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Labrisse
28/12/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Comme tous les poèmes dits libres (qui ne sont pas plus libres que les réguliers prosodiques) je n'ai pour commenter que ce qui me reste de la lecture (assez difficile) entre les circonvolutions de mon crane... et des circonvolutions j'en trouve ce poème assez farci... Il m'est difficile de passer de Mossoul à la commedia Del ARTE, de l'enfant bleu à l'enfant jésus... etc. Il manque à cette histoire que ses tenants soient plus serrés, plus ténus... En vérité il nous manque un fil solide pour tirer à nous cette histoire, ou plutôt le fil qu'on attraperait est savonné plus qu'un mat de cocagne... Le poème doit venir au lecteur... c'est ce qui manque à cette pièce qui par contre est fabriquée avec de bon concepts en terme de syntaxe... et de chant.
D'autre part le titre me ramène (par le peu de culture que j'en ai) à Hemingway... Pourquoi ne pas choisir un titre original ? Bref ! L'histoire difficile à suivre aura tant influencé ma note qu'elle ne peut être que moyenne. |
LeopoldPartisan
2/1/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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que dire ... Sinon que c'est vraiment un grand et beau texte qui à presque chaque strophe surprend vraiment. C'est d'une rare poésie qui repose sur du concret complètement transfiguré.
Cela m'a littéralement bluffé vraiment bravo |
Mona79
5/2/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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"Il y a deux sortes de femmes. La femme-bibelot que l'on peut manier, manipuler, embrasser du regard, et qui est l'ornement d'une vie d'homme. Et la femme-paysage. Celle-là on la visite, on s'y engage, on risque de s'y perdre. »
Ce passage est de Michel Fournier dans "le Roi des aulnes". A vrai dire cela n'explique pas grand'chose et j'avoue que j'ai du mal à entrer dans ce poème que tu as transposé jusqu'au sacrifice de la mère pour l'enfant. Mais en vérité dans le poème original c'est l'enfant qui meurt, ainsi que cet enfant bleu dont tu nous parles en exergue. Alors pourquoi est-ce la mère qui tombe à la fin de ton poème ? Bien entendu on peut tout imaginer et raconter l'histoire d'une autre façon, j'attends donc que tu expliques ton point de vue pour noter. Ceci dit, j'ai apprécié la poésie indéniable qui se dégage de ces vers mais je suis dépassée par leur surréalisme et un peu désemparée. Ne m'en veux pas, cela ne veut pas dire que je n'aime pas, mais seulement que je ne comprends pas. PS : Après avoir lu tes explications, je dis : MMMmmm ! J'aime bien ta façon de "noyer le poisson", ce n'et pas du menu fretin tout de même... la mort ! Tu ne vas pas t'en tirer avec une pirouette (cacahouète !) cher ami Brabant ! Allez, explique davantage, bien que j'aie compris pas mal de choses, maintenant, après réflexions... On peut dire que tu titilles l'imagination de tes lecteurs, jusqu'à l'épuisement, dirai-je, mais c'est ce qui fait le charme d'une telle poésie. Merci Ami. |
Pimpette
14/1/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Imaginons qu'on me donne à lire une pièce inconnue de Molière et que je ne comprenne rien...je penserais qu'elle est certainement excellente et que je suis une vraie gourde!
