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INGOA
17/10/2018
a aimé ce texte
Pas
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Poésie très courte au fil conducteur ténu et qui ne mène nulle part.
On matraque nos soirs… On vit dans le décor… n'apportent aucune élégance à un texte à l'écriture paraissant bâclée et dont la teneur n'offre ni surprise, ni intérêt. J'aurais aimé plus de caractère et moins de banalité. |
izabouille
18/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je n'ai pas bien compris où l'auteur a voulu m'emmener... mais c'est joli, un peu court, lu trop vite, mais je l'ai relu avec plaisir.
J'ai bien aimé les trois premiers vers. Merci pour le partage |
Brume
21/10/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour
Et c'est tout? C'est frustrant. Que dire? Pas grand chose. C'est mignon tout plein...voilà... Les images sont jolies. Désolée, je n'ai rien de constructif à dire. |
Anonyme
30/10/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Il ne reste plus qu'à identifier le dessinateur afin qu'il nous explique ce qu'il a voulu transmettre avec ce tableau...
" putride mélancolie " étonnante cette image ! " On vit dans le décor Le regardant devenir d'encre Et regermer au matin " se rapportant au " décor ", je trouve "regermer " assez surprenant aussi... Je n'ai pas su m'intéresser à ce texte. A vous lire une prochaine fois. |
David
31/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir Bastien,
Il m'a bien plus ce poème et son ton que je trouve assez noir mais posé avec douceur. Le "Qui donc" n'a pas son point d'interrogation dans les vers, comme une question rhétorique, comme un "vous avez vu l'heure !" alors ce qui me vient en premier, c'est le spirituel, dieu qui disparait, pour répondre au "qui donc" mais ça ne semble pas tant le thème - peut-être à cause de "matraque", je ne sais pas... - il est plus simple d'y voir un miroir, un "Pourquoi je me reflète dans le décor", une poésie d'état d'âme. Comme ça, le titre prend tout son sens, enfin je pense au bouquin Dune et sa maxime "le dormeur doit se réveiller", et ce poème en serait comme une autre version. Il y a une lecture sociale peut-être aussi, révoltée. |
Queribus
31/10/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
C'est très court et ramassé mais j'ai l'impression que tout y est.Bien-sûr, il aurait été possible de développer un peu plus mais le texte en serait peut-être devenu fastidieux et il est vrai qu'on pourrait attendre la suite, vous avez choisi de faire court et c'est votre droit . En espérant le prochain texte. Bien à vous. |
siracolan
31/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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Si ce poème peut présenter quelques petits défauts selon moi ("matraque" bof , "le regardant devenir d'encre" un peu poussif), il porte une voix, un ton, une couleur qui relève de la poésie.
Bonne continuation |
papipoete
31/10/2018
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Bastien
Gageure que de faire court, car il faut y loger l'introduction, le développement et la conclusion ... afin de ne pas laisser le lecteur sur sa faim ! Je le connais celui qui croque les montagnes, teint l'atmosphère, mais le personnage à la " matraque " m'interroge ( par ce jour d'Halloween où l'on rit à faire peur aux autres ) ! Le lendemain germe d'un décor tout neuf ( sans gêne, sans déboire ) oui, même au-dessus du Bataclan, même sur la Promenade des Anglais ... " putride mélancolie " me semble inapproprié, car cet état d'âme n'est plus mélancolique, mais " dramatique " ! |
Raoul
31/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un beau texte questionneur qui parle de responsabilité.
Qui est pour l'érection de(s) frontières, qui fait avec, qui les "défend" et au prix d'une certaine indifférence. C'est en tous cas ce que j'y lis... Une forme énigmatique qui s'insinue, une lecture écharde qui fonctionne bien sur moi. Les qui, c'est comme les pourquoi, ça pique souvent. Un texte pas gratuit, j'aime bien. |
Eki
1/11/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Vous avez haussé le ton dans le bon sens.
Je n'ai pas aimé la "putride mélancolie", ni "le regardant devenir d'encre". Ce texte me donne envie de lire vos prochains écrits. Probablement que vous avez révélé en moi un écho de poésie. Au plaisir de la découverte |
Donaldo75
2/11/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Bastien,
Ce n’est pas facile de composer un poème aussi court. Dans celui-ci, il y a un ton. L'ensemble est surréaliste, avec une dimension picturale. La réflexion est là. Elle n’est pas facile à entendre parce que justement le format court, aussi bien décliné, frappe fort, appuie là où ça fait mal, amplifie les images et leur interprétation dans un sens ou dans l’autre. Bravo ! Merci pour le partage, Donaldo |