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Robot
2/9/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un texte qui se déclame plutôt bien avec quelques images parlantes comme "La pâte à modeler les mots" suivi de "Je la pétris". Puis "les pépites qui n'ont plus gangue ni goudron".
J'ai buté sur le dernier quatrain qui me paraît le plus faible. Surtout sur ce dernier vers peu esthétique "ou coule-les moi en lingots" désagréable phonétiquement. "Oukou lelé" ...et ce très lourd hiatus "moi-en". Cette construction finale vient partiellement remettre en cause le juste plaisir pris à la lecture des quatre premiers quatrains. |
Anonyme
15/9/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Joli petit poème qui se termine sur un mode ironique.
J'aime bien La pâte à modeler les mots. Mais que veux-tu, à notre époque, elles préfèrent les espèces sonnantes et trébuchantes à nos vers aussi beaux soient-ils ! Bien à vous. Hananké |
Pimpette
15/9/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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OUI!
C'est simple,vrai, charmant! J'y crois à ton amour! :-)! Mais il faurait mieux supprimer l'exergue qui téléphone maladroitement ton sujet,non? Tes mots sont limpides et se suffisent à eux -mêmes! |
Anonyme
15/9/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bien sympathique ce poème désabusé, où l'ironie le dispute à la dérision.
Et puis, le sujet me parle directement : Quel poètereau n'a pas été un jour refroidi par le matérialisme de je ne sais quelle femme aimée et trop prosaïque ? ... |
Anonyme
21/9/2013
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Commentaire modéré
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