Là, c'est pareil, en moins gros bien entendu! Brab' Explique toi un peu quand même! :-))) |
leni
14/1/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Donne a écrit l'intro d'Hemingway:Ne demande donc jamais pour qui sonne le glas c'est pour toi Le glas sonne pour la mère alors qu'on attendait la mort de l'enfant bleu Ce texte procède par tableaux:c'est mon ressenti personnel Tableau de l'enfant bleu: sa peau est pareille à la nacre d'un coquillage Sept vers sont ciselés sur le mode surréaliste pour le décrire
Autre tableau celui de l'enfant qui veut jouer avec l'enfant bleu et qui débute par :Polichinelle...Dans ce tableau le nom de DONNE sonne comme prémonitoire C' est également surréaliste Le Voile de Mossoul fait-il allusion à l'étudiante Assaad qui a été forcée de le porter en Irak?Empreinte du destin? Je suis impressionné par ce texte qui aurait pu être dit sur le divan d'un Psy Et qui peut avoir plusieurs interprétations La mienne vaut ce qu'elle vaut Elle tourne autour de :"C'est pour toi" |
Anonyme
14/1/2013
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Bonjour Brabant,
Je crois avoir fait tous les efforts possibles avec le temps dont je dispose. Je suis allé lire la ballade de Goethe, Le Roi des Aulnes, et j’ai l’impression d’avoir tout compris. Ah, ces poètes simplets… J’essaie d’imaginer ta transposition, si c’est bien la direction que tu voulais prendre dans ton incise… J’ai cru comprendre que la mère voulait éloigner son fils de l’enfant bleu, lequel serait enfermé dans une forteresse mentale dont tu livres la clé dans tes notes, protégée par des lansquenets, herse ou tessons de bouteille. J’avoue ne pas avoir été très sensible aux images marines ni aux nuages cyan, je n’ai pas compris pourquoi Mossoul (l’enfant bleu est irakien ?). Je n’ai pas compris pourquoi c’est la mère qui meurt, alors que dans le poème ancien c’est le fils qui meurt, après avoir été touché, donc contaminé par le Roi des Aulnes. Je ne connais pas John DONNE, ce qui m’a fait rater le jeu de mots. Je n’ai pas lu le Roi des Aulnes, je suis totalement hermétique au Fantastique/Surnaturel. Enfin bref, beaucoup de gâchis dans mon approche du poème. Je voulais quand même te saluer. Même si je suis jeune et en pleine forme, j’aime bien lire sur des coussins… :) Cordialement Ludi |
Anonyme
14/1/2013
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Malgré plusieurs lectures , je n'ai pas réussi à assembler "les pièces du puzzle". Bien sûr il y a l'enfant bleu, qui attend derrière les vitres embuées. Ce qui m'intrigue surtout, c'est cette femme qui semble fuir, qui ou quoi ? Voile de Mossoul, un chignon ( défait par le vent ); très typique... (?)
La mort de cette femme serait-elle consécutive à cet "éclair qui déchire le soir" ? Un texte ésotérique (pour ma part) que je ne suis pas autorisé à noter, ne le comprenant pas. Sorry, Brabant. Bien cordialement. |
Anonyme
14/1/2013
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Salut Brab' ! Bien qu'ayant cherché des lumières du côté du Roi des Aulnes et de John Donne et malgré de nombreuses lectures de ton présent texte, je suis toujours dans l'obscurité totale... ou presque.
Homme simple s'il en est, d'aucuns disent même simplet, j'ai beaucoup de mal à interprêter ce genre de poésie à tiroirs. Entre la maman, l'enfant bleu, Icare se brûlant les ailes, le voile de Mossoul, Polichinelle, Guignol, l'enfant Jésus et les larrons, je m'y perds ! Je te connais un peu et je sais que tout cela doit avoir un sens mais je ne trouve pas le fil qui m'aiderait (peut-être) à démêler cet écheveau... Comme d'autres avant moi, j'attendrai donc d'avoir la clé qui me permettra d'apprécier ce poème à sa juste valeur... |
Artexflow
15/1/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Parfait exemple de ces poèmes qui m'embarquent, malgré que je n'y comprenne rien.
