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Robot
16/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Ce beau texte libre, qui est encore plus agréable à déclamer qu'à lire porte ce que j'aime en poésie libre.
Pour mon plaisir personnel, et comme l'incipit indique qu'il peut être lu sous d'autres angles, je l'ai découpé en variant les espaces pour en faire des respirations différentes car sa présentation initiale m'a un peu dérouté d'abord par les espacements entre les vers et par une structure trop régulière. En libre, on peut aussi utiliser la structure pour donner un visage différent au texte. Mais j'ai apprécié, vraiment, en usant de ma possibilité de lecteur, pour lui donner un rythme à ma convenance. C'est ainsi que je le garderai dans mon florilège onirien personnel. |
Vincent
16/3/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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il est vrai que la structure est déroutante
mais je me suis adapté et j'ai pris énormément de plaisir à lire votre poème il est d'une douceur qui me convient et j'en adore les images (toute) bravo à vous |
Anonyme
16/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quelle belle contemplation que cette églogue qui peut se lire sous différents angles...
J'avoue être allé jeter un coup d'oeil dans un dictionnaire pour voir de quoi il s'agissait ; j'en apprends toujours autant ici. Mais parlons du poème : le dictionnaire en question parle de poème classique, non de poésie libre, mais je pinaille, tant les mots que vous écrivez sont d'une grande douceur. Le tout est vraiment reposant et incite à la méditation. Autre terme : "Aquilon", qui désigne le Dieu des vents... Encore une nouveauté pour moi. Du coup ça me permet de mieux comprendre de quoi il s'agit. Un poème d'une grande sagesse ! |
Francis
17/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Accrochés aux flancs de la montagne, les chalets" au balcon ajouré" vivent au rythme des saisons. Le chant d'une cascade se perd dans la vallée. Le soir, la lune semble perchée sur les sommets.
De belles images ! |
Anonyme
17/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est décidé, je vais déménager à la montagne, parce que suite à la lecture de votre poème la colline qui surplombe ma maison me semble un peu petiote.
Je me convertirai en berger, ou en paysan, ou en peintre, et puis, pour mieux gouter la poésie des demeures, je fumerai la pipe... Un beau poème redorant le blason de certains lieux qui me semblent bien attachants et qui s'ils brillent déjà par eux-mêmes méritent bien d'être 'chantés' comme vous le faites ici, en y reliant l'homme. |