu’elle ne témoigne jamais une réalité vécue. |
Anonyme
14/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour bakou. Quelques lignes sobres mais essentielles qui ouvrent sur un univers carcéral où règne en maitre absolu l'obscurantisme ... Un court poème qui laisse au lecteur le soin d'imaginer la suite de ce récit... Je crois que je n'ai jamais lu plus bref et plus vaste à la fois. Vous poussez une porte étroite, celle des prisons politiques qui prolifèrent encore et toujours à travers le monde. Merci !
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Anonyme
14/6/2015
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Bonjour bakou
Dans cet univers qui pousse chaque jour les limites de l'abjection, les motifs d'incarcération de manquent pas : écouter de la musique, danser, boire de la bière, manger du porc, jouer au ballon... la liste n'est pas exhaustive. Si vous aviez choisi deux de ceux-ci, votre lettre n'aurait eu que valeur de témoignage. Mais en choisissant "pour avoir observé les étoiles" et pour détenir des "dessins en couleurs", ce simple témoignage devient poésie. Merci bakou pour ce texte à la fois très simple et très fort. |
Gemini
14/6/2015
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J'ai vu de suite le dessin de Mordillo, du gars embarqué pour avoir peint sa maison en rose et j'ai pensé aussi à Brazil (dix sous !), sous l'influence d'Orwell, qui suivait un rêveur ayant mis le clignotant sur la ligne droite.
Au même titre qu'un bon dessin dit plus qu'un long discours, ce texte bref semble être un épigramme porté par l'humour. |
papipoete
14/6/2015
a aimé ce texte
Bien
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bonsoir bakou; avec de tels " pécheurs ", je pense qu'il ne se passera pas de drame dans votre cellule! Que d'autres de cette trempe vous entourent, il vous faudra de quoi écrire, pour graver au crayon tout ce qu'ils pourront vous raconter, et peut-être même dessiner des étoiles?
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Anonyme
14/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est la brièveté du poème - c'est-à-dire du propos - qui en fait toute sa force.
Le fait de se faire arrêter pour avoir simplement observé les étoiles ou avoir sur soi des dessins tout en couleurs est bien sûr incompréhensible, mais tout à fait plausible dans un état totalitaire poussé à l'extrême. Il suffit que le despote proclame tel ou tel interdit - peu importe lequel - pour que la non-observation des règles ainsi établies envoie directement l'auteur(e) du délit en prison, sans autres explications. Je rejoins le commentaire de "Robot" en ce qui concerne l'un des romans culte de Ray Bradbury, "Farenheit 451", ou le simple fait de détenir un livre est jugé comme un crime. Ainsi les pompiers - sensé éteindre le feu - ont pour mission de brûler tous les livres qu'ils découvrent. Dans le même ordre d'idées - mais un peu plus éloigné tout de même - lire absolument le célèbre "1984" de George Orwell dans lequel figure le célèbre "Big Brother". Bien à vous, Wall-E |
Anonyme
15/6/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Je suis nouvelle sur Oniris, et j'ai lu toutes les publications récentes avec beaucoup d'attention. Je dois vous avouer que votre texte m'a surprise et particulièrement émue. Il ressemble à une page arrachée d'un roman, et j'aimerai beaucoup qu'il y ait une suite.
Le monde que vous dépeignez à travers ces lignes n'est pas fictif, il existe de par le monde, des endroits où rêver est un crime, où penser est passible de la peine capitale... Merci pour ce poème court et puissant. |
jfmoods
15/6/2015
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Je ne comprends pas la virgule avant le second « alors que ». La situation est pourtant la même que pour le premier. Lorsque s'exprime une simultanéité des actions, on ne met pas de virgule. Lorsque s'exprime une opposition des actions, on met une virgule.
