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strega
25/2/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Très très poétique, j'ai complètement adoré le début avec ces mots balancés au lecteur comme ça. J'adore, ça fait très dialogues de films noirs je trouve. L'ambiance générale aussi d'ailleurs, la fumée, l'espace, les descriptions.
J'ai beaucoup aimé également la troisième strophe, entre l'absurde et le terriblement concret. En revanche, le narrateur est bien une narratrice en l'occurence? Non parce que première strophe : "Je reste assise [...]" Dernière strophe : "Je suis entièrement constitué [...]" qui passe donc au masculin... Enfin bref, j'ai juste regrêté cette légère perte de poésie à la dernière strophe. Peut-être correspond elle à la perte des illusions...? Je n'y avais pas pensé en fait. Bravo et merci |
clementine
25/2/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'avais lu il y a quelques temps et beaucoup aimé, je pensais avoir commenté et non...
Bon, jamais trop tard. Une atmosphère nimbée d'irréel, de mystère impalpable, à la fois glauque et magique. Tu nous fais pénétrer dans un monde où tout devient possible, le monde du rêve, ton rêve. C'est très bien écrit et si agréable qu'on aurait souhaité que ce soit plus long. J'adore la fin. |
solidane
1/7/2009
a aimé ce texte
Bien
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Curieux texte, tout n'est que sensations et peut-être sensualité. En cela très original et appréciable. Derrière malaise et difficulté d'être perçus. Un joli moment.
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Anonyme
23/5/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Je retournai vers votre écriture parce que le texte précédemment lu m'a procuré de drôles d'émotions, dans le sens il m'a beaucoup touché et qu'il a révélé un peu de mon histoire.
Ici encore nous voilà transposés dans ce monde qui faite transparaître votre ressenti, troublant et énigmatique. Mais chacun être humain est ainsi fait de ces ambiguïtés qui le vacillaient au fil de ces émotions. "Les sons résonnent aux corps et paraissent les éveiller tour à tour. Le piano parle à ma table, qui parle à ma tasse de thé, qui parle à mon tabac. Mes mains touchent leur conversation, tour à tour, ils se parlent. Comme je voudrais les connaître mieux ces mains. Elles me diraient le secret des choses, mais elles ne m’ont jamais donné plus que l’impression de n’être pas à la hauteur de leurs possibles. Tout juste caressant ton corps, me permettent-elles d’aimer ce que de toi je ne possèderai jamais." C'est la partie de votre texte qui me délivre un message, tout particulièrement " mais mains touchent leur conversation ...", plus loin encore je lis "e suis entièrement constitué d’impressions, de doutes et de questionnements." Nous en sommes là aussi parfois, aucun être n'échappe à cette interrogation, c'est en fait notre force, ce pouvoir de réflexion. Comme elle sonne fort cette dernière phrase "Ne réveillez pas, je vis" . J'aime vraiment beaucoup votre écriture, vous êtes vraie. |