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Anonyme
5/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un bon poème à mes yeux. Ce paradoxe ou cette superposition de l'amour et des parkings souterrains sont saisissants. Rien ne les relie à priori mais ce "voyeur de la ville" fait le lien entre les deux. Par le jeu des sonorités, des images, aussi. Et l'on si'imagine dans ces spirales menant au parking ou en sortant, l'amour en berne ou en bandoulière. Puis tout se dilue dans ce "Rien" final. Efficace et percutant ce poème Merci du partage, Éclaircie |
Raoul
8/8/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Voilà un poème urbain, et ce n'est pas si courant en ces lieux où l'on préfère les zoziaux et les Ophélies des eaux "opalines"… ;). J'aime assez l'idée… mais, pour moi, il ne vas pas assez loin dans l'expressivité de l'écriture notamment par son vocabulaire trop généraliste - en même temps "cheminades" est une jolie trouvaille, mais elle dégage à la lecture un côté flânerie bucolique qu'appuie, par exemple la tournure inversion "monotone refrain" -trop vieilli - entre autre… - La strophe n° deux également… Idem pour les glissements de "L'amour, le cri des frein", pourquoi ne pas aller plus loin dans une sorte de frénésie, alors qu'avec cet "Ô" on tombe dans un registre de la plainte un peu sur-jouée… Pour moi, ce poème est intéressant, et par l'angle adopté, et par le style mais… il ne sent pas assez l'asphalte et le super sans plomb. Merci pour cette lecture. |
Vanessa
9/8/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Superbe texte !
Il me ramène à des textes d'higelin ou Thiefaine. L'équilibre entre vos strophes et le refrain est parfait. La ritournelle que vous avez choisi d'écrire sans former de phrase est bien envoûtante. Bravo. |
Brume
10/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
J'aime bien. Le poète préfère écrire sur la nature et les saisons, mais vous, c'est différent, et pour la lectrice que je suis, ça me change. À la seconde strophe je me suis fait la remarque "bon le poète revient à ses habitudes " mais au final non. Mais ce n'est pas un simple poème sur les parkings souterrains. Il se cache derrière une histoire d'amour malheureuse. Étonnant mélange. Votre poème est très contrasté. Il possède différentes palettes d'inspirations. La partie refrain est bien rendue, donc réussie. Je ne vais pas commenter les techniques de la poésie classique, je n'y connais rien. Mais je peux dire que votre poème est pleine d'énergie, et côté tonalité il possède de belles nuances. |
Anonyme
22/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Un texte sympathique. Je trouve que le «refrain» revient un peu trop souvent, ce qui alourdit le texte.
Le reste est bien, l.idée originale et bien traitée. |
Donaldo75
22/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Bastien,
J'ai beaucoup aimé ce poème, composé sur une tonalité qui dénote des autres poésies. Il y a un ton, une recherche, une musicalité, surtout avec ce refrain qui joue sur les sonorités. "L’amour, le cri des freins. L’amour, le cri défunt. Ô monotone refrain." La rime renforce l'aspect sonore, musical. Bravo ! Donaldo |
hersen
22/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une poésie urbaine ! c'est original en ces lieux et mérite d'être salué, d'autant plus que je trouve une belle expressivité dans les mots, dans les sons.
Le "refrein :))", par contre, me semble trop appuyé, j'aurais plutôt vu un vers de ce refrain entre chaque strophe, je pense qu'il aurait eu sur moi un meilleur impact; Ceci dit, un grand merci pour ce texte qui sort des sentiers battus ! |
Anonyme
22/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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je le trouve très imaginé et très inspiré par le quotidien urbain, ce poème; mais le refrain me parait un peu plus extravagant, je ne n'arrive pas à saisir clairement l'idée.
il sera bien si peut-être le refrain est plus centré sur une idée. c'est plus difficile pour un lecteur de s'emparer l'idée de l'auteur si ce dernier s'exprime vaguement! mais c'est avec impatience que j'attend une autre surprise de votre part car, c'est pas tous les jours qu'on tombe sur des poèmes si originaux que rares. jerusalem merçi |
Lulu
22/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Bastien,
J'ai été bien touchée par ce texte, même si je me suis dit, au début, que la rime en "ain" allait être peut-être pesante, d'autant que ce n'est pas une sonorité que j'aime particulièrement. Mais votre texte parvient à transmettre une vraie musique, au-delà même du refrain qui jalonne le texte, grâce à un rythme appréciable et une observation originale. Vous me poussez à me demander ce que peut-être la poésie, si ce n'est, finalement, un état d'esprit, comme ce peut être le cas, ici. Au travers du regard du locuteur, et pour montrer, choses originales, des "parkings souterrains", on parvient à s'élever vers une sensibilité indéniable. J'ai beaucoup aimé le refrain, "L'amour, le cri des freins. / L'amour, le cri défunt / Ô monotone refrain" qui sonne et résonne entre les lignes… J'ai trouvé ce texte très intéressant. Je ne recherche pas spécialement l'originalité dans un poème, mais je dois dire que c'est cette dernière qui m'a le plus touchée ici. Tous mes encouragements pour la suite. |
papipoete
22/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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bonsoir Bastien
Oniris voit fleurir en ce moment de fort beaux textes, et votre plume ici nous emmène dans ces parkings souterrains, d'où l'on ne songerait pas qu'il inspirent un poète ? Il n'est jamais loin le soupirail d'où monte l'inspiration en bruits, en cris d'amour, monotone refrain . Tout peut guider la plume sur le vélin, même le cri des freins ! |
Anonyme
22/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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A la réalité, ces parkings souterrains et leurs " grilles vandales ", s'oppose la rêverie du narrateur " en deçà des rives du Rhin ".
Les " terribles cheminades urbaines Que forment les couloirs des parkings souterrains." Et pourtant, comme ils sont nécessaires... Même donner naissance à une poésie. |
Marite
23/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le qualificatif de "contemporain" est absolument justifié pour ce poème et j'ai été séduite dès la première lecture.
La forme est étonnamment équilibrée avec cette sorte de refrain, lancinant : " L’amour, le cri des freins. L’amour, le cri défunt. Ô monotone refrain." auquel on essaie d'échapper avec le quatrain central et sa bouffée d'air frais, de verdure qui, hélas ne dure pas car il revient en force ce refrain ... |
Robot
23/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ecrire sur quelque chose d'aussi laid qu'un parking souterrain en y introduisant une expression poétique réelle ! Le challenge est réussi !
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BlaseSaintLuc
26/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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cette mise en page , est une trouvaille ;
"L’amour, le cri des freins. L’amour, le cri défunt. Ô monotone refrain." et oui ! Bon le décor est planté, pas des plus attirants, et pourtant, on nous chante les souffles chauds, la poésie des parkings souterrains, au départ un peu rétif, plus je le relis, plus je l'aime votre texte. |
INGOA
30/8/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
je trouve ce texte original. Trouver son inspiration dans les parkings souterrains n'est pas banal. Je suis moins sensible au rythme qu'il dégage et à la transition rapide entre l'encrassage bétonné et l'aération bucolique. En conclusion, j'y ai cheminé un peu, sans plus. |
David
31/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir Bastien,
C'est un très beau thème que ces "parkings souterrains", je le lis comme une métaphore amoureuse, pas très nette mais curieuse et touchante. On retrouve "langueur" et "monotone" comme dans de célèbres vers, et il doit y avoir d'autres intertextualités je présume. |