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brabant : S'il me fallait...
 Publié le 06/07/09  -  15 commentaires  -  2194 caractères  -  254 lectures    Autres textes du même auteur

À Leokadia, ma fiancée polonaise, qui me permit ses lèvres et son sein, en 1966 quand les femmes des Flandres voyaient dans les filles de Pologne des voleuses d'hommes, cette poésie cubiste.


S'il me fallait...



S'il me fallait écrire mon amour,
Ce seraient d'abord appétence, rets pailleté de sienne, d'ocre et de manganèse de l'iris impétrant, margelle des Danaïdes, humeur à contre-vitre.
Ce seraient invite ductile, jonc chantourné du corps qui berce, chef dérobé couvé devers verse giron.
Ce seraient faiblesse et puissance perlées du premier contact, en cinéma muet.

S'il me fallait, s'il me fallait écrire mon premier amour,
Ce seraient d'abord rencontres secrètes, sous couvert de jardin, tôles tremblées entre hune et houle, et tonnelles votives sous Séléné.
Ce seraient hoquets de mots démâtés, impromptus picaresques, sitôt interrompus par une présence
Que l'on sait complice, mais qui brise le rêve tout en l'encourageant.

S'il me fallait écrire mon premier amour,
Ce seraient adjurations semeuses de confusion. Objurgations xénophobes !...
Non pas celles qui décident pour vous, ni jalousie, arbitraire paranoïde,
Mais ostracisme et déni, pour n'avoir pas vécu, vomissements atrabilaires, amours décrépites.

S'il me fallait écrire mon premier amour,
Ce seraient sentes, culs de sac, gaillard d'arrière, où l'on se réfugie en louvoyant pour échapper au monde, gouverne d'étambot.
Mais où l'on vous surprend, aubade champlevée, pupilles à contre-champ, œillade chavirée,
Qui vous blessent comme si vous aviez laissé entrevoir, fourbe et féline, une fêlure caudine.

Il est fragile le premier amour quand les regards familiers
Duplices, libertins, taisent votre détresse ou conseilleurs, liberticides, se font accusateurs !
L'écheveau se désaccorde aux épissures de chanvre et votre amour défaille malgré son innocence.
Morgane n'a que faire d'une novice qui s'attable pour prendre langue en refusant le vice.

Où êtes-vous ? Fantômes coutumiers ! Qui consentiez et ne consentiez pas !
Dedans vos chapelles de marbre jaune et vert, remémorez-vous, il est trop tard aujourd'hui !...
Et je suis trop faible pour pleurer, cependant je me lamente. Lâche, je fuis,
Affrontant la tourmente, afin de me consumer bien en-deçà des flammes ardentes...


 
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   Anonyme   
6/7/2009
Oui, un peu "grandiloquent" à mon goût. L'absence d'article, un peu lassant au bout du compte. Un "ton" qui ne me parle pas.
Un poème bien écrit dans l'ensemble.
Je n'ai guère accroché toutefois.
Et pis terminer sur "flammes ardentes"... Vraiment bof.
Peut-être trop "personnel" comme texte.
Je m'abstiens donc de noter.

   David   
6/7/2009
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Bonjour Brabant,

Bon, j'aime bien, mais je n'avais pas :

"impétrant" : Terme de droit. Celui ou celle qui a obtenu des lettres du prince ou quelque bénéfice. Dans l'université, il y a sur les diplômes : Signature de l'impétrant.
"ductile" : Terme de métallurgie. Qui peut être tiré, allongé, étendu sans se rompre. L'or est le plus ductile de tous les métaux.
"chantourné" : Chantourner une bordure, figurer des découpures élégantes sur la bordure peinte d'un tableau.
"votives" : Terme d'antiquité. Se dit d'objets de toute espèce qu'on suspendait dans les temples, en mémoire de quelque faveur obtenue des dieux.
"Séléné" : déesse de la lune
"adjurations" : Formule dont l'Église catholique se sert dans les exorcismes.
"Objurgations" : Figure de rhétorique par laquelle on adresse à quelqu'un des reproches.
"champlevée" : Dans les émaux, action de creuser les intervalles laissés par les traits, et de remplir les cavités de matière vitrifiable
"épissures" : Terme de marine. Assemblage de deux bouts de cordages par l'entrelacement de leurs torons.
(XMLittré, en extraits)

Ça ne gène pas la compréhension d'ensemble tous ces mots curieux, rares, ils ont un sens musical, alchimique... comme pour faire peur ou conjurer un mauvais sort.

"margelle des Danaïdes" ça c'est très joli, vertigneux.
"Morgane n'a que faire d'une novice qui s'attable pour prendre langue en refusant le vice." j'ai pas la compréhension, mais ça en jette.
"Dedans vos chapelles de marbre jaune et vert, remémorez-vous, il est trop tard aujourd'hui !... " Shakespearien !