Ah, qu'on se rassure, j'ai suivi ! Au début ! Et puis Mossoul est arrivé, et alors là je suis passé en deuxième vitesse, j'ai lu les harmoniques derrière les mots, et c'est vrai que brabant a ce talent comme je l'ai dit, de faire vibrer les harmoniques. Si ce n'était pas brabant qui avait écrit ce texte, j'aurais noté TB-, alors je vais noter TB-. Moins pour l'opacité, c'est vrai, m'en veut pas, oh ! C'est opaque ! Un enfant bleu, une maman morte, guignol, Jésus, c'est folklorique, c'est fouillé ! J'aurais pu noter plus en sachant que c'était toi l'auteur, mais je ne le fais pas, parce que je te flatte trop malgré moi ces derniers temps, tiens là par exemple je viens de le faire, et que ça va commencer à devenir bizarre cette histoire... Non mais tu aurais compris que c'est une réserve importante, un poème dense c'est très intéressant, évidemment, surtout qu'en plus de dense ici c'est particulièrement beau et évocateur, simplement je pense que certains lecteurs, dont je pourrais aisément faire partie si je n'aimais pas autant ce site, pourraient commencer à décrocher à Mossoul, et fermer le poème à guignol. Ou arlequin. D'ailleurs, superbe le passage avec l'arlequin mais, mais... C'est quoi l'or gris ? J'suis plus con que la moyenne moi ! Moi pas comprendre, mais moi trouver ça beau quand même, alors moi aimer c'est tout. Bravo, mais je ne doutais pas que ça me plairait :) |
pieralun
15/1/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai pris le temps de lire et relire avant de commenter.
Je ne sais trop que dire pris entre la magie des mots, l'extrême qualité de l'évocation qui m'a permis d'imaginer une scène chaque fois plus prenante, plus mystérieuse, d'une rare beauté, et cette fâcheuse sensation de ne pas maîtriser la compréhension. Un grand talent d'écrivain, c'est du Brabant, et de la poésie partout... |
melancolique
17/1/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir brabant,
Une poésie pleine de charme, et même si je n'ai pas bien compris cette histoire, j'ai beaucoup aimé les images et la façon de raconter une scène que l'on essaye d'interpréter et qui demeure énigmatique. Plusieurs beaux passages, dont je cite: "Sa peau est pareille à la nacre d’un coquillage Griffée d’aigue-marine Ses yeux se noient dans l’écume des vagues Et les nuages cyan On dirait un ange adolescent Né de la mer Ou Icare tombant" Et ces vers que j'arrive pas à comprendre mais que j'aime: "L’Enfant-Jésus et les larrons Les lèvres bleues appuient contre la vitre Et les mains en apnée Un éclair déchire le soir" Merci pour cet instant de poésie, et j'espère avoir vos explications. Au plaisir de vous relire. |
Anonyme
19/1/2013
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Rusé, l'ami brabant :-)
Ce voile de Mossoul prévient les infections mais isole de tous Rusé et très frappé par la mort bleue Le choix des assonances est particulièrement subtil et évocateur. Quelqu'un ( Aragon, peut-être, ou Lao-Tseu si c'était pas l'autre ), quelqu'un, donc, a dit de Rimbaud qu'il jouait des assonances mieux que d'autres des rimes. Ou quelque chose comme ça. Vous nous faites votre Rimbaud, Monsieur brabant ? Pour nous conter une sombre histoire qui se lit à contre-courant ? C'est brillant, cela se déclame. C'est arrogant aussi, allez savoir pourquoi... Il y faut la voix grave et une haleine parfumée à la prunelle, de la fumée et du bois sombre. De la fumée floutant les yeux embués et les regards perdus dans le gris de la mer, de l'amer. Tiens, j'ai adoré ce mot, "floute". Il fait quelque part penser à "proutt" ! ( Rimbaud toujours ? ) J'ai bien aimé que la mère meure. Il faut bien conjurer le sort, n'est-ce pas ? Poème propitiatoire, sacrifice, couvercle de l'Arche d'Alliance, qui se lit rituellement comme on tourne à pas heurtés autour