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xuanvincent
7/3/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Ma première impression est que ce poème, qui au départ m'a assez intéressée, m'a paru au bout d'un moment trop long *, mon attention a fini par faiblir.
* ce texte comprend plus de 4 000 caractères, soit plus que certaines nouvelles proposées sur le site. Pour la forme, le grand nombre de phrases interrogatives dans la première partie, faisant suite à des phrases au contraires affirmative dans le reste du poème, a retenu mon attention. Je retiens toutefois le thème, qui m'a plu, et quelques images qui ont retenu mon attention. |
Ariumette
7/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour CeeM,
Même impression que Xuan ! Pour moi tu te perds sur la fin et même s'il n'y a pas beaucup de répétitions, on sent une sorte de redite. Sans doute parceque tu ne changes jamais de ton. Dommage car le début est émouvant et bien écrit ! |
Anonyme
7/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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D'emblée je dirais dommage cette écriture qui aurait pu être travaillée davantage. Je salue le titre, jolie trouvaille. Et la forme, cette prose aérée. Le plus ici c'est qu'il y a quelque chose d'intimiste, une introspection racontée et que ce n'est pas impudique. J'ai aimé l'idée d'un travail sur soi, comme quelqu'un qui fait le point et le fait poliment. J'aime l'espoir sur la fin et les deux dernières lignes qui sont fort jolies et prometteuses. L'idée d'un regard qui engage.
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Nongag
10/3/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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La longueur ne m'a pas dérangé. Il y a beaucoup d'éléments intéressants dans ce poème. Mais la confusion règne sur bien des strophes...
J'ai l'impression de suivre une nuit d'angoisse, une longue nuit de questionnements, de contradictions... Enfin, c'est ainsi que je comprends ton texte. Dans un passage tu nous raconte: "Il ne profite pas de ce qui lui est offert mais recherche ce qui reste caché. Il se tient droit face à la grêle qui déchiquette et chante : il sait que tout est possible même si rien ne se passera. Assurément." Et quelques lignes plus loin: "Un jour il régnera, sur un pays, un monde, ou le sien, si rien ne s'est encore produit, tout arrivera cette nuit." Un peu plus loin : « La vie lui promet tellement qu'il ne saurait abandonner ; en croyant que rien n'adviendra jamais. » Heu... y va se passer quelque chose ou non????? Pour moi ces trois passages résument toute l'incompréhension et la confusion que j'ai ressentie à la lecture. Comprends pas! Et en plus, il y a un effet de répétition dans ces phrases qui tournent autour de la même idée. Quelques passages un peu lourds : « Pourquoi la vie est-elle si prometteuse alors que rien n'est tenu ? » si prometteuse, pas très heureux, pas très joli. « Pourquoi est-il si incapable de prendre le risque ? D'arracher son sourire à ceux qui le méritent… » Comprends pas ce que tu veux dire ici. De beaux moments : « Comment sortir de sa torpeur quand les faces grotesques ricanent et se moquent, se cachent et complotent ? Pourquoi s'extasier de la beauté des arbres quand le bûcheron en dévore la chair, quand le Roi mange ses sujets ? » J’aime beaucoup ce passage et le suivant aussi : « Les nuages passent et meurent mais il se tient droit. Des larmes plein la bouche, le cœur rugissant et les yeux tournés vers l'infini, il espère et connaît la vérité. » Au total, j’ai trouvé qu’il avait beaucoup d’émotivité. Et ce malgré les carences que j'ai soulignées. Une relecture plus serrée serait peut-être nécessaire pour mieux préciser ce que tu veux transmettre. |
David
11/3/2009
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour CeeM,
L'espoir et la vie, un couple trop bien assortis, comme dans ce passage : "Pourquoi chercher quand il nous promet qu'on trouvera ?" Quand on cherhe on trouve, c'est une drôle de parabole qui peut être désespérante justement. Pour la forme, le "il" du début qui est incarné par un narrateur désigne à la fin l'espoir, avec un grand E, ce n'est pas un défaut en soi mais sur la longueur, ça semble un accouchement difficile. Le poème raconte tout de cette vision d'une mouette : le décollage, le vol et l'atterrisage, je l'ai lu un peu comme ça de façon imagée, mais je l'ai trouvé inégal à le rendre monotone pour ça. Inégal car certains passages s'étalent à mon goût, comme celui qui suit la toute première phrase : "Pourquoi la vie est-elle ainsi faite ? Douce et blessante." C'est une évidence, alors que d'autres passages sont trop brefs, brumeux, comme : "Comment sortir de sa torpeur quand les faces grotesques ricanent et se moquent, se cachent et complotent ? Pourquoi s'extasier de la beauté des arbres quand le bûcheron en dévore la chair, quand le Roi mange ses sujets ?" Inégal donc, mais monotone quand même car les passages moins bons, les redites je veux dire, étouffent les autres. ce sont des exemples entre parenthèse, ce n'est pas exhaustif de l'un ou de l'autre cas à ma lecture. |
Anonyme
29/9/2016
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
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J'ai eu beaucoup moins de difficultés à aller jusqu'au bout de cette lecture, sans m'ennuyer, mais il reste que cela pourrait être plus concis. Vous donner l'impression d'en faire de trop, je trouve que vous tournez un peu en rond, vous étalez bien trop vos états-d'âme, par des petits détails qui n'apportent rien, sinon créer une sensation de désordre dans votre façon d'écrire, cela manque de fluidité.
Vous larmoyez aussi beaucoup, s'apitoyer sur son sort, n'a jamais servi à grand chose, votre texte est déprimant, surtout que vous rabâchez beaucoup, cela rend l'écrit désagréable. La forme ne m'a pas vraiment plu, ces "aller à la ligne" pour un oui pour un non, là encore accentuent l'effet de pesanteur. Pour le fond, vous exprimez un mal-être qui pour être entendu devrait être abordé d'une manière moins alambiquée. Ce "il", se fait la conversation à voix haute, "il" se parle à lui-même, sans tenir compte de l'auditoire, et cela est nuisible. Vous ne m'avez pas captivé, ni procuré d'émotion. |