J'aurais encadré le complément de temps de virgules... « J'ai entendu dire que, demain, d'autres... » Je partirai de l'hypothèse que la concordance défectueuse des temps dans la dernière phrase est voulue. La brièveté de ce texte est à l'aune de l'urgence qu'il véhicule. La contre-utopie qu'il met en lumière en ramène d'autres à la surface. Parmi les plus récentes, la sombre nouvelle « Matin brun » de Franck Pavloff, dans laquelle il est justement question de couleurs. D'emblée, la négation (« ne... plus ») libère l'espace intime jusque-là cloisonné vers une ébauche d'ouverture, vers la perspective d'une solidarité de groupe face à l'arbitraire de l'emprisonnement. Les seconde et troisième phrases font immanquablement penser à ce passage de Candide... « … on vint lier après le dîner le docteur Pangloss et son disciple Candide, l'un pour avoir parlé, et l'autre pour avoir écouté avec un air d'approbation : tous deux furent menés séparément dans des appartements d'une extrême fraîcheur, dans lesquels on n'était jamais incommodé du soleil... » Le propre du totalitarisme est d'élargir son emprise par l'intoxication verbale (« J'ai entendu dire que... d'autres viendront. ») afin de tuer dans l'oeuf toute vélléité de révolte. Cependant, la cooptation des richesses par quelques-uns jette la masse de la population dans la misère. Le pouvoir se trouve donc invariablement gangrené de l'intérieur, au bas de l'échelle (« dix sous au gardien », modalisation : « pourras » au lieu de « pourrais » marquant plus fortement l'évidence) ainsi que dans les échelons intermédiaires, par une corruption sourde qui, généralisée, se trouvera peut-être en mesure d'alimenter, à plus ou moins long terme, les bases aujourd'hui fragiles d'une insurrection future. Merci pour ce partage ! |
Francis
15/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Dans certains pays, dans certains systèmes où règne la pensée unique rêver devient un crime. Il faut baisser la tête, ne pas regarder les étoiles. Il faut être vêtu de l'habit brun que porte le troupeau soumis. La force de ce texte c'est sa brièveté, celle du message envoyé par l'homme bâillonné, séquestré. C'est le soubresaut de la liberté qui meurt derrière les barreaux.
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Anonyme
15/6/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Dans son livre ‘Avant la nuit’, Reinaldo Arenas qui avait connu les prisons cubaines raconte qu’il écrivait sur du papier hygiénique et qu’il a perdu et réécrit plusieurs fois le même livre, c’est fascinant.
Je viens de comprendre que la brièveté de votre texte est dû à l’absence de papier, ce que laisse à penser la phrase : ’ Marie, si tu donnais dix sous au gardien, tu pourras me faire parvenir de quoi écrire’. J’espère donc que Marie aura les dix sous pour vous donner l’opportunité de nous donner la suite du texte, ou peut-être un autre texte. En tout cas brièveté pour brièveté la dernière phrase est superflue sauf à résonner un peu comme ‘suite au prochain épisode’. Maintenant si réellement vous étiez en cellule au moment de l’écriture c’est différent, on compatit, surtout si c’est parce que vous écriviez des poèmes qu’on vous aurait incarcéré, mais pour d’autres motifs, faut voir… En même temps, apparemment, vous disposez d’Internet donc plus vraiment besoin de papier. Sinon effectivement votre très court poème en prose est bien écrit. Pour moi ça manque quand même de substance. A vous relire. Cordialement Corbivan |
Michel64
15/6/2015
a aimé ce texte
Pas
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J'avoue, malgré les étoiles et les dessins de couleurs, ne pas avoir été touché par ce texte. Pas assez développé et une faute de conjugaison déjà relevée.
Pourtant le sujet était une bonne idée. Cette dictature tuant le beau et la liberté systématiquement… Désolé. Sûrement la prochaine fois. |
Pussicat
16/6/2015
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Ce texte dégage une force par sa brièveté, elle correspond parfaitement au thème du cloisonnement, de l'emprisonnement, au peu de moyen dont dispose cet homme pour écrire : un petit bout de papier on imagine suffit à dire l'essentiel.
Le prénom "Marie" a t-il été choisi au hasard ? "Les étoiles" et les "dessins tout en couleurs" sont autant de signes que chacun peut interpréter, je les lis comme des images d'opposition, à quoi ? à la norme, à une autorité... L'opposition est aussi dans la langue : la dernière phrase ne contient pas une erreur pour rien : "tu pourras". Petits bémols sur le verbe mettre : "Ils ont mis avec moi..." que je trouve par trop doux, "jeter" ? Je ne comprends pas la virgule avant alors (comme jfmoods) : "Et un deuxième, qui a été interpellé, alors qu'il avait..." Un texte qui appelle une suite... ? à bientôt de vous lire, Ce prénom de "Marie" me turlupine... |
Anonyme
19/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai toujours aimé l'idée d'exprimer de belles choses sans en faire des tonnes.
C'est le cas ici et ça me plait beaucoup. |
Raoul
22/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Du Kafka et du Klee, du Norge, ou peut être bien un Diablogue, voilà ce à quoi j'ai pensé en découvrant votre texte... Mais je ne voudrais pas vous étouffer sous les ref.
Beaucoup de poesie dans ce petit mot griffoné, du politique, de la métaphysique aussi, et bien plus que dans de nombreux copieux placards. Un très bon texte à mon avis. |
Meaban
22/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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c'est sobre comme du Camus et aussi émouvant
merci |
Dolybela
21/12/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Une lecture une larme.
