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Poésie néo-classique
barbon : Le feu du rasoir
 Publié le 04/08/08  -  6 commentaires  -  390 caractères  -  47 lectures    Autres textes du même auteur

Lorsque tout disparaît et que rien ne repousse.


Le feu du rasoir



Mon esprit enivré et ton parfum enivrant
Mon regard touché et tes sourires touchants
Mon corps caressé et tes soins caressants
Mon cœur transcendé, nos transports transcendants

Ma flamme tranchée par ton départ tranchant
Mon cœur blessé par tes rejets blessants
Mon être déchiré par tes pleurs déchirants
Mon amour fini, mon souffle finissant.


 
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   TITEFEE   
4/8/2008
lu cette "poésie" énumérative.
je cherche la chute. peut-être viendra-t'elle ?

   Anonyme   
4/8/2008
La liste, celle qu'on fait à la fin, le constat. Une poésie touchante.

   Anonyme   
4/8/2008
 a aimé ce texte 
Un peu
hiiii....court, simple, sans vraiment de grandes différences. Pas vraiment d'originalité non plus. Ce que j'aime bien c'est l'émotion. Il faut la garder. Au niveau de l'écriture, le participe présent n'est pas apprécié dans la poésie j'en ai fait quelques expériences, moi il ne me gêne que lorsqu'il est un peu trop présent.

   Melenea   
4/8/2008
Je n'ai pas trouvé la poésie dans ce travail des mots... donc pas vraiment emportée...

Mél

   David   
28/1/2011
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Bonjour Barbon,

Je passerais sur les participes présents, le titre m'a intrigué, c'est un poème d'amour contrarié, avec des rimes un peu lourdes, alors comment doit-on lire "le feu du rasoir". Ça m'a fait rire, d'autant que ça ne l'est pas, rasoir, c'est très bref, pas sans esprit.

   Anonyme   
25/7/2016
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Intrigant le titre "Le feu du rasoir", surtout que la lecture de l'écrit ne m'a pas donné la réponse souhaitée.

J'utilise aussi les participes-présents, même si ils ne sont pas toujours bien perçus en poésie, mais là c'est un peut trop, comme ils viennent à développer le déroulement de l'action finissante.

Vous avez su susciter ma curiosité, par ce petit côté original, où vous confrontez l'adjectif au participe-présent, pour en accentuer l'effet saisissant.


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