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Vincendix
24/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je crois que beaucoup d'électeurs et d'électrices rencontrent le même dilemme au moment de choisir entre les différentes couleurs aussi ternes, aussi défraîchies les unes que les autres.
Un trait d'humour sur un sujet tout de même préoccupant, et c'est vrai , mieux vaut en rire pour ne pas pleurer. Un texte plaisant à lire et facile à comprendre. |
papipoete
9/11/2015
a aimé ce texte
Bien
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Si untel menteur, une telle menteuse, nous prie de voter, vous devenez sombre et ne savez que faire.
Si la république, sous les traits de Marianne nous le demande, nous pourrions poser notre bulletin, entre ses seins, ou sur le gauche, ou sur le droit? Mais au moment de choisir, je risque de lancer mon bristol ailleurs, à la mer où je serai mieux entendu, et je m'endormirai sur mon choix, comme une marmotte... Exemple à ne pas suivre en effet, malgré " la langue de bois de ces prêcheurs ", mais vous le faîtes de belle façon avec ces mots enlevés. Je voudrais plus de ponctuation. |
Anonyme
24/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Ah j'aime bien le coté humoristique de ce poème jubilatoire. Il donne l'impression (que je partage)de les mettre tous dans le même panier... ou le même corsage. Il n'est juste que le quatrième quatrain que je trouve plus laborieux et donc moins abouti. Mais j'adore le loir de l'isoloir. |
Arielle
24/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Et voilà Marianne rhabillée pour l'hiver ! Ses seins bien au chaud ne balloteront plus au creux de leur corsage où sommeille ce loir dont je partage les bâillements.
Alerte et sans illusion, une façon d'aborder l'actualité avec un clin d'oeil qui me ravit. |
Anonyme
24/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je trouve ce texte joli avec une pointe d'humour. Ce que je trouve bien c'est qu'il y a une opinion affichée de ne pas voter mais sans critique. J'aime beaucoup l'assonance à la fin le loir de l'isoloir
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Francis
24/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Des banlieues de béton à nos petits villages
Du plat pays de Brel à la région PACA La France de Jaures ou celle de Ferrat Boude les isoloirs, refuse ses suffrages. Votre poème reflète avec un brin d'humour et beaucoup de talent le désarroi des citoyens plongés dans le creuset de la pensée unique où l'alternance ne rime plus avec changement. Mais attention petit loir, le réveil peut être brutal ! |
Anonyme
24/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour... euh... Bonjour,
Mais... que Marianne était jolie... !! Et votre poème aussi ! J'ai adoré "le ballottage entre ses seins", "le rose, vert à l'intérieur", "qui lance le bristol ailleurs", et bien sûr, "le loir de l'isoloir". Par contre ce passage "Ma voix ne se fait mieux entendre Que dans la mer celle du sel Dans l'urne je ne suis que cendres Devant le souffle universel", bien que joliment fait, je trouve qu'il dénote un peu de tout le reste, perd le ton humoristique, farfelu, de l'ensemble. Ou alors, j'ai mal compris votre intention, ce qui est fort possible. Sinon oui, manipulés comme nous le sommes en ces temps de grandes lessives, de grands déballages cathodiques et autres nuisances de cervelle, il vaut mieux en rire, et parfois passer son chemin pour aller hurler à tue tête cette chanson de notre bon Michel à travers la campagne, loin de l'électorale. "Ah... mais que Marianne était jolie quand elle chantait dans les rues de Paris: "ça ira... toute la vie." Bravo pour ce sympathique clin d’œil. |
Anonyme
24/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le corsage de Marianne en guise d'urne ? Je suis favorable à des consultations électorales le plus souvent possible !
Derrière le paravent de l'humour la triste réalité est bien là dans ce texte original. Ils sont TOUS à mettre dans le même sac, mais hélas le véto n'est pas de mise... |
GilbertGossyen
18/12/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il est vrai qu'à mélanger toutes ces couleurs on peut arriver facilement à un vote blanc.
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