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Sanderka
10/5/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Voussure ? J'en ai marre d'avoir besoin d'un dictionnaire pour comprendre vos poèmes. Jacques Prévert me manque.
Je ne peux pas mettre une note car dans les appréciations , on ne voit nulle part : manque d'imagination. (ouah, ce soir, je suis un peu sec. J'aurais peut-être pas du boire ce dernier whisky.) |
Pattie
10/5/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Encore un poème que je ne comprends pas et que je trouve beau. J'aimerais en trouver les clefs. J'ai cherché l'épisode de Jacob estropié, j'ai cherché Hérode. Mais le sens m'échappe. La beauté cultivée et l'hermétisme assumé, mesuré, travaillé, moi, ça m'épate, ça me plaît.
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Pat
11/5/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Impression de nostalgie, de désespérance, cette promenade où le regard se pose sur l'humanité, capable du pire et du meilleur... Un regard en recherche d'idéal... j'aime beaucoup certaines images et sonorités comme "aux rides de tes pierres" ; "voiler de gravats" ; "baiser lustral"... Les références bibliques ne sont pas forcément accessibles à tout un chacun... ce qui donne un aspect un peu hermétique. Une impression, malgré tout, d'une certaine distanciation. Ce n'est pas le style de poésie que je préfère, mais l'écriture est maîtrisée (trop peut-être ?), ce que je ne peux qu'apprécier.
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Andre-L
11/5/2008
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Oui, pour une ville comme pour un humain, le temps amène de l'exaltation à la sérénité.
Beau poème que celui-ci. |
Anonyme
13/5/2008
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Pour "Héroder", ne dit-on pas
"Vieux comme mes robes... Heu...Hérode" L'image est assez sympathique et il faut saluer ce "vianisme"... L'aspect biblique du poème ne m'a pas convaincu. Question de ressenti... Sinon un certain souffle, une certaine "substance". |
Anonyme
27/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un poème que j'avais lu, que j'avais trouvé un peu "hermétique", mais il arrive que certains événements donnent une autre dimension à la perception de vos émotions.
J'ai revu la ville de mon enfance, il y a peu ... Comme vos mots me sont devenus très parlants, je ne saurai jamais avec autant de justesse brosser un tel ressenti. Tout est magistralement juste, profondément émouvant. Les mots m'atteignent de bout en bout. Je retiendrai tout particulièrement la dernière strophe, même si l'ensemble de ce poème est de belle facture : " Si je pouvais, ma ville Si je savais, ma Mère En un baiser lustral « Héroder » tous les temps " Ce qui est marquant, l'absence de ponctuation, n'est pas ici un problème. |