L'écriture est vive, c'est réussis pour ça. Je trouve les vers un peu longs pour des vers souvent, ça tendrait vers la prose.

   Anonyme   
7/7/2009
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Même si je ne connais rien au cubisme et qu'une partie du vocabulaire employé m'a demandé l'utilisation du dictionnaire, j'avoue qu'à la relecture, j'ai apprécié ce poème.

Autant, lors de sa première lecture il m'avait laissé de marbre, voir agacé, autant le reprendre calmement le rend plus clair, plus plaisant.

Certes, il exige un effort qui peut paraître agaçant, mais c'est un bon texte.

Et ceci autant pour la forme que le fond.

   dany67   
10/7/2009
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Pardon ! j'ai trouvé cela un peu "pompeux", les mots se perdent dans le sens et le sens se perd un peu dans les mots, même si j'ai bien compris l'idée magistralement exposée. La simplicité de la dernière strophe m'effraye, j'ai beaucoup aimé !

   Anonyme   
11/7/2009
J'ai lu ce poème à sa sortie et depuis je me demande comment le commenter...

J'aime beaucoup le retour des "s'il me fallait".
Par contre, si j'aime le côté romantico-trash, j'aime moins le foisonnement de vocabulaire qui pour le coup rend la lecture à voix haute assez particulière.
Certaines phrases me plaisent particulièrement :

- rets pailleté de sienne, d'ocre et de manganèse de l'iris impétrant, margelle des Danaïdes, humeur à contre-vitre.
- Ce seraient faiblesse et puissance perlées du premier contact, en cinéma muet.

- Ce seraient hoquets de mots démâtés, impromptus picaresques, sitôt interrompus par une présence
Que l'on sait complice, mais qui brise le rêve tout en l'encourageant.

- Mais ostracisme et déni, pour n'avoir pas vécu, vomissements atrabilaires, amours décrépites.

-... pupilles à contre-champ, œillade chavirée,
Qui vous blessent comme si vous aviez laissé entrevoir, fourbe et féline, une fêlure caudine.

- L'écheveau se désaccorde aux épissures de chanvre ...

- Dedans vos chapelles de marbre jaune et vert, remémorez-vous, il est trop tard aujourd'hui !...

- Affrontant la tourmente, afin de me consumer bien en-deçà des flammes ardentes...
=> par contre là je m'interroge sur "en-deça"...

Voilà, pour le reste je suis perturbée par des images qui ne peuvent pas me parler...
Du coup à part les flamboyantes que je retrouve là haut, je me sens perdue dans un dédales d'images floues, des assonances et échos qui ne me plaisent pas trop (objurgations/adjurations...).

Celà dit, y a un style, un rien pompeux peut-être mais un style, indéniablement et une histoire que l'auteur veut visiblement crier...
J'aime assez le fait de poétiser sur du vécu. Par contre, je regrette un peu le manque de recul que je ressens (et si je me trompe, toutes mes excuses)...

Et pour finir je m'interroge sur la catégorie choisie, j'aurais tenté la prose... je sais pas...

J'arrive pas à noter, je me situerai quelque part entre le Moyen - et le Bien - mais je sais pas du tout si j'aime ou pas.

Désolée, je n'évalue donc pas... mais je dis à brabant : à la prochaine. Et au plaisir!

   Anonyme   
11/7/2009
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Mon sentiment rejoint ici celui de Notrac et c'est attendu puisque nous avons le goût du moderne. Il y a du vocabulaire et de la recherche, beaucoup. C'est un atout. Mais l'emphase vient atténuer l'ensemble. Le texte est trop en force, on le reçoit comme un cours magistral, et c'est dommage. Bien sûr il y a des mots, mais c'est touffu et de fait un peu hermétique. Je ne suis pas emballée non plus par la double ponctuation : ...!
Le conditionnel ne joue pas son effet, il ne laisse pas la place à l'imaginaire du lecteur.
En revanche je vais noter tout en respectant les divers et différents avis, en comprenant que d'autres ont grandement apprécié et en reconnaissant à l'auteur de ce texte la qualité de ne pas se moquer de son lecteur et de lui proposer quelque chose à lire qui tient la route, même si ce n'est pas mon genre de lecture...

