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papipoete
25/12/2014
a aimé ce texte
Bien
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les amoureux du "fil de l'eau" ont tous en mémoire ce passage fugace , tel une flèche du martin-pêcheur! le vôtre s'arrèta, le temps d'échanger un regard, et vous éblouir de son éclat!
Votre film de la scène haute en couleur, est bien monté sans trucage, ni fioriture, cependant votre "sonnet néoclassique" boite au 6e vers avec ses 13 pieds. |
Lulu
26/12/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Superbe sonnet, et ce, dès le premier vers.
J'aime particulièrement la formule "il s'enfuit colère" qui attire l'attention, comme cet oiseau que l'on se représente facilement. J'aime aussi le ton de ce poème, notamment dans les vers suivants : "Il alla se poser, qui sait, sur un roseau / Ou se dissimuler en quelque inflorescence." J'aime enfin la représentation que vous vous êtes fait de cette fugace rencontre et qui s'exprime admirablement dans le dernier tercet. Une bien belle lecture. J'en redemande. |
Curwwod
28/12/2014
a aimé ce texte
Un peu ↓
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L'idée de cette peinture animalière, s'intéressant à un spéciment peu courant pour le commun eût été judicieuse et instructive sans les nombreuses maladresses de construction des vers qui nuisent à la musicalité et à l'harmonie de l'ensemble, rendent la lecture peu fluide. Par ailleurs beaucoup de banalité dans nombre d'expressions trop plates font que, loin de son propos, le poème n'a pas le pittoresque et le poétique, la légèreté qu'on était en droit d'attendre.
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Anonyme
29/12/2014
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Encore un de ces poèmes qui ne demanderait que peu de travail
pour être au top. Un bon premier vers. Le en est de trop dans le vers suivant. Deux hiatus dans les vers 3 et 4 : même si je sais leur permission en néoclassique je les trouve disgracieux à l'oreille. Revoir les vers 2 et 4 du second quatrain (mal agencés). Le qui sait du premier tercet fait trop cheville, il peut être remplacé. J'aime bien le fond original du dernier tercet même si je pense qu'ici aussi il peut être amélioré. Au final, un texte qui mériterait un retravail. |
Michel64
7/1/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Je n'ai pas été séduit par ce poème qui me paraît maladroit dans le construction de ces vers avec des passages à la ligne cassant la diction comme dans tout le second quatrain.
L'expression "s'enfuir colère" est une faute que l'on entend parfois dans la langue parlée et qui ici paraît encore moins à sa place. De même ce verbe "traçant" employé sans complément ne me paraît pas très heureux et les mots "Moi, je" sont rarement bienvenus. Du point de vue description de la nature, je ne pense pas qu'un oiseau puisse être orgueilleux, mais juste apeuré. Cela à déjà été dit dans les autres commentaires, mais effectivement ce poème à sûrement été lâché trop tôt. Il me paraît manquer de travail. Désolé je n'ai pas beaucoup adhéré. La prochaine fois sûrement. |
Francis
7/1/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'apprécie tout particulièrement la visite quotidienne du martin-pêcheur dans mon jardin au bord du fleuve ! C'est un instant fugace car l'oiseau est méfiant ! Il en est de même pour son compère le pic vert. Je suis donc sensible à ce sonnet. Toutefois, quelques corrections devraient en améliorer la qualité. Il manque peu de chose pour que ces vers prennent leur envol !
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Robot
7/1/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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C'est un bon néo-classique, sur un thème agréable. Mais il aurait beaucoup gagné à devenir un vrai classique ou bien un libre rimé. Dans cette catégorie néo, hiatus, renvoi et nombreuses chevilles l'affaiblissent en donnant le sentiment d'être forcés par la tenue des 12 pieds. Intéressant cependant.
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Anonyme
7/1/2015
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Salut Bobby
Il suffit de peu de choses pour lisser un peu les plumes de votre martin-pêcheur. Donner un peu de fluidité aux vers 3, 4 Par exemple au 3 en remplaçant "qui" par "il" (en ce cas mettre un point après martin-pêcheur) Idem au 8 en évitant que l'hémistiche rime avec le vers lui-même Eviter au vers 13, la redondance « orgueil », « fierté ». La rime imposant le second, il faut sacrifier le premier. Sinon, j'aime bien les enjambements qui donnent un peu de pep au sonnet et le ton décontracté du narrateur. Merci Bobby et à vous lire à nouveau |
leni
7/1/2015
a aimé ce texte
Bien
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nous avons tous eu un jour le plaisir de voir s'envoler un Martin -pécheur C'est un arc en ciel fugace La description donnée dans ce sonnet montre combien il est sensible à la beauté Maintenant parler de stupeur et de colère et d'orgueil c'est une interprétation personnelle Possible Elle m'éloigne un peu de l'image J'ai apprécié ce sonnet
Salut cordial Leni |
Pussicat
11/1/2015
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Bonjour Bobby,
Quelle construction pour une rencontre si fugace ! ce fut bref dans l'instant mais la lecture est quelque peu ardue... ouah ! faut s'accrocher un peu, tout de même, entre les virgules, les enjambements en virage sec, et les vers un peu olé olé comme : "Qui fut éphémère car il s'enfuit colère." Vous devez avoir l'oeil éclairé pour lire de telles attitudes et sentiments dans les mouvements d'un oiseau aussi rapide que l'éclair... J'ai eu du mal à lire votre texte mais j'en retire un certain plaisir... c'est étrange... je dois être masoche... ;) A bientôt de vous lire |
StayinOliv
23/2/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
J'adore la nature et les animaux mais je n'ai pas été séduit cette fois ci par votre poème. Peut être est-ce dû à la description, pas assez poétique à mon goût, ou les sentiments prêté à l'oiseau qui font que je reste sur ma faim. La fin ne fait pas assez fin, ne conclue pas à mon sens. Terminer par une pensée du narrateur plutôt que de l'oiseau aurait peut être rendu ce texte plus vivant. Olivier |
Anonyme
25/7/2016
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
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J'ai été quelque peu déçu par ma lecture, je m'attendais à mieux.
La "Rencontre fugace" est momentanément là, mais soudain vous avez tout gâché, il me semble qu'en cet instant, l'orgueil c'est l'humain, car vous n'avez pas vraiment su apprécier pleinement cette "Rencontre fugace". Je n'ai pas aimé du tout le fait que vous prêtiez à cet oiseau des réactions humaines, pour un amoureux de la nature, c'est un non sens. Quant à la dernière strophe, à elle seule, elle démontre bien votre méconnaissance de la nature : " Moi, je restai sans voix, j'étais déconcerté Par l'orgueil d'un oiseau tout gonflé de fierté Qui, c'est sûr, refusa de souffrir ma présence. " Vous ne manquez pas d'air, si je puis m'exprimer ainsi en concluant par ce "Qui, c'est sûr, refusa de souffrir ma présence." Enfin, voyons, soyons sérieux ... Ce texte montre à quel point l'humain peut être arrogant, en prêtant ainsi à l'oiseau, ce que lui seul est capable de ressentir en pareil cas. |