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Anonyme
5/2/2008
a aimé ce texte
Bien
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Oui mais peut-être que...
Artificiels coquelicots Des grains de rien dans le désert Et au marché que des cageots... Poilade en coin, c'est un joli brin de poème, émouvant... Juste une petite chose: l'éphémère qui dura si peu... Lapalisse approuve. |
Anonyme
5/2/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est réussi !!! la fin en diptique donc "à deux" est parfaite. On sent dans tes mots la vie, ton texte respire. Bravo !!
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clementine
5/2/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Court poème qui chante et ravit mon coeur.
J'aime beaucoup, particulièrement les 2 derniers vers. Des mots tout simples et pourtant magiques. Tant d'amour dans si peu de mots! |
Anonyme
5/2/2008
a aimé ce texte
Bien
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Ce poème me plait beaucoup, mais, il m’aurait plu davantage, n’eut été la présence de certains mots, tels: « Éplucher, ratisser et fouiner ». Il me semble qu’ils enlèvent à la beauté de l’ensemble.
Et, « D'oublier que le temps - Ne vainc l'absence », ici, le PAS me manque. |
calouet
5/2/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Moi justement, j'ai plutôt bien aimé les mots relevés par Isatis... Justement je trouve que ce sont des mots qui donnent de l'intimité, des mots du quotidien de deux amoureux. Sur la technique je n'ai ni l'envie ni la capacité à dire quelque chose d'intelligent sur ce texte, simplement te faire savoir que j'ai trouvé ça beau, tendre et vivant. C'est déjà pas mal.
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jensairien
7/2/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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oui, moi j'aime bien et trouve bien vu le commentaire de Ghislainha:
ton poème respire ! C'est un peu aller fouiner au marché aux sensations... |
Anonyme
4/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bizarrement j'ai (contrairement à Isatis) bien aimé l'idée de ces coquelicots que l'on épluche, ces déserts que l'on ratisse, et ces marchés où l'on fouine. J'aimerais bien "m'éterniser sur cet éphémère" simple et d'agréable lecture.
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Anonyme
30/5/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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J'aime beaucoup la résonance de cet écrit, je me suis longuement attardé à le lire et le relire, il a quelque chose très très émouvant, de par sa composition. Il m'a embarqué avec cette phrase à la tonalité étrange et pourtant visuel "D'éplucher les coquelicots", et puis il y ce final
" Ça aurait été... J'en suis sûre " On voudrait parfois que certaines choses soient, alors qu'elles ne le sauront jamais, et pourtant elles sont si présentes dans leur absence d'échanges à deux. Sous le charme total du fond comme de la forme. |