   Flupke   
28/7/2009
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bonjour Brabant,
Très intéressant ce portrait d’un amour de jeunesse.
Merci à David pour avoir débroussaillé le buisson de vocables touffus.
Cela me fait penser aux portraits mosaïque où la photo d’ensemble est différente de tous le petits portraits la composant.
Le résumé était indispensable pour mieux comprendre, notamment « hoquets de mots démâtés » excellent.
Bien aimé aussi margelle des Danaïdes, très belle image ainsi que tonnelles votives sous Séléné, et surtout la limpidité de la phrase contenant liberticide.
Remémorez-vous, il est trop tard aujourd’hui !!! … Lâche, je fuis, influence Baudelairienne (L’horloge) et sur un plan plus global, influence gavaldienne (Je l’aimais) ?
Je trouve l’exercice audacieux et très réussi surtout pour un sujet personnel, mais je pense que ce genre de poésie cubiste serait encore plus percutante sur une sujet plus universel que sur un thème personnel.
Amicalement,
Flupke

   jaimme   
6/8/2009
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour Brabant,
je ne connais rien à la poésie et par quelques lectures sur Oniris je m'initie. Ma note n'est qu'une impression (définition de la note?).
Je vais simplement dire que j'ai vraiment aimé la cinquième strophe.
S'il me fallait décrire mon premier amour... dépend de ce premier amour. Ici j'ai ressenti souffrance et besoin de pudeur à raconter, derrière un style hermétique qui cherche à cacher. Dire mais plus pour moi-même. Comme à dire au lecteur: je vais t'en révéler beaucoup mais il va falloir le mériter. Suis mon labyrinthe et peut-être trouveras-tu mes souvenirs.
Bel effort. Souvenirs d'airain.

   Menvussa   
15/8/2009
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Un poème qui me parle... et c'est déjà beaucoup. Un très bel exercice de style, qui ne cache pas l'essentiel.

Duplices, libertins, taisent votre détresse ou conseilleurs, liberticides, se font accusateurs ! J'aurais mis une virgule après "ou".
J'aurais envie de clore par ce vers : Il n'y a pas d'amour heureux.
Mais je ne veux y croire.

Merci

   Anonyme   
15/8/2009
 a aimé ce texte 
Bien
Je ne vais pas tenter une longue exégèse parce que je suis particulièrement flemmard et peu doué. Mais j'ai trouvé dans ce poème des mots, des phrases et une vraie recherche d'ambiance et de rythme qui m'ont plu. Voilà !

   ANIMAL   
5/9/2009
 a aimé ce texte 
Bien ↑
J'aime le foisonnement d'images fortes, le vocabulaire recomposé, le mélange de douceur et de dureté, qui se dégage de ce texte.

Entre plusieurs, mon vers préféré reste "Morgane n'a que faire d'une novice qui s'attable pour prendre langue en refusant le vice." L'expression qui me plaît le moins "vomissements atrabilaires". La dernière strophe est superbe.

Merci de cette lecture aussi étrange que décoiffante.

   thaumaturge53   
10/9/2009
Très réussie votre poésie cubiste, cher Brabant!
C'est tellement loin de ce que je compose d'habitude, que cela m'a comme donné une gifle poétique, et je l'apprécie. Cet air de liberté exacerbée qui court dans vos phrases, c'est tout un élan que possède votre plume, bravo. Je retrouve la fougue de notre grand Jacques et je suis sûr qu'il apprécie ce texte, où qu'il soit.
Merci pour ces beaux commentaires sur mon dernier sonnet, cela me fait énormément plaisir, parce qu'à part me faire descendre en flammes, jusquà présent, mon expérience "Oniris" n'est pas très concluante. Pourtant j'ai déjà gagné des prix dans des concours en France, en Belgique et ici au Canada. Bref, j'aimerais vous offrir ce qui suit, en espérant que cela saura vous plaire. J'ai pas mal de textes sur la Belgique, elle me manque beaucoup.
Voici et bonne lecture. Bonne journée à vous!


Entre Ostende et Coxyde...





Dire que lorsque j'ai(de temps en temps...),
La plage au bord des yeux, entre Ostende et Coxyde,
Eole est fort présent, mais ma plume s'oxyde
Avec ce sable fin qui s,infiltre entretemps.


Pour écrire, je crois que je filtre mon temps,
A l'abri de la dune, éludant dioxyde;
Sous les oyats cachés, mon coeur se désoxyde:
Je reste philosophe et partout me détends.


Et quand souvent je longe un canal près de Damme,
Chaque arbre est un poète: échanson ou vidame.
Ils m'accompagnent tous: Brel, Verhaeren, Ensor,


Me faisant partager la force de leur science;
Avec moi discutant, consolidant mon sort,
Je ressuscite alors, en mon âme et conscience.





©Michel Dachy Montréal, le 17 Avril 2008.

   relevante   
17/9/2009
BONJOUR,
Quand je lis un texte, mon seul réflexe : tenter de me glisser dans la peau d'un personnage et imaginer... Cette écriture est masculine et évoque pour ce qui me concerne colère et douleur... une souffrance. Pour apprécier un texte dont le sens est profond, parfois caché, il faut chercher ce que l'auteur ignore parfois de lui-même.
Parler de soi, c'est aussi permettre au lecteur de se poser des questions sur ses propres expériences.

