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solo974
22/1/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
J'ai moyennement aimé votre sonnet. Le thème, pourtant, m'a plu et il est indéniable que vous maîtrisez cette forme poétique au combien codifiée. Selon moi, cependant, dans le titre que vous avez choisi, "Mariannes" aurait mérité de rester au singulier : mais, encore une fois, ce n'est là que mon point de vue. La rime "trépas"/"glas" ne m'a par ailleurs pas convaincue. Enfin, le terme "écosystème" a une résonance quelque peu étrange dans un poème dont le registre de langue est par ailleurs soutenu. Bien à vous. |
Anonyme
30/1/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'ai lu et relu votre écrit, je n'ai pas été "emporté" par le fond.
La forme est de qualité, mais je n'ai pas réussi à entrer dans le sujet, il m'a laissé à distance, j'ai eu beau être de bonne volonté, et insisté en faisant plusieurs relectures, j'en suis désolé mais cela ne me parle pas, car je ne vois là qu'une réflexion, qu'un point de vue bien personnel, qui pour moi manque d'ouverture pour en arriver à un échange. Là, encore, le "je" prend un peu trop de place. Mais, je souligne tout de même, que c'est un beau poème de part sa forme soignée. |
papipoete
30/1/2018
a aimé ce texte
Un peu
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bonsoir BoyAndGirl
J'ai lu votre texte en projetant dans ma tête le film " Abysses ", avec ses drôles habitants des grandes profondeurs, mais au demeurant si pacifiques ! Les 2 quatrains sont très sombres, quand les tercets 'éclaircissent un peu la couleur de votre plume ; mais l'ensemble est désiquilibré par la noirceur des 8 premiers vers dont " c'est qu'en vous découvrant j'ai tout aimé du glas " . La forme " contemporaine " est-elle celle que vous proposâtes ? |
Anonyme
30/1/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Tout d'abord : " Mariannes "; ce pluriel dans le titre m'a surpis.
Je pense qu'il est fait allusion, ici, à ceux qui sont morts pour la servir (la France) ; d'autres qui ont eu la chance de revenir des combats. "Ceux qui sont revenus du couloir du trépas ". Mais je butte sur les deux tercets dont je n'arrive pas à saisir le sens. Je pense que le premier vers du deuxième quatrain comporte 13 syllabes. |