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Bidis
5/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai énormément aimé le thème, les mots et la dernière strophe. Mais :
Dans la deuxième strophe le "quasi" me gêne. D'abord c'est un de ces mots qui me paraissent inutiles quand on le met pour un nombre de pieds adéquat. Ensuite parce qu'ici, c'est même le contraire qui se passe, c'est lui qui fait boîter le vers. Je n'ai pas trouvé de rythme dans la première et la troisième strophe et comme c'est un poème figuratif, sucré, léger, plus de cadence eût, je trouve, complété la gourmandise. 5 novembre : Béran a eu raison de mettre un post dans le forum sujet de ce poème. Aujourd'hui, le poème me paraît beaucoup plus beau, plus agréable "au palais", plus (en)chantant (les papilles). Et le "quasi" me gêne encore plus... Mais la note de 12 que j'avais mise me paraît trop faible, bien trop faible. Sans le "quasi", je mettrais 16... |
Anonyme
18/9/2009
a aimé ce texte
Bien
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Un texte que j'extirpe des limbes oniriennes, un commentaire me semblait bien peu.
Je trouve cela pas mal, j'aime bien le "rut des sous-bois mentholés" par exemple. La confiture n'est pas desservie par ce poème, loin s'en faut. On la retrouve colorée, sensuelle et naturelle. Ma préférence ira au deux strophes centales. A tartiner sans modération! |
Anonyme
26/5/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Je vois que de temps à autre, d'autres Oniriens viennent à flâner dans les couloirs d'Oniris, pour réveiller les écrits qui ont été un peu délaissés.
J'ai lu et ensuite j'ai fermé les yeux, les images m'apparaissent, les odeurs m'arrivent, m'envahissent. Les souvenirs aussi reviennent, temps des confitures, quand nous étions enfants, nous allions à la cueillette de ces fruits délicieux, surtout les mûres m'ont laissé un souvenir inoubliable, nos bras et nos mains meurtris, mais cela en valait la peine, en confiture ce fruit est succulent. Le fond, la forme sont de belle facture, donnant une très plaisante texture à ce poème de qualité. |