|
|
Corto
31/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Belle ambiance créée par ce poème maritimo-terrien.
De belles audaces dans les images "baies bassins baïnes c’est de la mer dans un val un pré une doline". Un rappel comme quoi la mer fait sa vie sur la terre "volcanique sismique le péril est égal". On peut mettre un bémol sur l'inutile limitation géographique avec "qui migrent obliques à travers l’Atlantique " alors que les descriptions peuvent s'appliquer aussi bien aux Mascareignes ou à l'Asie. Une belle complicité avec le milieu marin lui-même très lié aux terres émergées. Bravo. |
Castelmore
10/2/2019
a aimé ce texte
Pas
|
Beaucoup beaucoup trop long !!!
Qui peut résister à un déjeuner chez Bocuse, un goûter chez Pic un dîner chez Trois gros ... le même jour sans vomir. Vous avez la matière et le souffle pour trois beaux poèmes ... et vous étouffez le lecteur en voulant en faire trop. Avec un rictus qui aurait pu être un sourire... :( |
STEPHANIE90
10/2/2019
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Bonjour,
Votre poème avait pourtant très bien su m' harponner. "sommets précipices le magma cicatrise les plaies tectoniques aux climats atlantiques" et : "le cirque fait un golfe où passent en transhumance des troupeaux de navires" Mais j'ai décroché bien avant la fin, ce n'est pas tant la longueur même si, je pense que si vous auriez arrêter avant j'aurais pu fort bien vous noter, mais... Le langage utilisé assez complexe dans l'ensemble d'une seule strophe multiplier par X fois + la longueur pour moi = incompatible. Après quelques strophes, les mots et l'histoire se sont mélanger. Je ne sais plus où j'en suis, je déteste ne pas savoir où j'en suis. Je vous invite néanmoins à essayer d’alléger vos poèmes afin de marquer de votre empreinte Une autre fois pour la version courte, merci pour la lecture. |
senglar
3/3/2019
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
Bonjour Carmiquel,
Je n'ai jamais lu des vers qui me dépaysassent à ce point, autant par les paysages que par les mots sur lesquels j'ai rebondi de surprises en découvertes sans que jamais cela ne s'arrête. Un texte de science-fiction lui-même ne m'a jamais apporté un exotisme pareil. Quel travail ! Quelle imagination ! Quelle pagination :) ! A faire perdre la boussole à un dauphin... que je ne suis pas, alors vous pensez si j'ai aimé ces routes sur et sous les flots. Tout en flippant et ne flippant pas (lol). Merci pour cet extravoyage, voyage extravagant ; votre poème est une agence désagençant. Génial J'achète le ticket pour un périple sans retour. Merci senglar en Brabant Edition : Bravo pour la pirouette de l'incipit :) On ne salue jamais suffisamment les incipit(s), au fait "s" ou pas "s", le correcteur orthographique n'en dit rien, dans aucun des deux cas il ne signale de faute, mais vous Carmiquel je suis sûr que vous savez :) après tous ces mots rares, rares et riches et poétiques, propres à faire rêver, que vous m'avez appris. Edition 2 : Je suis les com. de ce poème que j'admire et qu'on ne peut pas écrire sans un travail sur tous les mots, les pesant et les re sous-pesant ; alors comment peut-on seulement admettre qu'un gars se prenant pour un barde vienne le descendre en disant "je n'aime pas votre potage, c'est de la bisque de homard ! Moi c'est la soupe aux cornichons que j'aime...". Sur ce je vous descends en faisant allusion à Hugo.. (le pauvre pour avoir un tel lecteur), sans argumenter davantage. Si vous souffrez d'Alzheimer, pauvre barde d'orale culture (disparue bonhomme !) retournez dans vos forêts, le mieux que je puisse vous souhaiter est que vous retrouviez le chemin de Brocéliande (mais j'en doute, la terre n'en est pas retournée). Quant à Lamartine, effectivement le plus acullturé des poètes français (avez-vous compté combien de fois il emploie le mot "grand"...) mais aussi l'un des plus talentueux (l'un n'empêche pas l'autre) il ne vous eût pas pris pour colistier dans la région de Bergues y compris quand son génie se fut tari. Tout se tarit même les mots chez les génies et Chateaubriand ânonnant... |
papipoete
25/2/2019
|
bonsoir Carmiquel
4500 caractères pour dire en poème, le monde des abysses...il y a de quoi perdre pied, entraîné par le poids de votre encre, jusqu'au fond et ne plus se souvenir du début de cette longue plongée ! J'aurais poussé mon regard plus profondément, s'il se fut agi d'une prose, voire une courte nouvelle ; mais j'avoue ne pas vous avoir emboîté la palme... à une autre fois je suis sûr, si vous réfrénez quelque peu votre plume ! |
Vincente
27/2/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
|
La mer revisitée sous l’œil poétique mâtiné de sciences physiques.
J'ai dû retenter par trois fois, en trois moments bien différents, l'intrusion-incursion-immersion dans ce défilé fleuve bien que marin. La mise en page est assez bien venue, les images assez intéressantes et plutôt amusantes et le thème traité de façon assez original. Si bien que quand on a l'esprit calme, un peu vide même, cette mer là présente un bon contenu. Les deux premières strophes m'ont bien plu, mais très vite ensuite, devant les variations ondulant sans tempête, il m'a fallu ne pas m'inquiéter d'un manque narratif ou d'une longueur d'épanchement sans justification notable (d'où la nécessité des premières lectures avortées pour prendre un peu de la connaissance du texte sans oublier la sympathie qu'il dégage). Ma strophe préférée : "le cyclone cyclopéen de son œil hystérique court de l’équateur au tropique" Et cette mer laisse parfois émerger quelques perles ("l’écume se subsume" - "mais dans la fournaise / l’eau se consume",...) Parmi les petits bémols. Après les deux premières strophes consacrées aux îles, une troisième sort au milieu du texte ; je n'ai compris ni son isolement, ni sa nécessité, si ce n'est, peut-être son rattachement à l'archipel abordé deux strophes plus haut ?. Et pourquoi celui-ci est gratifié d'une majuscule, c'est la seule du texte ? De même est-ce bien une coquille qui place un point aux 2/3 du texte entre rafales et déferlante ? Le vers final me semble un peu inélégant et sûrement dispensable. Endiguer cette mer sera peut-être un peu difficile pour l'auteur tant la passion de son regard y est présente, mais ça me semble tout de même indispensable de la recadrer pour ne pas la restreindre à un lectorat adepte d'abord de voyages subaquatiques... |
Lebarde
3/3/2019
a aimé ce texte
Vraiment pas
|
Carmiquel
C’est ton style d’ecriture et d’expression « poétique » soit, mais beaucoup trop obscur et confus donc abscons pour trouver la moindre place dans mon inculture plus sensible aux vers de Hugo, de Lamartine. |