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Anonyme
2/12/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Que voici un sujet inhabituel !
L'histoire de ce label qui a vu et entendu jouer des musiciens parmi les plus grands noms immortels du jazz. Lion et Wolf voulaient que toutes les oeuvres enregistrées s'apparentent au blues - allusion dans la strophe 6 - " L'un regarde, l'autre écoute. De bien belles vertus chez ces deux carnassiers, Qu'on aimerait humaines, Si elles n'étaient, à jamais, animales... " J'aime beaucoup cette chute. Evidemment, je ne pouvais qu'apprécier ce texte... |
Robot
2/12/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Cette approche de ces deux inventeurs sous la forme présentée ici est inattendue et la présentation du Loup et du Lion a le mérite de sortir cet hommage du lot commun des éloges.
L'élargissement du récit aux origines du Jazz dans une écriture ou la poésie est apparente, conforte le plaisir que j'ai eu, que j'ai à lire et relire ce texte. Le libre versifié est un excellent choix pour ce type de récit. J'ai passé un bon moment - Merci. |
Corto
2/12/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Du grand art que ce poème ! Les 4 premières strophes (la fable) sont charmantes dans leurs descriptions et mettent bien en place les personnages.
Puis commence l'histoire aussi très bien introduite: "Dans un temps où l'Europe de Goethe et de Wagner/Ferme oreilles et cœur aux cris du genre humain,/Une musique libre s'élance dans les airs." On y perçoit l'oppression nazie qui faite taire ses génies, mais la musique libre réussit à s'infiltrer, peut-être avant-garde du rapport de force définitif. Cette musique est partie intégrante de la vie du peuple "Et qui peut séparer étendard et combat,/ Rêves de Luther King, et Jazz joué en rythme". Une belle construction harmonieuse entre fantaisie et réel. Bravo. |
Carmiquel
3/12/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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D’excellentes formules sur le Jazz ! La thèse que l’Europe, à cause ou malgré Goethe et Wagner et d’autres dans leur sillage, s’est écartée de l’Art vrai ( ici la Musique) et du souci de l’humain (formalisme, élitisme …) est bien sentie. D’où notre problème , à nous qui ne sommes pas Américains / musiciens mais écrivains / poêtes : comment chanter la modernité autrement qu’avec le vieil alexandrin (et consorts) . Comment faire entendre en notre langue la « blue note » ? Le slam ? Mmmm… Et quoi d’autre ? À vos calames…
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plumette
3/12/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très bel hommage à ce label et au jazz, dans un poème bien rythmé.
Je pense que je me souviendrais du Loup et du Lion grâce à cette histoire, dans sa forme rimée, qui est bien plus qu'une anecdote. Bravo Plumette |
Anonyme
4/12/2018
a aimé ce texte
Bien
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Sans dire que je fus emballé par vos vers, qui manquent à mes yeux d'harmonie, s'ils ne manquent pas de fermeté, j'ai pris plaisir à votre récit, original, déployé avec efficacité et clarté, qui mérite plus de lectures qu'il n'en a eu présentement.
Je serai à l'occasion curieux de lire vos proses, j'ai l'intuition que vous pourriez y déployer peut-être davantage vos qualités. |
Anonyme
9/4/2019
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Modéré : Commentaire trop peu argumenté.
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