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StayinOliv
26/2/2016
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Votre texte a des belles images, mais je ne les ai malheureusement pas comprises. Je n'ai rien compris du tout en fait. Je crois savoir que l'on est dans un rêve, et que de ce fait c'est un peu brouillon et que c'est l'imaginaire qui parle, mais il n'y a pas de fil directeur à mon sens dans ce poème confus. |
Mourmansk
15/3/2016
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Il règne une atmosphère cotonneuse à la lecture de ce texte très mélodieux.
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Pimpette
15/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'achète!
Nul besoin de trouver un sens précis car on est bercé par la poèsie du texte...la première strophe nous dit d'emblée que les mots vont s'enlacer au gré de l'inspiration..."la sirène, la grève, la vague et le wagon lit""" Je suis chez moi dans cette écriture là.Moderne sans être elliptique. " Les moutons et les mouches tsétsé un peu plus bas viennent bercer le rêve viennent accompagner le presque sommeil; |
Teneris
15/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà un bien charmant poème ! Globalement fluide et bien rythmé (sauf, peut-être, l'avant-dernier vers où le double « cr » me semble un peu disgracieux), paré d'oniriques images et d'une agréable pointe d'humour (mention spéciale à la quatrième strophe !), il nous emmène au fil des mots vers un ailleurs qu'il n'y a qu'à fermer les yeux pour explorer !
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Pouet
15/3/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'aime assez votre poème notamment pour sa quatrième strophe que je trouve amusante, qui ne se prend pas au sérieux.
Il y a en revanche d'autres choses que j'aime beaucoup moins comme "J'aime le rêve, j'en rêve..." Franchement pas terrible, à mon humble avis, ça ne me parle pas du moins. Et puis les sylphides, les nymphes et les ondines c'est pas trop mon truc mais ça ne concerne que moi aussi. Il me semble qu'il manque quelques virgules ou autre ponctuation, sûrement est-ce voulu mais c'est assez étrange, soit on en met soit on en met pas. Enfin on fait comme on veux en fait, je relève juste. Sinon en croisière, le rêve vous convie avec la cantatrice marine ou la sylphide des vents? Le doute plane... Vogue plutôt. Je vote pour la cantatrice. L'absence de ponctuation entrave la compréhension tout de même, notamment celle des deux derniers vers, c'est pas très clair "où est écrit craint fragile/l'éclat du rêve brisé" . Dans l'ensemble je reste un peu sur ma faim, on navigue un peu entre deux eaux, l'auteur semble hésiter entre lyrisme et humour, préciosité et dérision. Et chez moi ça fonctionne moyennement. Cordialement. |
Raoul
15/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime la poésie, j'en poésie…
Voilà un traitement original pour un sujet qui l'est plus depuis qu'houlala ! Surprise moderne et glissade à presque chaque vers. C'est d'une grande précision et à la fois (j'ai pensé à certains films de Raoul Ruiz) d'une étrangeté familière, une claudication musicale (avec les vers de sept pieds - chers à Verlaine -). Le travail sur la versification et les rimes est une contrainte ici créative (à l'exception des plus faibles "duvets/brisé" de la dernière strophe) et sans doute moteur pour la création du texte… J'ai l'impression, à la lecture, de phrases en prose pliées en quatre. J'aime assez le côté "laboratoire" très personnel de ce texte; on n'est pas loin de l'alchimie. Le précipité obtenu est intéressant, je trouve. Merci pour cette lecture revigorante ;-). |
Anonyme
16/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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J'apprécie la diversité du vocabulaire donc des évocations. Je dirais que vous n'auriez pas dû répéter le verbe rêver, le premier vers s'en chargeait déjà, de même que joindre fait doublon avec unir.
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Lulu
16/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Bonjour,
j'ai bien aimé lire ce voyage dans le rêve. Il m'a donné l'impression de voir quelques tableaux surréalistes, et j'ai trouvé cela fort plaisant. J'ai préféré le début du poème à la fin. En fait, je n'ai pas tout à fait accroché à la dernière strophe. J'ai buté sur "gonflable duvet" (je n'ai pas trouvé d'intérêt à l'inversion) et sur "Où est écrit craint « fragile »" (un vers peu fluide, sans sens vraiment). |
Methos
3/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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On se sent transporté immédiatement dans cette courte et intense aventure qui a l'intelligence de nous laisser imaginer le reste.
Je me suis vu aux côtés de la muse des océans ou de la muse des vents, sur terre ou en mer, voir les deux à la fois, car les herbes hautes secouées par les rafales ressemblent aux vagues déchaînées. Le rêve a cette vertu profondément religieuse de nous faire croire à l'impossible sans que nous en doutions un seul instant, c'est durant "la petit mort" comme disent les sages que nous perdons enfin l'illusion du contrôle pour nous laisser guider à travers les eaux ou les nuages ! Merci pour ce texte qui m'a fait chaud au cœur ! |