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Anonyme
13/1/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Une bien belle manière d'exprimer ses souvenirs amoureux.
J'aime bien, entre autres, le premier vers : Flânant dans la mémoire au pas de l’allégresse, Quelques remarques : Le 5ème quatrain me semble laborieux autant dans son écriture que dans son expression. ...pour plus les enflammer ...flamboyant le moment Deux inversions qui sentent la rime. Malgré ces quelques broutilles, le poème est agréable à lire. |
Anonyme
23/1/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Flânant dans la mémoire au pas de l’allégresse,
Je traverse les ans vers mes jeunes printemps " Belle image pour nous faire apprécier " Cette source de songe aux fragrances lascives ". Un poème empreint de sensualité forte, exprimée avec élégance et finesse tout au long de ses quatrains. Unique remarque : " Vogue à la fauve nuit " Je comprends l'dée mais l'adjectif associé à "nuit" me surprend. |
Robot
23/1/2014
a aimé ce texte
Bien
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Si je le prends dans sa globalité je ressens avec grand plaisir ce poème. Cependant quelques points me chagrinent.
1er quatrain, tout est à la première personne et je pense que vous auriez donc du écrire "dans MA mémoire" "flamboyant le moment","pour plus les enflammer" me semblent posés artificiellement. "L’esprit qui désarme, délire de désir," la césure au "e" de désarme est difficilement prononçable alors qu'elle est nécessaire à l'équilibre du vers. pour le reste, je ne citerai pas tous les excellents vers qui fleurissent dans ce texte |
Anonyme
23/1/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonsoir Brisemarine... Votre pseudo est à lui seul une source d'ivresse mais peut-être vous l'ai-je déjà dit...
A mes yeux ce poème contient de très beaux passages, par exemple le dernier quatrain que j'aime beaucoup : Ces souvenirs ardents auxquels je m’abandonne, À peine murmurés sans l’ombre d’un soupir, Fleurissent à foison, le temps de m’assouvir, Pour enfin s’envoler sur l’air que je fredonne, ...et d'autres (passages) beaucoup trop emphatiques comme... Quand s’embrasent les sens, les cœurs en turbulence À la source du feu s’abreuvent d’élixir. L’esprit qui désarme, délire de désir, Vogue à la fauve nuit sur flots d’incandescence. Je n'ai pas non plus aimé le vers ultime, point assez fort à mon avis. Un air voluptueux d’une chaude musique. OK pour l'air voluptueux mais pas "chaud" pour la chaude musique. Cela dit, c'est bien écrit, c'est un gros travail, mais peut-être un peu long pour le sujet en question et certainement trop ampoulé à mon goût... Au plaisir. |
Brisemarine
3/2/2014
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