Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Poésie néo-classique
beran : Parce que...
 Publié le 11/11/07  -  3 commentaires  -  877 caractères  -  30 lectures    Autres textes du même auteur

Parce qu'il ne leur manque que la parole.


Parce que...



Parce qu'il y a...

Des mots soussignés insensés
Convoités des préjugés
Et empêtrés de synthèses
Qui se déclarent déserts.

Et des regards... Presque humains
Avides de besoin
Et marqués du silence
Qui vident d'avance.

Et parce qu'il existe...

Des pas, éperdument esseulés
Empressés de bonté
Et empreints de tristesse
Qui piétinent les jamais.

Et puis des gestes... Un peu lourds
Éloquents de caresses
Et humides d'amour
Qui tissent des soleils.

Parce que des fois...

Ils me frappent en plein cœur
Et je comprends
Que les bastions obsolètes
De cette vérité dite humaine
Ne sont qu'un prétexte qui gît
Canonisé au nom de quelque foi
Et j'en pleure...
Assise face à Lyssie
Qui n'ose pas me regarder.


 
Inscrivez-vous pour commenter cette poésie sur Oniris !
Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   irisyne   
18/12/2007
Beaucoup de pudeur et de jolis mots sur cette poésie pleine de charme.

   Anonyme   
30/7/2008
 a aimé ce texte 
Bien
J'aime bien aussi... Sauf la dernière strophe, trop "explicative"...
"Lyssie", connais pas mais pas très grave...
Terminer ce poème par le dernier "parce que des fois..." aurait été fort bien vu à mon sens. Dans l'ensemble j'aime bien.

   Anonyme   
1/8/2016
 a aimé ce texte 
Pas
"Parce que ...", nous en avons à revendre qui nous entraînent ici et nulle part, celui-là vous appartient bien trop, je n'y ai pas trouvé ma place. J'ai fait l'effort pourtant de lire et de relire ce texte plusieurs fois, rien y fait.

Je n'arrive pas à me concentrer sur ce qui est dit, cela passe tout droit, parce que les mots sont les uns à côté des autres, bien alignés c'est sûr, mais bien trop éloignés de ma compréhension, comme dans cette première strophe :

" Des mots soussignés insensés
Convoités des préjugés
Et empêtrés de synthèses
Qui se déclarent déserts. "

La suite du texte ne vient pas mieux me donner une indication, peut-être est-il question de différence, mais c'est sans conviction que j'avance cette hypothèse, ne voyant pas poindre la moindre lueur dans tout ce poème bien hermétique.

C'est là votre réflexion, cela est extrêmement rare chez moi, mais de plus, je ne trouve rien de poétique à ce texte.


Oniris Copyright © 2007-2023