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Myndie
20/3/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Sur un thème original, vous avez subtilement poétisé le champ sémantique musical et créé de jolis jeux de langage dont l’éloquence repose sur des sous-entendus. C'est vrai qu'il y a un parallélisme entre musique et écriture; c'est pourquoi je trouve votre démarche fort bien vue. J’aime bien ce poème en forme de questionnement qui semble dresser un amer constat d’une relation affective. J’ai relevé de jolies formules : « et que la division du temps bat la mesure » « les quintes de nos âmes » « sans l’ombre d’un soupir et sans un point final » Mais sur la forme : puisque nous sommes en néo classique et a fortiori puisque votre réflexion poétique prend la forme interrogative, je pense qu’il aurait été judicieux de ponctuer votre texte. Les vers totalement libres desservent son oralité, sa musicalité. Et justement, parmi les ressemblances substantielles qui existent entre musique et littérature, la ponctuation n’est pas la moindre. Je regrette également que la belle fluidité initiée avec les quatre premiers alexandrins soit ensuite mise à mal : la 2ème strophe passe en totalité à 13 pieds la 4ème strophe comporte un vers de 14 pieds et 3 de 12. Voilà, à mon humble avis, ce qui affaiblit votre poème. Merci pour le partage |
Anonyme
13/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Commenté en EL
Voilà un tricotage plaisant des termes musicaux , un joli petit texte déroulant tranquillement sa petite musique sans barricades , mais avec dièses, donnant un rien de fraîcheur dans le salon de musique. Allez reprenons à la mesure, un, deux, trois, quatre... J'aime beaucoup |
Donaldo75
24/3/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
C'est marrant de composer un poème bardé de références au solfège, et de rater la métrique, le rythme de la poésie, par des vers inégaux. L'analogie entre musique et sentiments, à travers les figures qui composent le solfège, rend le tout un tantinet pompeux, surtout quand on ne comprend rien à la grammaire musicale. J'ai quand même bien aimé. Merci pour la leçon de musique. Donaldo |
lucilius
25/3/2017
a aimé ce texte
Bien
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En ne s'arrêtant ni sur la métrique ni sur l'absence totale de ponctuation, la composition générale est assez agréable, certaines partitions se détachant : "Et que la division du temps bat la mesure...Fait de nos instruments les quintes de nos âmes (bien que le verbe fait soit inélégant) ..." ; même remarque pour "contretemps, tempo, temps" réunis dans les deux dernières strophes du deuxième quatrain.
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Michel64
13/4/2017
a aimé ce texte
Bien
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Dommage qu'un plus grand soin n'ait pas été porté à la métrique, du coup la lecture est hachée. Un peu trop "free" ce jazz.
La mélodie est là mais la partition à tendance à ne pas respecter le tempo. Un texte qui mériterait une réécriture pour être tout à fait plaisant. Michel |
BeL13ver
13/4/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Du côté positif, un texte touchant, convaincant et pour le coup, vraiment poétique. Le manque de ponctuation ne me gêne pas d'un côté, car je ne l'avais pas remarqué à ma première lecture ; mais, il est vrai que cela paraît étrange.
Sur le fond, on sait une note de tristesse, peut être à cause d'une séparation. Ou d'un manque d'inspiration, d'où le troisième quatrain. Pour le négatif, ce poème aurait, de fait, mérité une autre forme que la contemporaine. Pour cela, il aurait fallu une ponctuation. |
Anonyme
13/4/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est original, cette façon d'exprimer un état d'âme engendré par un amour chancelant. Beaucoup de termes inhérents au solfège servent à construire ce texte.
C'est bien conçu. |
Vincendix
13/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Une bonne idée que cette expression sentimentale rythmée par des termes musicaux qui illustrent parfaitement la situation. Le parallèle entre l’amour et la musique est évident, de la grande envolée lyrique à la désharmonie en passant par toute la gamme. Vivre longtemps de concert peut supporter quelques petites fausses notes, un peu à l’image de votre texte qui n’atteint pas la perfection au niveau de la prosodie mais qui reste à ma portée. Vincent |