d'une cathédrale, tic, tac, toe, ça reste rigolo. Une unique faiblesse, les "effluves serpentins", image un peu facile, n'est-il pas ? Ou ruse suprême du poète malin qui guide son lecteur ou, mieux, son auditoire, sur les voies encombrées du péché d'oubli ? "Polichinelle roule ses bosses d'ombres chinoises Guignol le frappe de son gourdin" On se demande toujours qui mettre en croix avec justice. Faut-il vraiment encadrer le sacré avec du profane ? Salutations Je vais vous noter avec sévérité. Je commence à en prendre l'habitude. P.S : Le Roi des Aulnes, pour moi, ce sont de bien jolis souvenirs... P.S 2 : si vous le permettez, mystère brabant, l'interprétation d'une amie très chère à laquelle j'ai fait lire votre machin, le poème, là... Une ville genre Sarajevo; un enfant est mort, bleu; un autre enfant que traîne sa mère inquiète veut jouer avec lui; derrière une vitre embuée qu'il faut essuyer, un meurtrier ( un sniper, un lâche, a-t-elle dit ) guette, rond croix rond de la visée, la main en apnée du tireur d'élite, la main qui a cessé de respirer, qui attend le signal du cerveau; il tire, l'assassin presque innocent, le larron, le massacreur... la mère meurt... rien que l'expression d'une vérité jusque dans l'écriture brutale, déséquilibrée... Ok, je change ma note : Exceptionnel ++ |
MissNode
21/1/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bon, je vais y aller "cash" : pour moi deux passages font tâches, brouillent les pistes, s'appliquent à je ne sais quelle énigme dont le poème pourrait se passer. Il m'ont donné l'impression de n'avoir pas été autant travaillés que tout le reste, ou bien d'avoir été écrits séparément, et, pour être insuffisants en soi, ont été rapportés ensuite; car il y a vraiment changement de rythme, et de style poétique, surtout.
Disons que j'ai relu le poème en enlevant : - "Polichinelle .... marelle" ou conservant les deux vers "Un arlequin ... sur la chaussée" uniquement - "Tic... rond" Et làààà ! Comme ce que vous avez écrit est beau ! La reprise "la mère" et "tu me fais mal, maman" scande le chemin de la mère et son fils. Tout devient cent pour cent poésie, j'ai beaucoup aimé "Sa peau ... Icare tombant" avec tous les bleus évoqués. J'ai été sensible aux images : ces herses, la fenêtre au néon qui "floute", la course de la mère. A la lecture, les deux derniers vers m'ont paru bâclés, il font retomber l'éclair qui précède... Je comprends bien le propos "ne demande pas pour qui sonne le glas" et donc, la justification que ce soit la mère qui meurt... [EDIT :... qui meure] mais la surprise arrive comme une lourdeur au lieu d'une envolée. Je n'aurais pas non plus nommé l'enfant bleu, qui garderait ainsi le mythe qu'en a conservé l'autre enfant. En somme, il manquait juste au poème une heure de fignolage avant publication, pour lui donner un "excellent". Dans ma lecture, va sans dire ! |
Meaban
22/1/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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ce texte me porte c'est sa qualité, nul besoin au départ d'en comprendre le fond, c'est la forme poétique pleine de richesses sonores et sensibles qui me touche
je ne sais pas si un jour il existera une anthologie de la poésie parue sur internet, mais il y fort a parier que ce texte y aurait incontestablement sa place pourquoi: Parce que ce texte plairait je pense a n'importe quel lecteur même non amateur de poésie (pour peu qu'il se laisse porter) je trouve que les explications de texte permettent une relecture qui donne de la puissance et du volume à cette évocation merci Brabant |
Lagomys
1/2/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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Il me faudrait une tête de « Brabant » pour capter ce qu’il sort d’une tête de Brabant !
