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Anonyme
20/12/2007
a aimé ce texte
Un peu
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Nous pouvons en parler
Toujours Plus ou moins maladroitement Oublier aussi Que les mots sont fragiles Parce qu'elle est là aimante et guette notre vie, Parce qu'elle prend toujours, jamais elle ne donne, Parce qu'enfin elle est soeur qui nous passe l'envie De l'aimer, la chérir, un jour nous abandonne Dès que la vie paraît. Elle montre son nez Dès que nos mots sont tus. Elle chante la vie. Dès que la terre chante en tristes destinées Elle est là conciliante outre son sens obvie. |
Couette
20/12/2007
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La mort, oui c'est bien d'en parler! j'ai bien aimé les deux derniers vers (les autres aussi..mais davantage les deux derniers. sans la mort qui nous guette, est-ce que nous écririons??
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Anonyme
31/7/2016
a aimé ce texte
Un peu
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"La mort" bien vaste sujet ...
Le curieux de cette formule : " Ça nous permet Ou nous oblige... peut-être " Là, une réflexion s'impose, pas vraiment sur la suite de vos mots qui ressemble à un bavardage insipide. Puis revient : " La mort, ça nous permet Ou nous oblige... peut-être À vivre en dette Pour l'éternité." Là, à nouveau une réflexion s'impose à nous. Une poésie dont la forme est sans originalité, seul le fond se démarque un peu par quelques mots "frappants". |