|
|
Anonyme
21/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
j'ai beaucoup aimé ce texte sur les affres de l'écriture quand elle doit traduire ses sentiments. j'y ai trouvé beaucoup de pudeur et de délicatesse.
J'aurais aimé que le refrain "Les mots, etc..." soit isolé pour mieux correspondre à l'exercice "chanson". |
Anonyme
22/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour bruno... Un bon texte qu'il reste à mettre en musique puis à interpréter. La métrique est irrégulière mais pour une chanson ça ne doit pas poser problème. Pourtant au vers 3 j'aurais bien vu...
Et les phrases trop courtes... Reste qu'il est difficile d'apprécier à sa juste valeur une chanson... non chantée ! Je suis sûr que sur Oniris quelques musiciens/interprètes se feraient un plaisir de compléter votre oeuvre... Bonne continuation |
Vincent
21/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément
|
bonjour Bruno
un très bon texte d'une grande pudeur et beaucoup de sensibilité il m'a rappelé cette chanson que j'adore Le premier mot j'ai beaucoup aimé |
funambule
21/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Un texte sensible, fin et délicat qui évite tous les pièges du genre sans forcer, parce que le ton est juste, simple, forcément désabusé... mais sans abuser. Un petit parfum subtil nimbe l'ensemble ce texte auquel il ne maque que quelques jolis arpège.
|
fugace
21/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
"Les mots sont si fragiles quand on écrit l'amour". Et puis aussi: "Une rature maladroite sur un bout de regret", "Un espoir persistant sur un malentendu"...
Des ressentis forts, dits simplement; c'est vraiment superbe! Merci de ce partage. |
HadrienM
21/11/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Plaisante fable du langage et de l'amour.
C'est une intéressante variation du motif de l'écriture amoureuse ; le poète, éperdu, désigne la difficulté de la transcription du sentiment amoureux. Le sentiment amoureux est une jument noire bien difficile à monter. Les mots sont en feu, la main du poète tremble et la nuit est noire ; les étoiles sont en métal ; le monde ne suffit jamais quand la feuille s'agite seule, sous nos yeux. Ce sont les images ! "Une image qui revient " : le poète voue un culte à la vitalité des images. Mais elles sont de l'autre côté de la rivière. Il faut contourner nos angoisses ; tomber encore et encore sur le sable chaud pour côtoyer la difficile vérité du verbe. Un "regret", justement, que j'ai à la lecture de ce poème qui n'en n'est pas moins plaisant : le manque d'audace. Je n'ai pas été étonné. Il manque quelque-chose à ce poème. L'écriture est louable, mais désarçonne-moi la prochaine fois. Bien à toi, |
papipoete
21/11/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
|
bonjour brunototi,
Quand on écrit l'amour, on voudrait poser les mots qui se bousculent, et ceux que l'on osa dire . Et ne rien oublier, comme ceux qui cette nuit vinrent frapper à mon sommeil . Ces mots sont si fragiles, plus que le cristal, font peur à déclarer et quand enfin du coeur ils montent jusqu'aux lèvres, il est parfois trop tard, il faut s'en aller ! Une plume inspirée par ce thème éternel, mais peut-être un peu trop ; elle étire le poème au risque de lasser le lecteur . |
Anonyme
21/11/2016
a aimé ce texte
Un peu
|
Bonsoir,
Ce texte ne m'a pas vraiment touché malgré de belles choses, car les vers ont été travaillés avec soin. Peut-être que mise en musique, cette chanson prendrait tout son effet. Pour l'heure, je reste sur ma fin. Cordialement, Wall-E |
Anonyme
21/11/2016
a aimé ce texte
Bien
|
Il y a des imperfections dans le rythme
des maladresses dans les signes et les sens mais malgré tout j'aime ce texte pour sa spontanéité, sa sincérité |
leni
22/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
bjr
ce texte est superbe et merveilleusement sonore IL chante car il est musique Je relève des passages qui m'ont beaucoup plu Si les mensonges restent Les promesses s'envolent Ne reste que les larmes Qui coulent inespérées ne image qui revient Pour parler du bonheur Un soupir sur un verbe Si dur à conjuguer et cette finalequi est une perle Les mots sont si fragiles Quand on écrit l'amour Quand il est déjà tard Et qu'il faut s'en aller merci et chapeau salut cordial Leni |
Pouet
22/11/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bjr,
J'ai bien aimé pour ma part. Le propos est assez simple mais d'une belle sensibilité. J'ai buté un peu sur le vers: "Pour cacher toute sa peur", peut-être "pour refouler sa peur" serait-il plus coulant? Mais pour moi c'est un bon texte de chanson. Joli. Au plaisir. |
arigo
22/11/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Bonjour,
Je suis désolé, mais je n'ai pas réussi à accrocher. Il s'agit pour d'une thématique compliquée. Quand j'ai lu le titre de votre poème, je me suis imaginé quel type de poème je pourrais avoir à lire et quand je l'ai découvert, je n'ai eu aucune surprise. Le poème est joli, il est agréable à lire, mais pour ma part, il ne m'a pas surpris. Merci pour le partage et à très bientôt, je l'espère |
emilia
22/11/2016
|
A travers vos mots, c’est l’amour qui apparaît fragile… quand il faut « faire demi-tour », se résigner aux « adieux », au « regret », quand « les mensonges restent, les promesses s’envolent… », « les cœurs s’abandonnent » avec un goût de « larmes », quand tout bascule entre « espoir et malentendu », « trois secondes » suffisent pour dénouer le lien et le verbe aimer « si dur à conjuguer » provoque les pleurs et distille le chagrin ainsi que le remords « de n’avoir pu oser… », quand il ne reste plus enfin « qu’à s’en aller », comme un compte à rebours vers le retour à la solitude qui renvoie à la peur… ; une analyse fine et sensible du délitement amoureux empreinte de musicalité…
|
MissNeko
23/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Voici un poème touchant à souhait ! Vous parlez admirablement du trac que l on peut ressentir quand on veut exprimer ses sentiment amoureux. J ai beaucoup aimé les images que vous utilisez ici. Merci pour ce partage
|
Cristale
25/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour Bruno,
La chanson nouvellement éditée m'ayant touchée, la curiosité m'a menée sur cette page où je découvre la même émotion diffusée par les mots et, bien que les rimes se fassent discrètes, l'harmonie de l'ensemble suit un rythme agréablement chantant. J'ai ressenti ce texte un peu comme si la feuille blanche sur laquelle le poète tente d'écrire une lettre d'amour était également une belle métaphore de la vie et de l'amour entre deux personnes, avec tout ce que cela implique en émotions positives mais parfois aussi négatives. S'accorder comme on accorde les mots pour écrire les pages des nous deux... Voilà. Juste un petit truc : ce serait bien d'espacer le/les refrains des strophes et ce serait bien de mettre sur cet écrit une voix et une musique. Au plaisir de te relire Bruno, Cristale |