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Mokhtar
22/12/2017
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour
Je décompte 16 "il". Le"faille", même s'il est toléré, me heurte les oreilles. Deux "battre" pour un "abattre" à la rime. Esprit et relais qui ne riment avec rien dans les tercets. Cela fait beaucoup pour du néo-classique. Je pense que vous devriez reprendre ce poème. Le thème du traqueur est intéressant. L'essai du redoublement de "Il vit dans l'ombre" peut être harmonieux. Mais dans le même canevas, celui du vers 9. le 2ème "ombre" du vers 3 est à éliminer. Et puis soldez votre stock de "il". Gardez en très peu pour la poésie. Bon courage, et fignolez nous quelque chose de plus abouti. |
Miguel
23/12/2017
a aimé ce texte
Bien
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Ce poème est bien écrit et agréable à lire, les procédés qu'on y trouve sont de jolies trouvailles, mais il est un peu obscur ; pour moi la question posée reste sans réponse, même avec l'aide de l'exergue.
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Donaldo75
31/12/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
J'aime bien la tonalité de ce sonnet contemporain. Sa construction est presque géométrique, ce qui lui donne un air classique, tout en ne l'étant pas complètement au niveau de la prosodie. Son sujet est matière à diverses interprétations, ce qui rend le poème d'autant plus intéressant pour le lecteur que je suis, celui qui ne veut pas qu'on lui livre un produit en kit avec une notice, comme chez IKEA. Merci pour le partage. |
Anonyme
11/1/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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" Qui est-il ce malin " ? C'est la question que je me pose.
Est-ce un souvenir, un remords qui poursuit le narrateur, ou bien une peine de coeur " Dans lesquels une femme observe mon cœur battre " Une belle musicalité dans l'écriture, des images intéressantes. " D’où me vient ce chasseur que la nuit ravitaille ? " |
Gemini
11/1/2018
a aimé ce texte
Bien
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Je trouve dommage de poser la question dans le texte alors que la réponse est dans l'exergue. Le choix du titre aussi me semble fâcheux. Il sent, à mon nez tout au moins, le gadget de geek, élément d'un univers assez éloigné de la poésie.
J'ai apprécié dans l'écriture la formulation des deux vers : Il vit dans l'ombre, il vit. Moins la reprise de rimes en "aille" dans le premier tercet, l'erreur esprit / relais, la mauvaise suite ravitaille / âtre, et la fausse rime âtre / battre. Pour le ton général, je retrouve, modernisé, avec les mots de maintenant, la plainte des poètes du Moyen-Age sur la Mélancolie. |
papipoete
11/1/2018
a aimé ce texte
Bien
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bonjour BoyAndGirl
Votre pseudo semble vouloir lever une équivoque ; tantôt boy, tantôt girl ? Il m'épie, je le vois ; même la nuit, il me poursuit et fait feu sur mon être qui s'embrase, alors qu'une femme m'observe . NB dans votre poème, je vous vois plutôt boy ? ce malin qui allume le coeur des garçons, des filles mais ne ferait pas de mal à une mouche ? tout au plus, lui brûlerait-il les ailes ? j'aime bien " qui est-l ce malin, lui qui jamais ne baille ? " des vers à la métrique irrégulière, moult hiatus, mais on n'était pas loin du " néo-classique " ! |
Bidis
11/1/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai bien aimé ces vers joliment tournés et assez mystérieux.
La répétition ici me plaît beaucoup : "Il vit dans l'ombre, il vit dans l'ombre de mon coeur" repris dans la seconde strophe où "dans l'ombre" devient "et encombre", c'est un peu obsédant et très musical. Et me plaît aussi que la femme dont, à cause de l'exergue, j'attendais la venue, ne surgit qu'à la toute fin du poème. |
BoyAndGirl
11/1/2018
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Modéré : commentaire de l'auteur sous son texte (si besoin ouvrir un sujet dans « Discussion sur les récits »)
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jfmoods
12/1/2018
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Ce sonnet en alexandrins est tantôt dépourvu de rimes (vers 9 et 13), tantôt assorti d'un glissement assonantique (vers 12 et 14), tantôt constitué de rimes embrassées et suivies, suffisantes et riches.
J'aurais mis une virgule avant "ce malin", aux vers 2 et 10 et un point virgule à la fin du vers 9. ----------------------------------------------------------------------------------------- I) Un prédateur embusqué 1) L'obsession du contrôle Le locuteur, impuissant à fuir, est maintenu sous l'étroite surveillance (lexique : "épie" x 2, "guette", "observe", métonymie avec hyperbole : "son regard me mitraille") d'une vigie infatigable (négation : "jamais ne bâille"). 2) Une menace inquiétante Les pronoms anaphoriques ("ce malin... il", "ce malin... lui), le superlatif ("la moindre erreur"), le démonstratif ("ce chasseur" x 3) et le complément de lieu ("dans l’ombre" x 3) laissent planer l'hypothèse d'un assaut imminent. II) La flèche de Cupidon 1) L'innamoramento Sur la carte du tendre (lexique : "mon coeur" x 3, "une femme"), un impitoyable bras de fer s'est engagé (discours indirect duel : "Il croit que je l’ignore, il croit qu’il me fait peur", "Il croit que je l’ignore, il croit qu’il peut m’abattre"). 2) Des sens embrasés Sous la figure tutélaire de la flamme, le dernier tercet met en exergue l'incendie intime, ravageur, dévastateur, dorénavant impossible à étouffer, à réduire, à circonscrire ("fait feu", "allume mon âtre", "des rêves bouillants"). Merci pour ce partage ! |