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Marite
12/1/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Curieuse impression, à la lecture de ce texte, qu'il s'agit en fait d'une prose découpée en vers pour en faire une poésie. Pourtant certaines images sont intéressantes mais l'expression est trop détaillée avec ces petits mots en abondance : articles, conjonctions, ... etc. Peut-être qu'un travail sur l'allègement de l'expression permettrait la réalisation d'un texte poétique intéressant.
Peinture fébrile d'un vécu L'homme observe ... |
Robot
13/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai trouvé ce texte original à deux titres, par l'exploitation du thème avec des images parlantes, et par son écriture qui crée une ambiance mitigée entre liesse et morosité. Je suis moins convaincu par la conclusion qui détonne sur ce qui précède par une certaine platitude. Finir sur le virus aurait mérité une expression plus forte, décalée au besoin.
J'ai bien apprécié le titre du poème. Mais c'est un texte dont il reste quelque chose aprés la lecture. |
papipoete
20/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour benadel
un texte lu d'un premier jet, qui accroche et semble dire au regard " relis-moi, plus attentivement et je suis sûr que je te toucherai ! " Effectivement, l'année covidienne se meure comme voulant que l'on ne se souvienne pas d'elle, bien que duré 12 mois, et ne lui attribuer qu'un zéro... NB " l'année défunte, une des filles du temps " aurait accouché d'un mirage, et voulant bien vite le noyer dans un erg de mauvais sable, un nouveau Janvier commanderait à ses 11 frères " on essuie le tableau, et démarre d'une feuille blanche " les 3 derniers vers concluent à merveille cet espoir ! |
Provencao
20/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Benabel,
"L’ivresse endormie ronfle sur l’an nouveau ;" J'ai beaucoup aimé ce vers où il n'est absolument pas possible de douter de la réalité dans cette ivresse endormie, sauf à avoir égaré le sens commun, actuel en cette année, et être victime du portrait de cette année. "Puisse l’année qui vient couronner Non pas le virus microbien, Mais le virus du bien." Quel profit peut-on espérer croire de ce débordement des ivres sentiments? Au plaisir de vous lire Cordialement |
Corto
20/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce beau poème regorge d'images originales, de mots très choisis.
On se régale de tant d'inventions si bien utilisées. Sur un sujet qui risquait d'être 'bateau' on voyage dans l'année passée par de multiple touches "À l’aide de l’intenable pinceau". J'ai beaucoup aimé hormis l'expression "limbes de l’ineffable" qui parait vraiment usée. Merci de ce beau travail. |
Vincente
21/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Le thème, qui s'affiche ambitieux et clair, presque "bravache" dès le titre, ne manque pas d'intérêt et… d'originalité.
Imaginer la condamnée par le temps, dans son ultime instant, faire œuvre procréatrice dans une totale abnégation m'a séduit ; car alors elle livre tout d'elle-même mais meure en couche, oui c'est bien cela ! À partir d'une telle entame, l'on aurait pu craindre une pâleur de l'évocation circonstanciant ce fait très marqué. Mais il n'en est rien ! Si la révélation n'a pas été finale mais initiale, le développement a su trouvé de bons mots (modestes certes mais plaisants) pour le raconter, vu de haut et dans un biais aimablement décalé, de plusieurs "points de vue". Celui de "l'homme" s'appréciant dans son individualité insérée dans l'immensité cosmologique. Celui du passé, en raccourci celui-là, qui parfois "éclaire… ses gouffres", parfois "solennise…par de lumineuses rêveries". Celui du futur où "les bons vœux pétaradent…". J'ai bien aimé ce vers de lendemain de fête, au présage mi-figue mi-raisin : "L’ivresse endormie ronfle sur l’an nouveau ;". Quant aux vœux des trois vers de l'épilogue, ils s'amusent de leur propre convenance et se contenteront de la mise en perspective amusante confrontant "microbien" / "bien", imaginant la "victoire" peu probante du dernier. J'ai apprécié ce ton décalé, sourieur et malgré tout sans illusions. |