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papipoete
11/2/2015
a aimé ce texte
Bien
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bonjour castafiole; une toile autre qu'une reproduction photo fidèle, inspire le peintre, l'admirateur averti, le mécène.Un ciel bleu et son soleil flamboyant peuvent être le symbole d'une infinie tristesse? Le visage labouré de rides d'un vieillard paraître l'image de la beauté absolue?
Vous avez écrit prosaïquement ce que cette huile vous inspirait comme "le ciel boit la mer, les nuages poussent dans les flaques profondes". Au final, de votre plume, quelques couleurs étalées comme au couteau |
Pussicat
13/2/2015
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Bonjour castafiole,
le titre alléchant m'invite à la lecture et c'est avec désappointement que je la termine ; j'en voulais plus, peut-être. Les répétitions de "ce soir" (quatre fois dans les sept premiers vers), "rêve", "l'ordre" m'ont déroutée, j'ai donc repris ma lecture cherchant un sens à tout ceci. Mais j'avais ce titre en tête, comme une obsession, et j'en cherchais le sens. D'accord, vous semez quelques oxymores, mais pas d'une grande originalité. Et puis je ne sais rien de ces toiles, de ces oeuvres, aucune description, "des étoiles, des poissons, le ciel, la mer et les nuages", vous ne me donnez pas grand chose à rêver. Reste le mystère de la création... A bientôt de vous lire, |
Robot
20/2/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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De ce texte je retiens surtout l'originalité de l'écriture. La réflexion sur le travail de création dont le résultat et le regard à postériori dépasse la volonté initiale est justement posée. J'avoue que ce ne sont pas les oxymores (sans véritables singularités) qui m'ont attaché à ce texte, mais son thème général sur l’œuvre qui échappe à l'artiste.
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