|
|
izabouille
17/9/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas
|
Je n'ai pas aimé, désolée... Je trouve que ça n'a pas grand intérêt et je ne comprends pas "la trace violette et noire". Il n'y a peut-être rien à comprendre ceci dit. Une araignée qui crache ses poumons, c'est assez bizarre...
|
Gemini
19/9/2018
a aimé ce texte
Bien
|
J’ai buté sur deux mots : « prude » v1, dont je n’ai pas compris le rôle ou l’utilité, et « Tantôt » v8, qui, s’il traduit l’après-midi, n’apporte rien non plus au récit.
En dehors de ces remarques, j’ai cherché, en vain, ce que l’exergue promettait. C’est-à-dire une chute (dans les deux sens du mot), et sa drôlerie associée. Même en cherchant une explication au pourquoi de la couleur noire et violette. J’en ai donc conclu qu’il n’y avait rien à comprendre, et j’ai relu le texte ainsi. Et pour dire mon ressenti en fin de lecture, en jouant le jeu de l’irrationnel, c’est vrai que je ne vois rien, du blanc, avec une légère tache (peut-être noire et violette) au milieu. |
Mokhtar
19/9/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas
|
Je pense qu'il doit y avoir, cachés derrière ce court texte, une image, un symbole, une métaphore qui pourraient justifier la relation de cette scène.
Sans doute certains s'ébahiront. Mais moi, j'ai beau chercher : je ne trouve rien. Désolé Mokhtar, en EL |
Anonyme
2/1/2019
a aimé ce texte
Pas ↓
|
Je pensais lire une poésie contemporaine qui me semble plutôt "libre".
Qu'importe votre poésie est trop courte à mon goût et n' a aucun intérêt pour moi. Une autre fois peut-être. |
Anonyme
9/10/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas
|
J'ai tenté d'extraire une idée quelconque de ce texte, avec le plus d'indulgence possible. Je n'y suis pas parvenu. Ni même trouvé une image intéressante...
A vous lire une prochaine fois. |
papipoete
9/10/2018
a aimé ce texte
Pas
|
bonjour Bastien
Je ne vous dirai pas que ce texte si court, put se développer, car vous décidâtes que l'aventure de cette araignée serait très brève ! Elle aurait pu rencontrer une congénère, trouver un moucheron pris dans sa toile ... que nenni, elle courait puis rendit l'âme . NB " elle cracha ses poumons ", pourquoi dire cela alors qu'elle put tout bonnement périr sous la claque d'une tapette ou le revers d'une main ? Une arachnide " prude " surprend également ; " aux aguets, prudente " furent plus indiqués ? Votre poème me fit penser à celui que j'écrivis, au sujet d'un " point sur une toile blanche ", accroché à la cimaise d'une galerie, devant lequel des admirateurs béats, ne trouvaient pas leurs mots ... Ecrire " court " est un art aussi difficile que celui du parfait " alexandrin " ; je dirais qu'il vous faudra persévérer, pour tâcher de faire mieux ! PS mais si votre texte parait ce jour, c'est qu'il plût à certains ! |
Robot
9/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
J'aime beaucoup ce poème qui représente un tableau de couleur contrastée. L'araignée est comme le pinceau sur la toile blanche d'une abstraction où elle laisse les traces de son passage. Où bien écrasée par un hurluberlu moderniste pour lui faire cracher ses poumons, ainsi qu'un tube de peinture comprimé fait sauter son bouchon.
J'aime l'observation surréaliste de ce texte. Mais il faut beaucoup d'imagination pour y trouver un sens. Ce à quoi ma lecture s'est efforcée. Ce serait sympa que vous nous parliez de votre texte en forum. |
Annick
9/10/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Un tout petit poème qui retrace les tout derniers instants, (les derniers centimètres) de la courte vie d'une petite araignée.