Je me trompe sans doute mais vous semblez aimer creuser, provoquer, réveiller!!!!

Je ne peux pas noter car en soi, cela ne signifie pas gd chose, noter ce qui vient de l'âme ne saurait me convenir. Je ressens de la peine après cette lecture, ce qui signifie que l'objetif est atteint et l'émotion passée, c'est beaucoup! Les mots sont forts.

   Anonyme   
4/10/2010
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Salut Brabant,

Je suis tombé, en feuilletant Oniris, sur ce curieux poème.
Il est vrai qu'il y a quelque chose chez les polonaises... :-)

Sinon, je vais sans doute vous surprendre mais ce texte au rythme étonnant m'a fait penser à quelqu'un que j'aime bien : Mc Solaar.
Je ne saurais trop vous conseiller un cd de lui qui s'appelle Mach 6. En vérité, le seul que j'écoute :-)
Je l'ai entendu dire qu'il collectionnait les dictionnaires. Un amoureux fou des mots qui les savoure en les disant.

Je ne sais pourquoi, mais je vous imagine déclamant vos textes et cherchant, non pas la rime, mais l'expression claquante ( ...rets pailleté de sienne, d'ocre et de manganèse de l'iris impétrant... ) ou bruissante comme ruisseau ( ...chef dérobé couvé devers verse giron... ) ou suintante et douloureuse ( ...Qui vous blessent comme si vous aviez laissé entrevoir, fourbe et féline, une fêlure caudine... - J'aime beaucoup ce vers ! )

Je trouve presque dommage que tout le texte ne soit pas de la même veine magique, un filon de mots dont le sens peut nous échapper sans peine du moment que la sonorité en est expressive.
Des mots comme ces notes sans vraie musique que l'on découvre parfois au violon, pour le simple mouvement de l'archet et le bonheur amusé de raconter notre maladresse.
Oui, il est dommage que l'on retombe parfois dans le trivial ( ...quand les regards familiers... se font accusateurs... voire le pathos ...je suis trop faible pour pleurer, cependant je me lamente... ), le par trop explicite ( ...Lâche, je fuis... )
Comme si vous aviez bredouillé par moments sur votre violon mine d'or et de gemmes, un petit bout de Corelli vaguement retenu du conservatoire mais que votre prof adorait.
Pour cela, parce que vous n'êtes pas allé jusqu'au bout du pouvoir des seuls mots sonores et beaux, je vous "note" plus sévèrement que je ne le voudrais quand je déguste et puis savoure, sublime comme une truffe sous la cendre : "Morgane n'a que faire d'une novice qui s'attable pour prendre langue en refusant le vice". C'est très, très chouette, ça !

Petit ajout, Brabant !
Merci beaucoup, je suis actuellement en train d'expliciter - au mot pour mot par mot par image par symbolique et tsoin-tsoin ! - à une suissesse allemande folle de la langue française !
Raaaghhhhh, vais virer dingue !
J'aurais jamais cru qu'il y avait tant de choses dans cette poêtrie cubiquisante :-))))))))))))
Et j'ai même du expliquer le cubisme !
Dommage, tiens, que je sois pacifiste ! :-)))))))))


plus tard...
Bon, fini expliquer, je !
Comme elle n'est pas inscrite, cette demoiselle alémanique, puis-je livrer ses impressions ?
J'ose !
Primo, ses vers favoris sont ceux par moi critiqués, très exactement :-) Hein ! comme quoi...
Secundo, "il est à côté des plaques ( sic ), lui ! complet en amour !"
Tertio, "c'est très beau mais sans explications, j'aurais pas pu lire les deux premières lignes"
Quatro, "en mille neuf cent soixante-six ! Il était en amour ! Mais quel âge il a, lui !"

Voilà, je pourrais t'en vouloir mais je me suis bien amusé, au final :-) Sans dictionnaire ( j'en reviens pas, damned ! :-))))))))))

Ton poème est à présent dans la mémoire alémanique, félicitations !

Aaaaarrrrghhhh, dernières nouvelles, elle a l'intention de lire tes autres oeuvres ! à condition que j'explique, bien sûr !!!

Que pensez-vous d'un duel, cher ami ?

   Bidis   
16/4/2013
 a aimé ce texte 
Beaucoup
J’ai relu ce poème plusieurs fois sans trop comprendre. Je ressens une sorte de nostalgie du passé mêlée à quelque chose de confusément raté et d’un peu douloureux.
L’écriture de Brabant ne laisse pas indifférent même quand on ne comprend pas tout à fait bien. Et après tout, je lis aussi - ou peut-être d’abord - pour éprouver des émotions…


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