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Anonyme
9/1/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Je n'ai pas réussi à écouter votre chanson. J'aime bien ce regard que vous posez sur ces amoureux. J'aurais préféré lire que vous les enviez plutôt que de les jalouser. Ce n'est pas la même chose. Disons qu'il en ressort surtout que la peine du narrateur est accentuée par leur bonheur alors que l'envie aurait mis un peu d'accent sur le bonheur de voir les autres heureux. C'est votre choix. |
Anonyme
2/2/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Petite étourderie "Ils brûlent leur vingt ans"
Comment dire, je suis abasourdie, c'est un texte tout en magnificence, l'émotion à fleur de plume, qui vous égratigne, j'aime ce doux "grincement" qui suinte de vos mots. J'ai fait, vous vous en doutez plusieurs relectures, et j'en redemande. Vous excellez pour mon plus grand bonheur. commentaire du 13/01/2016 (correction ce doux qui suinte et non ce douce qui suite) |
troupi
19/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un beau texte, mais une musique et une interprétation qui lui donnent une dimension superbe. La voix d'Eric Lenoir, si je ne me trompe pas est parfaite pour exprimer un coté dramatique de cet amour naissant comme si inéluctablement le bonheur même à ses débuts ne pouvait qu'être voué à l'échec avec le temps.
La dernière phrase renvoie l'observateur à son propre passé, c'est du moins comme ça que je l'interprète. Juste un petit bémol : "polisson" ne me semble pas à sa place dans ce texte. A mon avis le regard ne peut pas être "polisson" quand on lit juste après "Alors je m'évapore Je les laisse s'aimer Et j'enveloppe mon corps De mes draps déchirés" |
Zorino
1/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Encore un très beau texte de Bruno. Quelle plume !
Quant à la musique et l'interprétation, je me suis laissé agréablement transporter par cette succession d'accords à la fois mélodieux et mélancoliques ainsi que cette voix si profonde, qui sont en parfaite harmonie avec ces mots si désarmants. Je me fiche pas mal qu'une musique m'impressionne de par sa complexité. Ce que je recherche avant tout, c'est la beauté et le charme qui s'en dégagent mais également l'émotion qu'elle me transmet. Et cette chanson m'a touché là où s'entrechoquent ces sensations venues d'ailleurs. Je suis comblé. Merci à vous 2 pour ce magnifique partage et encore bravo pour cette belle collaboration |
Anonyme
1/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je retrouve cette chanson avec plaisir.
Bruno, à mon avis un de tes meilleurs textes. De belles images qui illustrent l'état d'âme de ce passant, témoin d'un bel amour :" Mon regard vagabond S'accroche à leur bonheur ". " Je les vois se remplir Du bouillon de l'amour Les entends se nourrir De la lueur du jour " entre autres... Eric, cette fois encore ( et toujours) a trouvé la musique qui colle au texte, et sa voix chaude vient peaufiner l'ensemble. Je réitère : belle réalisation. |
leni
1/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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le texte est magnifique il a des sonorité qui font penser à BREL
j'ai d'emblée aime ces vers lls ont l'air si heureux Que j'en oublie le froid Je les vois se remplir Du bouillon de l'amour Les entends se nourrir De la lueur du jour Ils ont l'air si heureux Et mon ciel est si bas Leurs rêves les consument Ils deviennent perles d'eau Des petits bouts de brume Au-dessus d'un ruisseau la mise en musique est superbe et la voix d'eric décline avec sérénité Une belle réussite Bravo Leni |
Anonyme
2/2/2016
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Commentaire modéré
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funambule
2/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Juste un très joli texte de chanson merveilleusement mis en musique avec l'épure d'un simple arpège soulignant la voix d'Eric Le Noir qui sait si bien se confier à nous à travers les mots des autres. Sans vouloir chipoter ces belles pensées automnales, quelques adverbes ou pronom auraient pu être escamotées et rendre le texte encore plus beau... mais bon, il l'est déjà. Un trèèès agréable moment !
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Francis
2/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il était le témoin d'un instant magique : la naissance de l'amour, peut-être le début d'un beau roman. Jadis, avait-il lui aussi vécu cet instant durant lequel ceux qu’Éros a choisis sont en apesanteur. Ses sentiments se bousculent : mélancolie, jalousie, pudeur... J'aurais choisi un autre adjectif que "furibond". L'imparfait du dernier vers souligne l'aspect éphémère de ce bonheur.
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Anonyme
2/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Pour le texte, j'y lis encore une fois Brel en filigrane...(Orly)...mais vous avez raison de reformuler cette scène à votre façon, il y a des trouvailles très chouettes, et puis, pour le reste, encore une fois Eric Lenoir fait un très beau travail de composition et d'interprétation. Bravo les artistes et à vous relire/réécouter. C. |
StayinOliv
26/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Et bravo pour vos paroles qui font mouche, et qui me font regretter à moi mes vingt ans, moi qui pourtant ne suis pas vieux. L'amour au début, l'insouciance de la jeunesse, le bonheur pour si peu, vous avez tout retranscrit ici avec vos images. J'ai adoré ! Olivier |
papipoete
6/12/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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bonjour brunototi
à l'époque de la publication, la musique jouait sûrement... tant pis pour ce jour ! Il y a des regards indiscrets, des yeux inquisiteurs, d'autres voyeurs et il y a celui du héros qui savoure le tableau de ces amoureux. Comme malnutris d'amour, il mange ces baisers les savoure de loin, et ces deux corps qui étreints, bientôt ne font plus qu'un. Il a le coeur plus lourd qu'une enclume, et dans sa tête n'est que du gris ; dormir, et ne plus penser " ils ont l'air si heureux, eux !" NB une histoire que j'imagine goualée par une chanteuse des rues... " mais vous pleurez Mylord ? ça, je n'aurais jamais cru " Très bellement écrit, que j'aurais aimé entendre chanté, mais admirer " ceux qui s'aiment, c'est pas péché seigneur ! " |