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Maëlle
19/3/2008
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la hargne des derniers vers sauve le poéme à mes yeux... de justesse.
Mais il est vrai qu'a la lecture du titre j'attendais tout autre chose. Me retrouver face à un poéme d'amour assez banal là où je pensais croiser un univers de conte m'a plutôt déroutée. |
Faige
19/8/2008
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Il me semble que j'écrivais des choses de ce genre avant ... je crois que ça ne marche pas, parce que l'écriture cherche trop à écrire la violence des sentiments, ou leur charme, plus qu'à les transmettre eux-mêmes, directement. Lorsque l'auteur et le lecteur deviennent des anonymes, le -moi- et le -toi- perdent tout leur effet si la poésie se refuse à dire ce qui rend un sentiment, une situation, une personne, remarquable (ce qui oblige à être original, par exemple en insistant sur une situation particulière : ici, ce pourrait être le mensonge à Dieu) et qu'elle se réfugie dans l'exutoire du coeur (en fait on voudrait trop bien dire, alors on reste au plus près de soi, mais du coup la lecture devient trop lisse pour les autres). Je ne sais pas si j'ai visé juste, mais en tout cas voilà quelles réflexions ce poème m'a inspiré, suite à une impression de "déjà vu"...
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Anonyme
3/1/2010
a aimé ce texte
Pas
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Que de clichés...
Une impression de déjà lu déjà entendu... et une belle faute de syntaxe aux deux premiers vers... il manque un de après le ni. Banal poésie d'amour, alors que le titre annonçait autre chose. |
brabant
17/3/2013
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Ce texte se veut palpitation... et il ne palpite pas ! Sans doute parce qu'il y est question de Dieu, de mort et d'un écrin qui n'a pas forcément envie de se refermer. L'héroïne semble pourtant vouloir y mettre du sien après une stratégie peut-être trop jusqu'au-boutiste qui peut effrayer.
Et pourtant ça pourrait passer pour un tango alors que ça ressemble plutôt à un paso doble ! Lol |
Anonyme
4/8/2016
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
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"Il était une fois ..." C'était là comme une invitation à s'émerveiller, mais le titre n'a pas tenu ses promesses.
Dès les premiers mots, le texte s'enlise dans une déclaration amoureuse ennuyeuse, cela se voudrait une passion mais ici c'est sans flamme, c'est très terne, très conventionnel. C'est du déjà lu, c'est bien trop banal jusqu'à la dernière strophe qui assène le coup de grâce, par une éloquence dépassée. " Crois-moi, aime-moi Désire-moi et acharne-toi À vivre Car si avec toi, je suis toute Sans moi, tu n'es rien... Rien d'autre qu'un écrin... vide. " Non, vraiment il n'y a rien à retenir de cet écrit. |