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bulle
27/4/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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C'est une jolie histoire que je viens d'entendre.. tendre et nostalgique..
Les échos de l'enfance se marquent de et dans la nature. L'expression est alerte, très claire.. Une structure sonnet, musicale, hormis un petit accroc à la césure du 1er vers et un autre à la césure du 12ème vers.. Aussi, je constate que la diérèse est bien appliquée sur 'ancien' mais pas sur "réfugier" .. Bon, nous sommes en néo-classique, j'en resterai là.. ^^ L'ensemble me plaît, et j'ai passé un moment agréable. |
Anonyme
29/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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Je crois que marronnier eut mieux valu (vous lui avez scié une branche).
« Je cours me réfugier sous l’écorce magique. » : les capricornes font la même chose ; plaisanterie mise à part, les deux quatrains m'ont séduit et je vous ai suivi dans ce pèlerinage en enfance. Ensuite, « onirique » bien qu'approprié ne me séduit pas, peut-être le nombre de syllabes ? ET là, le coup de grisou : « Cependant, toujours quand la solitude vient S’écraser sur ce monde où l’espoir semble vain », vite ! Un retour en enfance s'impose. |
Garance
9/5/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Souvenirs d'enfance et d'amitié avec un arbre ; garder toujours un coin, un repli sécurisant où puiser réconfort et force.
J'ai aimé lire ce poème, il est repos en un moment de découragement pour le lecteur tout autant que pour l'auteur. Un poème qui pour moi remplit sa mission, vivre aussi dans la pensée du lecteur. |
Anonyme
16/5/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Si je suis sensible au thème choisi, je le suis moins à la manière dont il est traité.
Ce texte qui s'apparente à un sonnet néoclassique, manque un peu de force, d'émotion, notamment dans les quatrains ; la raison en est, à mon sens, l'abus de formules convenues ou trop peu poétiques telles que "majestueux géant", "rassemblant mon courage, j'aimais escalader, quand j'étais écolier", "d'autres fois", "Ah ! jeunesse trop brève". J'ajouterai aussi une gêne phonétique à la lecture du 1er vers. En revanche, j'aime beaucoup le premier tercet, notamment ce "J'ai vieilli" qui tombe sans préavis. Le second est moins réussi à mon goût : image un peu poncive de la solitude qui s'écrase sur un monde sans espoir, et gêne phonétique également à la lecture du 1er vers. La rime "vient" / "vain" aurait pu être plus riche. En résumé, un sujet intéressant, mais dont le traitement aurait mérité à mon avis, d'être un peu plus travaillé, notamment au niveau des images employées. |
Anonyme
18/5/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir ! Un poème qui m'a beaucoup touché car nous tous et toutes avons eû dans l'enfance ce marronier (le mien était un chêne chenu) qui est resté marqué de façon indélébile dans notre coeur d'adulte. Et puis le goudron, le parking, la grande surface nous ont volé notre ami d'enfance et pour le retrouver nous sommes contraints d'écrire des poèmes....
Ainsi va la vie et en tout cas merci pour ce bon sonnet néo-classique ! |
Leo
22/5/2010
a aimé ce texte
Bien
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Belle mise en forme classique d'un grand classique de l'urbanisation. S'il n' a pas la musicalité d'une chanson de Le Forestier ou la cruauté d'un Brassens, il a une construction rigoureuse, une qualité sémantique incontestable et une mise en vers qui sert une histoire à la fois simple et prenante.
J'aurais préféré que vous évitiez des mots comme "parking" ou "ring" en tant que rimes, principalement en raison de leur sonorité, trop "sonnante", et malgré le fait qu'elles donnent un ton moderne à un sonnet très classique. |
Brisemarine
24/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le thème abordé quoiqu'en rapport avec l'enfance de l'auteur touche le lecteur par son traitement "universel" et la charge de tendresse nostalgique qu'il dégage: le lecteur s'y retrouve, s'y reconnaît, s'y identifie; et c'est la magie qui s'opère. Ceci pour le fond.
