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Lulu
17/12/2015
a aimé ce texte
Bien
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Je me demandais où vous alliez en venir en parcourant vos premiers vers qui évoquent surtout les grands espaces et suis agréablement surprise par la présence de l'autre qui survient dans la dernière strophe. Cela était attendu, suite à vos mots de présentation, mais je m'étais mise à douter en vous lisant, tant le texte développe sur la notion de vide, de grands espaces et de vertige.
L'écriture me semble simple, sans trop de recherche particulière. Peut-être aurais-aimé voir - un peu plus tôt, soit bien avant la dernière strophe - quelques images nées de la contemplation stellaire. En fait, les images sont là ; ce qui manque peut-être, ce sont les émotions. Vous les survolez seulement. Peut-être aurais-je aimé un texte un peu plus dense. Je m'attendais, par ailleurs, à un poème triste, du fait du titre qui annonce la vacuité, mais vous dénoncez surtout la vacuité des choses, et non des gens ; alors tout va. |
Vincendix
17/12/2015
a aimé ce texte
Bien
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Des vers qui ont le mérite d’être bien équilibrés et sans manières, avec un thème original et puis la chute est amortie dans le dernier quatrain et ça fait du bien de se retrouver les pieds sur terre.
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rouelibre
18/12/2015
a aimé ce texte
Bien
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J'ai ressenti une attirance pour le vide dans les premières strophes, un vide traité plutôt sous son aspect descriptif, compensé par un Clair de terre assorti de personnes bien en chair.
3 strophes pour 1 m'avait d'abord paru déséquilibré, mais cela traduit finalement notre petite place... |
Ioledane
22/12/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Vacuité ? Je n’en ai guère trouvé dans ce texte formé d’une seule longue phrase, dont le déroulé est suffisamment bien tissé pour ne pas nous semer en route, malgré son absence de ponctuation dans les trois premiers quatrains.
Le dernier quatrain donne toute sa dimension à l’ensemble, une chaleur, un but, une raison d’être. Un peu comme nos proches, lorsque tout le reste nous paraît si vain … Le mot « garde-fous » tombe avec beaucoup d’à-propos. J’ai apprécié aussi le rythme des heptasyllabes, court et fluide à la fois. Bref, j’ai aimé. |