|
|
Marite
24/4/2020
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Perplexe face à ce texte que je classerais plutôt dans la catégorie "Réflexions/Dissertations ".
Le découpage irrégulier des phrases ne facilite pas la lecture et la résonance des idées exprimées, c'est dommage. De la prose aurait mieux convenu je pense car la poésie, que ce soit par l' expression ou les images évoquées est absente. |
Lebarde
26/4/2020
a aimé ce texte
Pas
|
J'ai du mal à adhérer à cette "poésie" très particulière,sans rimes, aux vers et strophes de longueur imprévisible, aux coupures improbables et à la ponctuation acceptant certaines virgules et oubliant les points ( sauf un, pourquoi?)
Bien sûr il y a l'acrostiche à satisfaire que j'ai quand même repéré, qui explique les majuscules en début de vers, mais en quoi peut il justifier un texte d'une forme aussi artificielle et aussi peu poétique, même si je veux bien reconnaître quelques bonnes idées dans un propos un peu décousu. Je ne vois pas l'intérêt et cherche la performance littéraire. En d'autres circonstances j'aurai passé mon chemin, aujourd'hui sans savoir pourquoi je dis ce que j'en pense; un excès d'humeur probablement. Désolé, En EL Lebarde |
papipoete
17/5/2020
a aimé ce texte
Un peu
|
bonjour Catlaine
J'aurais du mal à qualifier votre réflexion, qui me semble effort trop important pour un dimanche... non, je rigole mais vous évoquez tabou et vertu qui pour moi peuvent très bien s'entendre, du moment que ces deux qualités s'exercent de plein gré, entre quatre murs, sur la banquette arrière d'une voiture... entre deux êtres respectueux des us et coutumes publiques. J'affirme que dans notre France, je ne vois pas plus de tabou que sous Louis XVI, où les pamphlets à l'égard de Ses majestés Royales, rivalisaient d'audace, souvent fort salaces... Il y de la petite vertu sous le Bois de Boulogne, mais il faut bien vivre ! Il y a la vertu que l'on bafoue devant une femme, devant un enfant mais elle salit toute la planète ! NB je confirme donc mon avis plus haut, du moment que le sujet ne sort pas d'une sphère très privée. Avez-vous déjà maraudé les fraises du voisin ? s'il vous les offrit, elles n'eurent pas le goût du défendu ! Votre première strophe qui ne déborde pas de mon avis, est très explicite et me va tout-à fait... mais la suite dérape pour ce que je connais de mon cher pays. Pour cette introduction, et l'acrostiche réalisé, je ne vous donne point de " pas " |
Corto
17/5/2020
a aimé ce texte
Un peu
|
Acrostiche certes mais encore ?
J'ai assez aimé en première strophe le jeu des renvois au vers suivant. Un peu comme au tennis un joueur récupérant la balle avec sa raquette au raz du sol pour la renvoyer au-dessus du filet. Pour le reste je vois ici une dissertation où l'argumentation incohérente affaiblit énormément le propos. Le jeu de l'acrostiche était-il suffisant pour émettre ce texte ? Avec mes regrets. |
Calysee
17/5/2020
a aimé ce texte
Bien
|
J'aime cette versification un peu moderne, avec des enchaînements, des coupures de phrase qui paraissent illogiques mais lorsqu'on la lit à voix haute, on sent la volupté de la prose.
Par contre si sur la forme j'adhère complètement, le fond de votre écrit du lien entre le plaisir et le tabou et la vertu, est à mon sens un peu flou. Cela dit, c'est un beau de travail de composition, moderne et appliqué ! |
Stephane
18/5/2020
a aimé ce texte
Pas
|
Je n'ai pas trouvé la réponse à la question posée par le titre du poème. Je ne sais pas non plus pourquoi vous mettez un point pour conclure une phrase et pas d'autres... J'y vois une sorte d'énumération avec ces mots placés en début de vers souvent dissociés d'une phrase, ce que je ne m'explique pas. Du coup je n'ai pas vraiment apprécié, désolé.
|
Anonyme
27/5/2020
|
La contrainte de l'acrostiche arrime solidement le texte lequel en revanche s'effiloche au fil des vers au gré de la fantaisie de l'autrice. (Rien de négatif dans cette remarque tout au contraire)
L'impression qui ressort de cette architecture est celle d'un étendard qui flotte au vent. La belle surprise est la circularité que je n'avais pas repérée en première lecture. Tabou termine le septain pour conduire par répétition interposée au premier quintil lui-même conduisant par un procédé analogue au second quintil dont le dernier mot reconduit le lecteur à l'initiale du poème : plaisir. Ainsi la boucle est bouclée. Comme Joyce dans Finnegans Wake, le début est la fin et la fin le commencement de tout ! Bravo et merci pour cette leçon complexe. PS : La réponse à la question-titre initiale est oui, mais avec un peu de transgression c'est tellement plus agréable ! |