Quand à la forme, je trouve que le choix du sonnet sert bien le traitement du sujet. Excepté les petites imperfections relatives à la qualité de la rime, à l'emploi de termes comme ring et parking, pas du tout poétiques à mon goût, le poème demeure d'une jolie facture néo-classique qui rend très agréable la lecture. J'ai aimé |
Chene
25/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Bartholomeo
Pour un premier poème posté sur Oniris, je le trouve plutôt bien à quelques imperfections près. Sur la métrique tout d'abord, le positionnement des césures des alexandrins est plus apprécié quand elles font sens. Ce qui n'est pas tout à fait le cas au premier et au 12ème vers : la rythmique de lecture s'en trouve perturbée. Les rimes me semblent de qualité inégale (leur appui sur des consonnes identiques n'est pas une règle absolue, mais si ce n'est pas le cas, la musicalité des alexandrins s'en ressent). Les diérèses, elles non plus ne sont pas une obligation en "néo-classique", sauf que si on en fait une il est quand même préférable de les faire toutes... Sinon, ça perturbe le rythme et la fluidité des vers. Le phrasé de l'ensemble est assez anodin avec quelques tournures un peu désuètes ("Ah, jeunesse trop brève", par exemple) ou en décalage avec le sens : "moderne parking" ; le contraste entre la formulation et le sens m'apparaissent un peu contradictoires). Mais le tout se lit plutôt bien. De plus, dans la première strophe, les adjectifs qualifiant le marronnier me semblent assez redondants : ancien, majestueux, patriarcal... En revanche, la ponctuation me semble tout à fait satisfaisante. Sur le thème du regard nostalgique porté sur la jeunesse, ses aventures, l'arbre, et le contraste avec la "vie moderne", je dirai que c'est ce qui m'a le plus intéressé. L'idée n'est pas très neuve, certes, mais on se laisse plutôt bien porter par ce sujet qui résonne dans nos souvenirs. Donc pour résumer, la forme mériterait d'être un peu retravaillée, mais le fond est appréciable et apprécié. à une prochaine lecture. Chene |
brabant
26/5/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Bartholomeo,
La lecture de votre sonnet est aisée quant au sens, légère et agréable, laissant sous-entendre une écriture facile, coulée ici au creuset des souvenirs d'enfance, baume souverain des jours sombres. Je relèverais cependant quelques tournures redondantes, simili pléonasmes dus à cette facilité, cette nostalgie mêmes: "Majestueux géant", un géant n'est-il pas par nature majestueux? Je serais allé chercher du côté de la bienveillance voire de la bonhomie, sans empiéter bien sûr sur votre indépendance d'écrivain. "de cruels Iroquois", les Iroquois n'étaient-ils pas considérés comme cruels, par nature ici encore. "d'autres fois" est séduisant, mais surprenant, peut-être pas vraiment approprié pour ce qui est de la rigueur du sens. Quant à l'anaconda (forcément sauvage sinon ""forcément sublime"" à mon avis), c'est plutôt l'hôte de la forêt amazonienne que celui des étendues boisées du Canada. J'imagine assez mal sa chasse par un trappeur qui est avant tout un piégeur, ce qui manque singulièrement de gloire. Mais laissons à l'enfant le privilège de l'imagination débridée et des rêves héroïques me direz-vous, et vous aurez raison. Sachez que je n'ai pas boudé la lecture, bien qu'ayant un peu bougonné. Sans doute ai-je plus mal vieilli que vous. Le "moderne parking" me fait sursauter; le "ring" aussi, mais l'association de ce dernier avec "place antique" produit un frisson surréaliste à la 'De Chirico", et ce peintre, s'il ne fait pas l'unanimité, est cependant de ceux qui me plaisent. L'"arbre onirique", voilà encore un raccourci audacieux, qui ne me déplaît cependant pas lui non plus; bon, l'ellipse est hardie malgré tout. "A triomphé sans mal", s'agirait-il encore s'un triomphe s'il y avait difficulté à vaincre ? Souvenons-nous de Pyrrhus... Vous voyez enfin l'écorce comme cuirasse, cependant entre l'arbre et l'écorce il est déconseillé de mettre le doigt ou le museau, l'écorce vous est sympathique. Ronsard aussi la considérait comme protectrice mais pour y nicher ses chères nymphes. Nous avons tous et toutes connu dans notre enfance un marronnier géant (il y en avait un dans la cour de mon école maternelle.Ô la brillance cirée des marrons et les piques émoussées des bogues!). Nous avons tous et toutes un arbre magique. Le mien, c'était un noyer. J'ai lu plus haut, après avoir rédigé mon commentaire, que celui de l'ami Alex était un chêne. Vous avez eu le mérite de faire vivre et revivre le vôtre. Avec des yeux enchantés et la tête emplie de rêves enfantins qui expliquent et peuvent justifier certaines approximations sémantiques. J'espère que vous ne m'en voudrez pas trop de les avoir relevées. On vous lit sans ennui, on vous lit avec tendresse. Au plaisir d'un prochain texte, peut-être plus serré, comme un nespresso ! What else ? |
Anonyme
13/9/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Petite anecdote, je vis dans une grande ville où les marronniers sont très nombreux, tous les ans je glisse dans ma poche un nouveau marron jusqu'à l'année suivante, coutume qui me vient de l'enfance.
Mais revenons à votre poème, il apporte l'espace de sa lecture, un arrêt sur image, je vous imagine bien, j'ai joué aussi dans les arbres, combattant avec des épées de bois, des arcs, des ennemis, qui partageaient ensuite mon goûter. En effet, le temps passe, la campagne de mon enfance, n'a plus rien à voir, avec ce qu'elle était, bien des champs ont disparu, pour laisser place à une zone pavillonnaire. J'ai décidé dernièrement de plus y retourner. J'ai visualisé sans peine, votre "Majestueux géant", et je comprends fort bien votre ressenti que je partage avec émotion. L'ensemble de cet écrit, fond comme forme, m'a complétement conquis. Grand merci pour ce merveilleux moment, ce petit retour sur l'enfance fait du bien. |
bolderire
12/9/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour, j'ai passé une bon moment avec votre "marronnier".
Merci! |
Anonyme
12/9/2016
a aimé ce texte
Bien
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Premier vers compte 11 pieds. Marronnier synérèse car deux consonnes identiques (n).
Ex : Planté dans le grand square un ancien marronnier Vous devriez revoir les deux premiers vers du dernier tercet. Après ces "corrections" votre poème sera très beau. |