"À bout de souffle Dans les derniers centimètres de sa course Elle cracha ses poumons" Il y a un non dit, une ellipse : quelqu'un a écrasé la petite araignée, c'est certain. Un contraste de couleur entre la trace violette et noire et le blanc immaculé. Joli ! La petite araignée est-elle une allégorie ? Je verrais bien cette poésie dans un recueil ayant pour titre : bestiaire poétique de la fin de vie des animaux rampants. Plus sérieusement, je suis dans le questionnement. Quel est le sens de ce poème ? La lecture est plutôt plaisante car elle titille ma curiosité. |
Anonyme
9/10/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour
Moi j’y vois un monseigneur coursant une none, quelque part dans la Rome des années 60, j’y vois Vatican II faire avaler sa calotte et sa ceinture violette au catholicisme, ce qui, bien que je désapprouve, dégage une couleur vive sur du blanc immaculé...pas désagréable... Donc ça ne m’a pas déplu... |
Anonyme
9/10/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Bastien bonjour, j'aime bien cette petite vidéo que tu proposes. Si tu en fais une strophe d'un plus long poème, chaque strophe consacrée à un insecte de la maison, n'hésite pas à nous en faire part.
|
Lulu
9/10/2018
a aimé ce texte
Un peu
|
Bonjour Bastien,
J'ai trouvé votre texte amusant, bien qu'il ne le soit pas. Je l'ai lu comme un clin d'œil, un regard posé sur une petite araignée comme on pourrait tous en voir, avec ou sans appréhension. La poésie est sans doute juste dans ce regard, plus que dans ces mots brefs qui rendent aussi compte d'une "trace violette et noire", comme si la vie de l'insecte n'avait été que furtive. Je pense que ce texte est perfectible, mais pas inintéressant. Perfectible, pour moi, car certains aspects me semblent trop terre-à-terre ici, comme l'expression inattendue de "la salle à manger", inattendue et de trop, je crois. Mais j'ai bien aimé le ton de départ, "Petite et prude" ; le suspens est ménagé… Mes encouragements. |
BlaseSaintLuc
10/10/2018
|
Commentaire modéré
|
BlaseSaintLuc
10/10/2018
a aimé ce texte
Bien
|
confusion des censeurs ,hum je voulais parlait du Pape, en citant François , mais après explication de Bastien , cela n'as rien de cléricale (le violet, le noir, le blanc ... etc) c'est plaisant tout de même .
|
hersen
12/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
le temps de lire et l'éclair de couleur sur fond blanc n'est déjà plus habité !
j'a aimé le rythme, le sujet (presque un non-sujet), trois coups de pinceaux pour tracer une histoire sur le carrelage blanc. bravo. |
Quidonc
15/10/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Poèsie pour le moins surréaliste en forme d'excuse pour une araignée écrasée sur un mur blanc. Un geste presque brutal, presu'un regret, et on passe à autre chose. Mais la petite trace sur le mur nous rappelle notre "méfait".
Merci pour ce flash |
Gabrielle
18/10/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Un mélange de candeur et de cruauté se dégage de ce texte.
Une chute bien cruelle pour la prude araignée... Au plaisir de vous lire. G. Michel |
Raoul
18/10/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Un petit poème proche du Hayku... à qui il manquerait un changement de focal ou d'axe à la fin.
Un peu trop peu, peut-être, mais pas inintéressant avec son "tantôt" curieux. Merci pour cette courte lecture. |
David
31/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonsoir Bastien,
Ce poème est assez atroce, mais c'est bon :) Il finit sur "salle à manger" après avoir décrit une scène assez peu ragoutante. l'araignée ne meurt pas, n'est pas tuée non plus, elle semble avoir un destin un peu funeste quand même... J'aime bien le début aussi, ce "petite et prude". En tout cas j'y vois une poésie toute simple, comme elle se présente souvent dans la vraie vie. |
Boutet
29/1/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
|
C'est tout? j'ignorais qu'une araignée cachait ses poumons laissant ainsi une trace violette et noir sur le mur blanc. ceci dit je n'ai jamais réfléchi à la question mais cependant je recherche un semblant de poésie que je ne trouve pas
Boutet |