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Anonyme
14/3/2008
a aimé ce texte
Bien
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Une belle dualité entre l'amour et la haine ! Moi, je préfère aimer !
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Anonyme
14/3/2008
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Bonjour beran, désolé mais moi je ne vois ici qu'une succession de banalités.
L'amour, la haine... Oui, pourtant tout est dans la façon de l'exprimer... |
clementine
14/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai bien aimé ces 2 sentiments frères jumeaux, un peu janus, à double face, placés en miroir ou dos à dos c'est selon.
Pas transcendant (mais je suis sûre que ce n'était pas le but)mais agréable. |
Sanderka
14/3/2008
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"Créer des jardins fourrés aux câlins", j'ai bien aimé le clin d'œil entre fourré le nom, et fourrer le verbe. Si clin d'œil il y a, bien sûr.
Que c'est bon d'aimer, que c'est dur de haïr. Si tu savais combien de fois j'ai regretté l'un et l'autre. Y aurait-il entre les deux un no man's land appelé "pardon" ? |
Anonyme
14/3/2008
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Je t'aime ou je te hais ? J'aurais aimé un peu plus d'épices.
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Anonyme
27/6/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Entre "amour" et "haine", ne dit-on pas qu'il n'y a qu'un pas. Mais je préfère n'avoir jamais à le franchir, en gardant le meilleur l'amour.
Il vaut mieux l'indifférence à la "haine" qui n'engendre rien de bon, ni pour l'un, ni pour l'autre. Les deux formulations sont faites avec des arguments frappants d'un côté comme de l'autre, dans les deux il y a cet ingrédient étrange qu'est la "passion", cet excessif qui n'apporte pas que le bon dans un sentiment. J'aime vraiment beaucoup la première strophe qui est succulente : " Que c'est bon d'aimer, De sentir son cœur gonfler Comblé et serein... À n'en plus finir. De siroter le bonheur, Flirt en main. De compter pour du beurre Les choses moindres. De créer des jardins Fourrés aux câlins. De susurrer au pire "Si tu savais combien..." J'en aime la formule "De siroter le bonheur" ... savoureuse à souhait. |