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Lariviere
9/10/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
"l'autre bourreau pourra alors puiser ce qu'il faut de douleur pour redorer son coutelas" J'ai bien aimé ce libre contemporain plutôt bien construit, incisif, que je lis comme un texte dénonçant la violence qui appelle la violence, en évitant le manichéisme ou le parti pris. Un texte fort comme je les aime merci pour cette lecture et bonne continuation ps : le titre est terriblement bon... |
Mokhtar
9/10/2020
a aimé ce texte
Bien
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Ce texte fait allusion à l’attentat du Milk bar, à Alger, en septembre 1956 où bombe posée par Zohra Drif a fait pour victimes uniquement des femmes et des enfants. On a récemment vu cette femme dans un récent documentaire télévisé traitant de la décolonisation.
Odieux et lâche assassinat pour les uns, acte héroïque de résistance pour les autres. Cela fera de Zorah Drif, graciée par De Gaulle une moudjahidine, dont la caste profitera des prébendes accordées généreusement, sur l’argent du peuple, à ceux qui ont combattu beaucoup, un peu, et souvent pas du tout dans les rangs du FLN. Les lâches qu’on applaudit…Thème qui me semble un peu trop convenu, un peu top « bateau » pour en faire un poème original, même si l’écriture ici est plaisante, et si certaines tournures de phrases sont de qualité. Je pense qu’il aurait fallu un axe un peu plus original pour aborder le propos. Par exemple, le fait que ce soit une femme l’auteure, avec ses éventuels problèmes de conscience personnels, a posteriori. Pour humaniser un peu la chose. Dégâts collatéraux, à la guerre comme à la guerre… ? Terrorisme lâche et aveugle ? Qui peut trancher ? |