Eh oh, maître, la barre est un peu haute : c’est un tantinet trop ardu pour mon carafon ! J’ai lu et relu, rerelu, rerere… et ne vois toujours pas où vous vous voulez en venir : je crois que tu dois prendre un malin plaisir à déboussoler tes pauvres lecteurs, hein, poète retors ?... Alors, qui qui va piger l’arcane allégorie ? Plutôt que de nous lâcher quelques clés qui nous mettaient sur la piste, tu t’ingénies à nous refourguer des caroubles insidieux, genre : «Derrière le muret hérissé de fer/ Comme une herse/ Où s’alignent des lansquenets » ou « On dirait un ange adolescent/ Né de la mer/ Ou Icare tombant » ou « Le voile de Mossoul danse/ Aux jeux de moire/ Et se mire en fuyant/ Dans ses reflets transparents/ Derrière la fenêtre entrouverte » ? ! ?… bien avancés, avec ça ! Alors j’ai zieuté sur les autres : pas moins dubitatifs ! Ça rassure de ne pas être la seule tête d’ampoule… Seul Artexflow aura osé une interprétation ô combien neuronale et, ma foi, fort judicieuse ! (faites gaffe, Artexflow, si votre amie avait bon, c’est qu’elle aurait une caboche de Brabant !) Cependant quelques vers me laissent à penser que je me trouve là, démuni, désorienté, devant une œuvre exceptionnelle, des mots comme : «Ses yeux se noient dans l’écume des vagues/ Et les nuages cyan » ; « Son pied cloche sur le pavé/ Croche/ Sa main se crispe » ; « Un néon floute la pièce comme un écran/Empiégé de barbules en frondaison »… et l’extraordinaire septième strophe où s'exprime une inventivité qui m’inspire la plus extrême admiration : « Polichinelle roule ses bosses d’ombres chinoises /Guignol le frappe de son gourdin… Un arlequin jette ses losanges/En flaques scintillantes sur la chaussée » !!! ET : « – Or jaune ! Attrape ! /Or blanc ! Prends ! /Or gris !… /DONNE ! /Drôle de marelle ! » et « Tic- il trace un rond dans une grille de buée /Tac- une croix /Toe… /rond-croix-rond /L’Enfant-Jésus et les larrons » !!!!! Que c’est fort ça ! Comme c’est bon ! J’attends avec impatience les éclaircissements. Subjugué, Lagomys, gris pâle Édit Erratum : après avoir lu les premières explications de Brabant, je réalise que j'ai prêté à Artexflow une amie très chère de Micdec. Pardon à vous deux. Ainsi, soyez rassuré, Artexfow, votre entourage n'a plus de raisons d'inspirer l'inquiétude… Et c'est donc vers vous, Micdec, que je dirige toute ma compassion : nonobstant l'indéniable sagacité de votre amie, préoccupez-vous sérieusement de ses intuitions Brabantatoires ! lol |
croquejocrisse
28/1/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une grandiose tristesse, une infini poésie sous jacente, ce texte n’est pas de la poésie, c’est la poésie au service de l’affect.
Je suis entré dedans comme dans un film qui vous bouleverse et qu’on est incapable de raconter ; tout ce qu’on trouve à dire c’est allez le voir… Après je suis ressorti dans la rue sous la pluie en sachant que rien ne serait désormais pareil Merci a vous |
tchouang
6/3/2013
a aimé ce texte
Un peu ↑
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bonjour. oui il y a un véritable travail sur le rytme et le vocabulaire. peut-être un excès de préciosité poussièreuse me rebute un peu et j'ai eu de la peine à lire le texte en entier.
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Bidis
16/4/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J’aime quand un poème me raconte une histoire et plus encore lorsque les personnages évoqués ont une force particulière.
De cette histoire que je n'ai pas comprise et de ces personnages que je n'ai qu'entrevus émane ici une tristesse profonde. J’ai trouvé de merveilleuses figures de style, comme « Un arlequin jette ses losanges En flaques scintillantes sur la chaussée » Il y en a bien d’autres, toutes font de ce texte quelque chose de vivant, de poignant, de très beau. Avec un goût de désespoir, d'enfance et de mort... |