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jeanphi
17/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Héron héron petit patapon ...
Des sensations que l'on vit plus intensément que l'on ne peut les écrire. Cette branche ne nous livre pas tous ses secrets. Les oiseaux ont une expressivité complexante et les rapaces qui les prédatent ne sont pas sans évoquer des seigneurs de la mort. Rapace ou Félin ? J'espère que l'auteur nous expliquera la situation précise car cela m'intrigue. J'aime beaucoup ce passage : " Dieu faut-il que le jour baisse ? C'est tristesse Vraiment la vie est trop belle." Je balance entre rapace et félin. |
Geigei
20/5/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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"Si tu te risques dehors."
Je n'ai pas compris. L'oiseau qui chante n'est pas sur une branche ? C'est peut-être un texte surréaliste, comme j'en lis beaucoup sur le forum. |
Dimou
27/5/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Cat.
"Dans mes pattes tu seras" vous, vous avez un chat à la maison ! Mais pas de chat dans la gorge, ou plutôt dans la plume, votre texte, léger et délicieusement cruel à la fois, se laisse dévorer comme un mulot face à un prédateur félin. Un joli travail de composition, à deux doigts d'une fable. Un poème bon esprit, le sort d'un oiselet " gonflant son chant d'un adieu " que j'ai dégusté avec plaisir. |
Corto
27/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Joli tableau que quiconque possède un jardin peut vivre presque chaque jour. Les oiseaux adultes passent leur temps à ramasser des brindilles pour faire un nid, puis voir éclore leurs œufs, puis encore voler dans tous les sens pour nourrir leurs jeunes.
Mais...le chat veille, caché, en attendant le premier vol des oiselets maladroits. Ce poème rend bien cette ambiance du cycle de la vie et du risque cruel couru par l'innocent sans expérience. Et la vie reprend et rejoue le même cycle où le plus rusé gagne souvent. Belle peinture animalière, belle immersion dans la nature. Une observation qui se fait sans ambition excessive, mais qui se suffit. Merci |
Anonyme
27/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Jolis, me dis-je, ce rythme sautillant, cette allégresse à la frivolité trompeuse qui cache la griffe ! Un poème aigre-doux dont je regrette quelque peu la majuscule systématique en début de vers : à mon avis l'ensemble s'en trouve un peu raidi, empesé, comme si le petit oiseau bien fier avait des grumeaux de plâtre au bout des pattes. Aucune chance dans ces conditions d'échapper au matou.
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Myndie
27/5/2023
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Bonjour Cat,
c'est sympathique et plein de bonnes intentions, c'est le réel simplement dit, l'anecdote racontée avec force détails mais cela suffit-il pour susciter l'émotion poétique ? Il y a dans votre poème un côté enfantin, voire scolaire qui ne m'emballe pas. J'ai du mal à visualiser exactement la scène : l'oiseau chante, le chat le guette, l'oiseau ne doit pas se risquer dehors ; au final qui est dedans, qui est dehors ? Et puis, que de lieux communs ! « La nuit peut être mortelle, Dieu faut-il que le jour baisse ? C'est tristesse Vraiment la vie est trop belle. » Je n'ai pas été séduite par votre oiseau sur sa branche mais comme je vous sais nouvelle sur le site, j'aimerais ne pas vous paraître QUE sévère dans mon jugement, et si j'avais un conseil à vous prodiguer, ce serait, si vous souhaitez garder votre idée de départ, de retravailler votre texte. Car, comme cela a été dit, il est perfectible. Une autre fois peut-être |
senglar
27/5/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Cat,
Merci pour ce court poème aux allures de comptine, frais, sautillant comme en écrivaient Paul Fort, Prévert, Desnos et autres, qui, comme toutes les comptines, distrait, enchante. Mais qui, comme toutes les comptines, a un sens profond, celui de la fragilité. Au plus haut du bonheur la mort tend son piège, quoi de moins certain qu'une branche, le chat est patient qui guette le moindre excès d'optimisme, symptôme de confiance. Ne te risque pas dehors petit oiseau trop heureux, le chat t'attend comme le renard attendait son fromage. Dans mon quartier résidentiel il n'y a plus d'oiseaux mais il y a des chats, des chats et encore des chats qui plastronnent en ronronnant. Les comptines sont des chants de mort quand ils sont lus par des grands. Ô Féline ! |
papipoete
27/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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bonjour Cat
Une fabulette, qu'un hardi matou miaule à travers ses moustaches " j'suis gentil oiseau, mais faut pas charrier ! Si tu tombes ( de trop tenter le diable ) entre mes pattes, tu finiras de chanter pour toujours... NB des vers enchanteurs, avec ce refrain comme avertissement, qui se joue des branches, qui se joue de la vie... qui va, le jour passe, le soleil trépasse. Des assonances en guise de rimes, elles chantent... |
Edgard
27/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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coucou!
Ça serait bien si c'était un chat qui parle, car pourquoi célébrer la vie et bouffer un petit oiseau? Cruel... C'est simple, plein d'allégresse. pourquoi l'oiseau se plaint-il? Il vit dans l'instant, il ne se dit pas voilà la nuit, quelle tristesse. (Peut-être). Mystère. Il a tout pour être heureux, le zozio. Peut-être aurait-il été pluxjoli de changer la formule d'entrée dans les strophes suivantes en gardant le même thème. (Bon je cherche la petite bête...) J'aime bien tout de même la musique du poème. |
pieralun
28/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Cat
Un très joli petit poème qui, sur ses deux premières strophes, me rappellent les poèmes de Maurice Carême. J’aurais aimé que la seconde partie soit moins obscure. Est-ce un chat qui s’exprime tout du long ? On ne distingue pas de transition dans l’expression du propos, et dans la dernière strophe, c’est bien dans l’assiette du conteur que finit le petit oiseau. « La nuit peut être mortelle Dieu faut-il que le jour baisse ? C’est tristesse. » Très très joli. |
Pouet
28/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Slt,
ce que j'aime bien ici c'est l'ensemble et la métaphore filée que je m'en fais assez "logiquement " somme toute à mon sens, à savoir l'aspect relatif de la liberté, sujet certes assez débattu, mais fort bien rendu ici par ce dehors/dehors de la branche et de son confort confrontée aux airs et à ses fragrances des attraits, des appâts. La vie ou le destin. Dehors, malgré tout. Et pourtant. |
BlaseSaintLuc
1/6/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Ah,petite cat caille, tu fais du hors piste ,dans les chemins forestiers...
Ingénue que tu es , tu entends le siffleur et voudrais le manger? Prends garde au satire , c'est lui qui pourrait te croquer 😉 |