Un texte complexe finalement. Les images sont touchantes, le ton est naturel. C'est une pause pour nous, les gens seuls dans nos cellules, les gens qui ne regardent pas assez les étoiles. A vous relire avec un très grand plaisir. Peu de texte m'incitent à mettre des commentaires. Milles bravos. |
David
15/12/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonsoir bakou,
Il m'a beaucoup plus aussi ce poème, le titre fait une petite musique déjà, et son propos lui-même a un côté "c'est pas pire que si c'était plus grave", j'appellerai ça un côté lunaire, signaler l'étincelle dans les ténèbres. Ensuite, ce qui m'a éclaté, c'est la façon de présenter les deux compagnons de cellule. C'est juste deux phrases, mais c'est éblouissant : "Ils ont mis avec moi un homme qu’ils ont arrêté alors qu’il observait les étoiles. Et un deuxième, qui a été interpellé, alors qu'il avait sur lui des dessins tout en couleurs." et je voudrais la découper ainsi pour monter un truc : "Ils ont mis avec moi un homme (... ) alors qu’il observait les étoiles. Et un deuxième (... ) alors qu'il avait sur lui des dessins tout en couleurs." Ils m'évoquent le jour et la nuit, ces deux gars, la formulation qui met l'accent sur l'accessoire avec ses "alors que", ce qui compte se trouve à côté, je trouve ça très beau. Il y a aussi un gros symbole religieux, la prière à Marie, même juste pour avoir de quoi écrire, c'est un cacique de la prière. je n'imagine pas d'autre sens au prénom dans ce contexte qui "prie" effectivement "tu pourras... " Pour finir et pour faire suite, un dernier truc m'avait intrigué, c'est l'expression "si tu donnais dix sous au gardien" ce n'est pas inventé, ce n'est pas tombé du stylo ou du clavier comme cela, c'est une expression ou une réminiscence, c'est pas vraiment musical, encore que, c'est pas moche non plus. Bref, je l'ai googlé et je suis tombé sur : « Moi, dit l’un, j’ai fait ce matin deux musées, trois galeries, quatre monuments. — Moi, dit l’autre, je m’en suis tenu aux églises. J’en ai abattu dix-sept avant le déjeuner. — Diantre ! vous n’y allez pas de main morte ! — C’est que je réserve un jour pour les environs. — Les environs ? Je les brûle. S’il me reste une journée, ça sera pour acheter des chapelets. — Vous n’avez pas oublié la villa Borghèse ? — Non ; c’est de la ville, quoique hors des murs. — Combien vous a-t-on pris ? — J’ai donné dix sous au gardien du musée. — Moi vingt ; j’ai été volé. — Oh ! pour voleurs, ils le sont tous. — C’est égal, Rome vaut le prix. » C'est un passage de "la Question romaine" d'Edmond About en 1861. ça parle de la naissance du Vatican, il m'a semblé. En tous cas, je ne cherchais pas de message caché, je pourrais imaginer que le poème est une énième variation sur le thème de la page blanche, ce n'est pas important à mes yeux, mais le choix des mots, des quelques mots, m'a fait une petite magie d'évocations. Je ne suis pas fan de psaume ou de poésie religieuse, mais je cois que la prière est un moteur poétique, que c'est un fait, et là c'est amené avec beaucoup de naïveté, au plein sens du terme. Le poème ne convertira sans doute personne, ce n'est pas le but il me semble, mais il fait sentir un truc très profond et très humains. Sans compter dans ce qu'il a de lunaire, avec la troisième phrase : "J’ai entendu dire que demain, d’autres viendront." le poème absurde s'affirme comme une bonne nouvelle, le poème annonce une grande nouvelle, que je résumerais à : " Je ne suis plus seul" mais il finit sur une petite, modeste, prière : "me faire parvenir de quoi écrire". C'est génial, le narrateur vient d'échapper à la solitude mais il réclame quand même un stylo ! |
Anonyme
6/8/2016
a aimé ce texte
Pas
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Je vous ai lu, relu, re-relu, franchement je n'arrive pas vraiment à accrocher à l'idée même de ce texte. C'est bientôt bref.
Je n'aime pas la grandiloquence mais à l'inverse je n'aime pas vraiment le minimaliste, il me laisse sur ma faim. Je suis peut-être de ces gens qui ont besoin de plus de mots pour pouvoir essayer de comprendre, de partager un texte, ce qui s'en dégage. |
virgo34
18/9/2017
a aimé ce texte
Pas
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Pour le fond, beaucoup de choses ont été dites que je ne répèterai pas.
Pour la forme, je ne sais pas si cela est voulu mais je relève une lourdeur dans la construction de la seconde phrase, construction reprise dans la troisième phrase. Et la concordance des temps de la dernière phrase n'est pas correcte. A mon avis, il faudrait dire : si tu donnais... tu pourrais... ou bien : si tu donnes... tu pourras. |