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Miguel
15/4/2022
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Déjà, il faudrait présenter un texte un peu plus achevé, avec "a disparu", "je n'ai pas dit : "mon coeur, je t'aime" ", "je me meurs", "de ne plus l'entendre" : ça aiderait le lecteur à se concentrer sur le contenu. Les fautes de français ne sont pas des licences poétiques.
On ne voit pas trop le rapport entre l'oiseau moqueur et l'amour. L'oiseau rebelle de Carmen, je comprends ; mais moqueur, non. Miguel, en EL Edition : Le texte est publié débarrassé des faiblesses formelles que je lui ai trouvées ; c'est déjà mieux. |
Anonyme
4/4/2022
a aimé ce texte
Bien
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Je ne sais pas s'ils sont volontaires, mais j'aime bien les trébuchements du rythme dans les vers
Mon cœur nu reste en bataille. et Il prend les cœurs pour les prendre. heptasyllabiques au lieu d'octosyllabisues comme tous les autres, j'y entends justement la détresse du narrateur ou de la narratrice à qui manque l'être aimé, comme manque une syllabe à chacun de ces vers. Sinon, bon, un sujet beaucoup beaucoup énormément traité, hein, ici avec une fraîcheur, une nudité qui ne me déplaisent pas. |
Mintaka
7/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un poème octosyllabique en 6 distiques c'est peu courant. Il manque toutefois une syllabe au V4 et 10 où par ailleurs la répétition de "prendre" est bizarre. Surprendre aurait peut-être était mieux, pour le nombre de syllabes et la répétition.
Mais votre choix est certainement différent de ce que j'en comprends, sans doute. Ceci dit, ce poème est harmonieux et les images évocatrices. On se laisse bercer par le rythme en s'appuyant sur la répétition de certains vers qui passe fort bien. Texte bref mais réussi poétiquement parlant. En E.L |
daphlanote
8/4/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Argh.
Il y a quelque chose dans ce texte. Malheureusement il est inabouti. "Mon cœur nu, reste en bataille." " Et je me meure , de plus l'entendre" La virgule est de trop sur ces deux vers. La répétition de la disparition de l'oiseau moqueur est regrettable également. Le texte est déjà court et peu charnu, je pense qu'il aurait dû être possible d'ajouter un peu de substance à l'idée en évitant la répétition. J'aime la musique, j'entends qu'il y a un sens, mais je cherche ce quelque chose qui aurait donné force et images au texte. Oui, là, définitivement et à mon avis, l'oiseau moqueur est par trop transparent. Bonne recherche ! |
Cyrill
8/4/2022
a aimé ce texte
Bien
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Je ne sais pas qui est cet oiseau moqueur, s’il représente l’aimé(e) ou un témoin persifleur des chagrins du narrateur. J’opte en fait pour les deux solutions à la fois finalement en lisant le dernier vers.
J’ai trouvé bien vue la presque homophonie entre moqueur et mon cœur et j’aime bien l’ensemble de ce poème gazouillant ( malgré la tristesse ), la simplicité du vocabulaire et l’émotion qui s’en dégage en très peu de vers. |
BlaseSaintLuc
14/4/2022
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Modéré : Commentaire de l'auteur sous son texte (si besoin, ouvrir un sujet dans "Discussions sur les récits").
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papipoete
15/4/2022
a aimé ce texte
Bien ↓
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bonjour BlaseSaintLuc
Il doit bien y avoir une subtilité, dans ces distiques façon crincrin, que le diamant du phonographe pourrait répéter à l'infini ? NB l'oiseau moqueur est un tyran, n'est sûrement pas de la gente ailée ( car ne tyrannise pas mais tue... pour manger ) aussi, opterais-je pour un corbeau à l'écriture diabolique, ou autre personnage mal intentionné ? et pourtant sa victime se meurt de ne plus l'entendre... bien mystérieux tout cela ; mais l'ensemble façon chansonnette n'étant pas dépourvu d'une certaine musicalité, je lui accorde un oeil indulgent ! |
Anonyme
18/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un texte intéressant mais à peine l'avais-je commencé qu'il était déjà fini... Si j'ai correctement compté, enlevées les répétitions, il ne reste que huit petits vers, ce qui est trop peu pour développer une idée poétique tangible. Néanmoins, il y a une certaine ambiance dans ce poème symbolisé par cet oiseau moqueur dont on se demande bien qui il est... Alors est-ce qu'il y a une référence caché à "Ne tirez-pas sur l'oiseau moqueur" sublime roman de Harper Lee, humm... No sé, señor... Anna |
Robot
14/4/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est simple mais pas désagréable, un peu comme une comptine avec ses répétitions. Les ruptures de métrique donne un rythme chantant qui me plaît.
Je pense que l'oiseau moqueur est une métaphore qui désigne un séducteur qui prend et ne s'attache pas. |
Polza
14/4/2022
a aimé ce texte
Bien
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Je ne saurais trop dire si j’apprécie vraiment ce court poème ou non.
Le fait qu’il soit justement si laconique m’empêche presque d’y rentrer pleinement et en même temps une autre partie de moi se dit qu’il se suffit à lui-même. Finalement, en fredonnant en boucle cette rengaine, j’aime assez, mais pas suffisamment pour que j’aille au-dessus du bien. Seul petit bémol pour « Et je me meurs », je n’ai pas pu m’empêcher de m’imaginer une vache en face de moi ! |
StephTask
24/4/2022
a aimé ce texte
Bien ↓
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Ces distiques ne m’ont pas laissé indifférent. Il y a un rythme dans la répétition que je trouve intéressant et presque addictif. Finalement, alors que je commençais à être emporté par cette ritournelle, le poème était déjà fini. Quelle frustration !
Je suis également partagé entre l’impression d’une nonchalance assumée et la sensation que certains vers ont été un peu expédiés. Toutefois, ma curiosité a été piquée et j’ai donc lu quelques une de vos publications. je suis tombé par hasard (et avec joie) sur de très jolis distiques dans « Le spleen d'un masque sans carnaval ». J’ai également apprécié « le ressac » et son rythme saccadé. Merci pour ce partage. |
chacalchabraque
23/4/2022
a aimé ce texte
Bien
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des irrégularités de vers oscillant entre 7 et 9; j'eus aimé plus de régularité; mais texte court, musical avec une belle intensité poétique; prends ta guitare invente une mélodie pour cette petite chanson !
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