|
|
Anonyme
22/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Tous les concurrents ont sans doute eut l'idée d'évoquer le tripalium.
Devant un sujet de concours aussi peu poétique, c'est la première qui vient à l'esprit. Encore faut-il en avoir le souffle. C'est le cas dans ce texte ou l'on retrouve des accents Hugoliens. Respect! |
David
22/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Bidis,
C'est intéressant cette origine supposée du mot travail, c'est trés bien trouvé (ou rendu). Un bon poème à la première personne, un boulot de poète, bravo ! |
Anonyme
22/10/2008
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
Je ne peux que m'incliner devant ce talent phénoménal!
Franchement ce texte est superbe et jamais je n'aurai eu l'idée du tripalium (bien que je connaisse l'étymologie). Je te tire mon chapeau bidis! |
belaid63
22/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
c'est un thème touchant, vraiment! la souffrance des femmes "au travail" forcé. le ton est juste, le texte fluide. je regrette "enivre" qui tombe un peu comme un cheveu sur la soupe.
sinon j'ai vraiment aimé ce poème plein de justesse et d'harmonie bravo |
xuanvincent
22/10/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Dès les premiers mots, les images sont fortes. L'horreur du travail forcé m'a paru bien rendue. Il est difficile de rester insensible à ce poème, que j'ai trouvé de plus très bien écrit.
PS : J'ai pensé à un moment à une scène de camp de concentration mais je pourrais relire ce poème comme une critique plus générale du travail, de l'asservissement de l'homme par le travail. |
Doumia
23/10/2008
a aimé ce texte
Passionnément
|
C'est magnifique ! Quel superbe travail ! Je m'incline bien bas. Des poèmes libres de cette qualité je n'en lis pas tous les jours !
Quel talent Bidis, bravo à toi. |
Anonyme
23/10/2008
|
Je m'incline devant ce texte poignant, coupant ... quel souffle, Bidis !
Moi aussi, au début, je suis partie sur l'idée de victimes de camps de concentration. Et puis très vite on comprend ... et ça prend aux tripes, tant les mots viennent parfaitement faire danser l'horreur devant nos yeux. J'ai juste un peu moins aimé l'avant-dernière strophe. Je ne la trouve pas dans le ton du reste, moins puissante, plus "racoleuse", plus simpliste... elle manque de cette force dérangeante qui soutient le reste du texte. En tout cas, bravo et merci pour ce très beau texte. |
Flupke
28/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bravo Bidis !
Ces émotions sont très bien exprimées. Le texte est émouvant. Et aussi instructif. Et je ne sais pas si, après lecture, le fait de tendre le bras vers mon Larousse pour vérifier/fouiller davantage l’étymologie peut être considéré comme un « travail ». Auquel cas ce poème serait étrangement interactif, d’une part de par l’émotion générée à la lecture et d’autre part de par l’interactivité thématique qu’il suscite, c'est-à-dire de l’effort en rapport avec son thème. A quand un poème sur le thème de l’Ouroboros :-) ? Amicalement, Flupke |
An-Honyme
23/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Chapeau bas... C'est un beau travail sur un thème assez difficile.
|
Anonyme
23/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Oh, merci à cette an-honyme d'avoir fait réapparaître cette merveille que je croyais avoir déjà commentée. Bon sang sur ce coup je m'en veux.
Poignant, Bidis, fort, dur, évocateur, merci pour cette gifle. |
Anonyme
19/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Oui, un poème fort.
De jolis jeux de sonorité en outre. Pour ma part, je trouve que les deux dernières strophes sont de trop. Terminer par "scélérats" m'aurait plus convenu. De l'implication, du souffle. Du bel ouvrage. |
ANIMAL
4/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Un texte magnifique, reflet d'une triste réalité, empreint de désespoir autant que de fatalisme.
Il manque pour moi l'expression d'une révolte. Mais c'est une question de point de vue et cela n'enlève rien à la performance. Merci pour ce poème rythmé et prenant. |
brabant
15/4/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Bonjour Bidis,
L'esclavage était le lot commun des peuples vaincus dans l'Antiquité et tel philosophe réputé vivant dans l'opulence pouvait très bien se retrouver esclave du jour au lendemain, d'où les théories fatalistes. Du moins le brillant esprit devenait-il pédagogue dans une illustre et riche famille, l'homme du commun n'avait lui de mine que de sel. J'aime la note sur le mot "tripalium", ainsi il a donné le mot "travail". Merci Bidis, je comprends mieux maintenant pourquoi le travail est une torture. Lol Très vivant ce poème où j'aurais peut-être mis plus de fatalisme :) et puis aussi, pitié pour les cochons, ce sont des animaux très sensibles et très intelligents. Je le sais, j'en suis un. Euh non... je ne suis pas intelligent :D :D :D |
hersen
13/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Et bien Bidis, voici un poème à la fois très fort et très détaillé.
Un ton fataliste pour décrire toutes les peines, physiques et psychologiques. Texte très imagé, nous n'avons aucun mal à " voir " ces esclaves subir l'humiliation d'être vendues. Vraiment, bravo Bidis. |
Pimpette
6/5/2016
a aimé ce texte
Passionnément
|
Tellement bouleversant que je n'ai guère envie de mots pour le dire...
Il fait d'ailleurs l'unanimité des commentateurs ce qui est rare et mérité amplement! "comme viande à l’étalage, sans défense et sans soutien, nous nous soyions tenues, nues,..." J'ai pensé que vous aviez vécu ces horreurs? Merci Bidis pour ce texte douloureux |