|
|
Lebarde
20/4/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
|
Découvrir les lieux tout seul le nez au vent n'est pas pour déplaire.
Etre aidé par une signalétique complète, pour ne rien rater et retrouver son chemin avec "son canasson" n'est pas toujours inutile, surtout dans les couloirs de la gare du nord quand on est "à pied" ou dans les nœuds routiers de nos banlieues quand on est en voiture!! Ajoutez un ton primesautier et quelques jeux de mots pour faire une poésie et le lecteur y trouvera son compte. Bonne chance pour la suite Lebarde |
Robot
1/5/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
|
L'idée est originale. C'est dans son développement plus que dans les mots que réside cette originalité poétique avec un brin d'humour. Je suis moins séduit par l'écriture, notamment les deux "il y a" que des verbes ou des mots plus précis aurait pu remplacer.
|
papipoete
1/5/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
|
bonjour concurrent
un sentier qui mène là où vous voulez aller, y'a qu'à suivre l'étoile, celle que reflète l'eau dans cette morte, avant de sauter la petite marche ; suivez la piste des ratons-laveurs, c'est la bonne direction, allez ! NB un poème en assonances campagnardes, un peu farfelu ( comme dans le 3e distique ) mais ça peut séduire, on ne sait jamais ? la dernière strophe par contre, ne m'emballe pas. |
Corto
1/5/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
|
Ces quelques vers auraient mérité plus d'attention. Les deux premiers m'ont attiré mais la suite est un peu hâtive à mon goût.
Au quatrième vers un horrible "il y a" me fait sursauter, répété hélas au vers suivant. Le final est surfait et peu élégant. Pourtant on aurait pu avec ces éléments formuler plus élégamment cette mise en scène. |
Provencao
2/5/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
|
Vous avez choisi d'usiter la forme spontanée, impulsive pour votre poésie, c'est un exercice de grande difficulté qui demande une redoutable exigence, qui ignore la grandiloquence et la sophistication.
J'ai trouvé votre écrit éparpillé, en mots assemblés "en mélange" des plus incertains. J'en suis désolée, je n'ai pas accroché à votre poésie. |
Cox
2/5/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
|
Bonjour,
Je reste un peu perplexe devant ce poème que je n'ai pas réussi à comprendre. L'impression générale qui ressort du poème pour moi, c'est une légèreté bucolique avec un côté frais et enfantin. Mais le propos s’enchevêtre dans tant d’images disparates et d’expressions que je n’arrive pas à démêler, que je n’arrive pas à dégager un sens global pour ma lecture. Sur ce sentier de terre, suivez la rivière, comptez les marguerites, égarez-vous un peu. Cherchez votre étoile, à la frontière, apprenez au fil de l’eau, inventez un jeu. Le premier vers ne pose pas de problème et plante le ton champêtre et mignon. Sur le deuxième en revanche, j’aurais bien aimé qu’on me précise cette histoire de frontière qui ne m’apparaît pas claire. Est-ce à la frontière entre ciel et Terre que l’on doit chercher cette étoile indiquée par les panneaux ? A la frontière que dessine la rivière ? A la frontière du département sur lequel vous avez fait des recherches ? En l’état, l’expression me paraît trop maigre pour avoir un sens, sans que ce ne soit le lecteur qui écrive pour vous par extrapolation. Un peu le même problème sur « inventez un jeu » pour moi, que je ne saisis pas trop. J’imagine un écolier qui déambule le long de la rivière et qui s’invente un jeu du genre compter les coccinelles ou sauter sur les pierres. Mais j’aurais bien aimé que l’idée soit clarifiée, ou imagée. En l’état, je trouve que l’expression du poème flotte un peu dans le vide, en suggérant des possibilités parfois multiples, sans vraiment les évoquer e t leur donner corps. Les ratons laveurs vous observent passer, ça ne déraille pas trop, au bord du fossé. Je cherche mon étoile, pour m’y réfugier, il y a des mauvaises graines cachées. Les ratons laveurs sont mignons et me plaisent assez, par contre je ne comprends pas le déraillage. Métaphore cycliste, clin d’œil qui m’échappe ? Ca ne paraît pas très rattaché au reste, à moins que ce ne soient les ratons-laveurs qui ne déraillent pas trop ? Mais je ne vois pas ce que ça veut dire. Cette 2ème moité de vers tombe un peu comme un cheveu sur la soupe pour moi. Le vers suivant me fait un peu tiquer parce qu’on passe d’un narrateur qui parle à son lecteur et le guide dans sa promenade à une narration à la 1ère personne du singulier. Bizarre transition ; je m’imaginais promener, et maintenant je suis la promenade d’un autre. Le sens ne m’apparait pas tout à fait évident : on introduit un élément de danger avec les mauvaises graines qui rôdent et la nécessité de se réfugier ? Le poème va-t-il donc évoluer de son ton badin vers quelques chose de plus sombre ? Dans le ciel, il y a un bal, le concert a commencé, c'est le boulanger qui dirige la baguette ! Un jour, vous vous perdrez dans le village perché, à pied, à cheval, ou peut-être à bicyclette ! Non, nous voilà revenu à la légèreté. Le bal des nuages est joli, par contre je ne suis pas du tout convaincu par le jeu de mot facile avec le boulanger (d’ailleurs je suis plus familier avec l’expression « mener à la baguette »). En dehors du calembour, on ne voit aucune raison symbolique à ce que le boulanger dirige la danse du ciel, et à mes yeux l’image s’effondre complétement pour cette blague un peu faible. Nous voilà également revenu au vouvoiement, mais cette fois au futur. Décidément, je m’y perds. Ceci dit, me perdre dans un village perché me tente bien. Mais « à pied, à cheval, ou peut-être à bicyclette », expression convenue qui bouffe toute une moitié de vers dans un poème si court me laisse assez peu convaincu… Apprendre, c’est aussi compter les kilomètres, ou bien rêver de l’espace profond. Faut-il suivre les leçons du maître, ou bien planter là son canasson ? Le premier vers est de loin celui qui me plaît le plus de tout le poème parce que j’y trouve un sens intéressant. Il y a bien des façons de grandir, l’expérience, la vie ou l’introspection sont mis á l’honneur. Quel dommage que ce dernier vers selon moi. On aurait pu opposer à cela l’apprentissage scolaire, mais ce dernier vers s’embourbe, lui qui oppose deux options qui pour moi se rejoignent. Soit « suivre les leçons du maître », soit « planter là son canasson ». Pour moi, les deux reflètent la même option : plutôt que d’apprendre par expérience, on choisit de se poser (planter son canasson) et écouter le maître. Les images s’embourbent donc et ne reflètent pas l’opposition que voudrait la syntaxe. Bref, je crois que je lis un texte sur l’importance de vivre des plaisirs simples, et d’apprendre en chemin. Malheureusement, je trouve les vers parfois mal construits et les images trop chaotiques pour vraiment apprécier le poème, même si sa légèreté aurait pu séduire. |
Donaldo75
11/5/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
|
Originale, l'idée ! Il y a presque un côté annonce de monsieur Loyal dans la tonalité du genre "venez mesdames et messieurs à la station de l'Etoile" et c'est ce qui m'a intéressé en première lecture. Malheureusement, cette idée ne dépasse pas le cadre conceptuel et les deux derniers vers qui semblaient embarquer la lecture quelque part ailleurs sont bien seuls et manquent de relief. Il aurait fallu continuer dans cette voie pour que les deux parties s'équilibrent. En l'état, le poème tombe à plat.
Dommage |