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wancyrs
24/12/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien cette belle litanie qui relate les retrouvailles après une longue période de séparation. hélas ! la longueur du récit augurait bien ces repétitions de mots (exple, printemps) qui jonchent le texte : inévitables.
Néanmoins, les expressions sont justes, et les images qui en découlent assez nettes pour qualifier cette amitié. J'ai aimé : Les pages du passé, relues avec gaieté... Que chante l'amitié, plus forte que le temps.. Les retrouvailles se respirent caressantes... par contre ici, j'aurais vu une virgule après "respirent". Merci pour ce beau tableau, et au prochain texte. Wancyrs |
Anonyme
24/12/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Brisemarine
Au delà des références géographiques, c'est peu de dire que votre écriture est dépaysante pour les lecteurs occidentaux. La première strophe surprend d'emblée par sa formulation . Elle semble traduite de l'arabe. La suite est à l'avenant. On a plus l'impression d'un chant, d'une psalmodie que d'un poème tel ceux auxquels nous sommes accoutumés. Dans un texte "ordinaire", j'aurais fustigé sans pitié les propositions alambiquées telles "Se mêle la gaieté en notes de douceur" "S'amène le réel comme un soleil radieux" "Quand relâche la nuit d'ébène sa toison" Mais ici, elles apparaissent naturelles et contribuent à créer une ambiance exotique. Dès lors les remarques concernant les petites entorses à la prosodie paraissent inopportunes. Merci pour ce long poème qui nous arrive sur ce site comme un zéphyr chargé d'effluves orientales. . |
Anonyme
6/1/2010
a aimé ce texte
Bien
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Un texte un peu trop long à mon goût (un certain nombre de vers n'apportent rien de nouveau), mais riche en évocations du pays natal, et où se ressent la joie des retrouvailles. Objectif atteint, donc.
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Kejdiel
17/1/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je trouve ce texte fantastique dans le sens ou il vient et résonne d’une face que c’est presque ‘un hymne que l’on voudrait hurler/chanter. Tout au long du texte il y a une rythmique assez rapide et entrainante, du mois c’est comme cela que je l’ai ressenti.
Les strophes roulent et roulent comme un parchemin qui nous emmène bien loin dans un univers très simple, dans le sens apaisant. C’est joli. Je ne vois pas de problème dans la première strophe en ce qui me concerne, je la savoure, je la trouve tendrement tournée. Quelques vers coupent un peu de manière a ralentir et reposer le cœur : « Gouter a la tiédeur des leurs diaprées/versées sur ce berceau qu’elle affectionne tant ; / se parent de son or ses ailes éthérées » « Se mêle la gaieté en de douceur » « Fuse la nostalgie, de folies humectée » J’ai beaucoup apprécié. Merci. |
Anonyme
24/3/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un très bel hommage je trouve à une ville qui semble tenir à couer à l'auteur.
La poèsie est partout présente, dans les évocations des couleurs, des odeurs, des sons. Dans l'évocation aussi de la ville impériale et de sa vie quotidienne et surtout dans l'évocation de l'amitié. J'ai vraiment aimé ces vers: "Comme une voix d'ange venue du firmament, L'appel de l'amitié du Québec étincelle, Répand ses beaux reflets sur la Tour* tendrement ; Verse le Bouregreg** sa belle ritournelle Que reprend le zéphyr en doux frémissement, Gracieux susurrement pour m'offrir la nouvelle." Certes, le texte parfois s'étire un peu trop, peut être parce qu'un peu long, ce qui est cependant peu de choses. J'ai aimé. |
Anonyme
25/3/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un bel hymne à l'amitié.
Certains vers on accroché à la lecture comme ici le premier et le troisième vers : L'émotion se dit en explosion d'allégresse, Pure bruine de pleurs que répandent en chœur De chaudes étreintes, rafraîchies de tendresse. Néanmoins, on ne va pas bouder notre plaisir. |
Lunastrelle
16/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime bien, c'est un poème très musical, je ne me suis pas perdue à cause du contexte (mais ça, c'est parce que je suis passionnée d'histoire culturelle, donc bon).
Mis à part quelques répétitions de mots, des vers un peu plus communs que d'autres, et des césures à des rimes féminines, je ne trouve rien à redire de plus... Je retiens ceci, qui m'a beaucoup touchée: "Quand relâche la nuit d'ébène sa toison, Que le ciel de Rabat de mille feux scintille, L'astre de la soirée reteinte la maison De bouquets arc-en-ciel d'un regard qui pétille, Posé, doux baiser, sur rameaux en floraison, Frais comme la rosée, quand l'amitié frétille." C'est ma strophe préférée... |