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Anonyme
23/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Oui j'aime bien ce petit poème sans prétention.
Il y a de l'humour pour dédramatiser une tâche difficile et ennuyeuse. Merci aux "Marguerite " de combler l'ennui. :-) |
Anonyme
27/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est frais, court, cala se lit comme un petit conte au mécanisme précis.
J'aime aussi le patatras qui donne de la modernité, le Ohé qui interpelle. Bref, j'aime beaucoup. |
Vincendix
15/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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C’est court mais évocateur, le mirador devient la tour de Nesle où Marguerite et ses frangines s’adonnaient à des plaisirs « défendus ». Je pense que c’était aussi l’un de mes rêves quand je sommeillais dans la guérite en bois.
Merci de raviver des souvenirs qui, avec le temps, se sont bonifiés. NB Le titre Quo Vadis (où vas-tu?) a probablement un rapport avec le Qui va là ? , sommation que le guetteur doit faire, je suppose? |
Anonyme
15/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Bonjour ! Je ne vous voyais pas si âgé, la Tour de Nesle ayant été détruite à la fin du XVII ème...
C'est une belle image pour illustrer ces relèves de la garde que, tout comme vous, j'ai connues durant des années. Morphée tentait de nous soustraire à notre devoir et parfois y parvenait... surtout en seconde partie de nuit mais la ronde du sergent, la folle du régiment, était alors un remède contre l'endormissement... La Reine Marguerite faisant les quatre cent coups dans cette tour de Nesle tient plus de la légende que de l'Histoire mais puisque le soldat de vos rêves a tenu le coup sans être tombé, c'est le principal ! Une seule réserve... pourquoi Quo Vadis qui nous ramène plutôt à Rome qu'à Lutèce et pourquoi pas un point d'interrogation en lieu et place de l'exclamation ? Un agréable petit poème historique et contemporain à la fois ! Merci pour cette courte faction... |
Anonyme
15/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Durant mes tours de garde de nuit, ce à quoi je pensais c'était "qu'est ce que je fous là au lieu d'être au plumard".
Vous, c'est à la légende de la tour de Nesle et l'accueillante Marguerite ; bien plus poétique! << d’une fable À dormir debout >> ceci explique cela << Par minuit saisi Dort la sentinelle En chien de fusil… >> << Qu’il ne fait bon guère Tomber en vos bras >> si les amants pensaient que l'affaire était dans le sac... Un poème amusant. |
papipoete
16/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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bien le bonjour ! Des images, des clins d'oeil, des bons mots, voici un savant mélange de vers truculents, pour raconter cette nuit en " tour de Nesle " !
Voyant cette sentinelle endormie, je songe à celle, veillant sur la tombe du Général de Gaulle en pleine campagne ; le regardant alors, j'imaginai que la nuit, Morphée bien souvent dut lui lester les paupières ! |
Pouet
16/2/2016
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour bonjour, je n'ai pas été transporté par votre poème. Je n'ai sans doute pas les connaissances historiques suffisantes pour y accéder.
L'écriture ne m'a pas parlé, j'ai trouvé cela bien plat et quant aux références je suis passé à côté. Je lis un poème avec mes références et mon ressenti. Là sincèrement je n'ai pas éprouvé grand chose si ce n'est de l'ennui. Désolé, Cordialement. |
Raoul
16/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime assez cette espèce de comptine où des soldats marionnettes - comment s'appellent ces automates qui apparaissent pour carillonner ?.. - jouent dans ce petit théâtre. Ici les uniformes sont pipants, on tombe amoureux de la princesse…
C'est enfantin, et puis, comme dans Peau d'âne de Demy, le contemporain fait son apparition en léger décalage. Merci pour cette lecture rafraîchissante. |
Anonyme
23/2/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour…
Le service militaire, ça rajeunit pas… La garde, je me souviens en avoir assuré une un soir de manœuvre, où, au lieu de rester seul à tour de rôle, nous avions décidé avec un copain de doubler notre temps de garde et de faire la causette devant le feu de camp…finalement ce ne fut pas une corvée du tout. Quant à votre évocation j’avoue n’avoir pas tout saisit – ou bien vous évoquer le demi-sommeil du garde qui lutte pour ne pas s’endormir, ce qui rend les choses un peu confuses, dans ce cas c’est bien fait, même si toujours quelques références m’échappent. À vous relire. |
Gary
29/6/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Je trouve ce poème exquis. Il se lit simplement et pourtant ne manque pas de subtilité. Les vers courts s'emboîtent parfaitement. Le thème est anodin mais efficace. Je pense que l'on n'aurait pas pu transmettre avec davantage d'élégance cette petite tranche de vie.
Mon quatrain favori : "Ohé ! Sentinelle Ces bras qui sont forts Non ! Ce n’est pas elle Mais Morphée tu dors !" Par contre, au dernier vers, j'aurais plutôt ponctué ainsi : "Mais Morphée! Tu dors!", ça me semble davantage conforme au reste du texte. |