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Polza
4/6/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour,
C’est paradoxal, mais j’ai beaucoup apprécié ce poème et pourtant, je suis en panne d’inspiration pour le commenter (je vous l’assure, je ne me moque pas de vous !). J’ai trouvé ce sonnet bien écrit, il respecte bien la forme classique (il me semble) et il est originalement développé. « Puisses-tu rallumer pour ma dernière danse, Etincelle de l’âme et des premiers émois, La flamme d’une femme et les feux de l’enfance Que j’ai perdus cent fois, ressuscités cent fois. » Fort belle manière de conclure ce sonnet, le fond et la forme me plaisent. Puisse l’inspiration pour écrire un meilleur commentaire me venir en aide la prochaine fois ! Polza en EL |
Donaldo75
6/6/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Le traitement du thème est réussi ; j’ai quand même du relire le poème à plusieurs reprises avant d’en apprécier réellement la composition. Du côté de la forme, je l’ai trouvé abouti, le sonnet étant progressif entre les quatrains et les tercets, la rime restant musicale et inspirée. C’est plutôt l’angle d’approche qui m’a pris du temps à apprécier ; cela devait probablement dépendre de mon humeur lors de ma première lecture et du coup je n’ai pas commenté, me laissant le temps de reprendre l’ouvrage affiché sous mes yeux et de le regarder sous une autre perspective.
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Cristale
17/6/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Une source qui, à mon humble avis, n’est ni de Dieu ni de Diable mais qui naît de la sensibilité d’un esprit ouvert aux sensations d’intensité variable selon la disposition de l’instant. Une source de l’Amour ? Sans nul doute oui, elle peut s’ouvrir aussi pour inonder des cheminements de pensée lors d’émotions amoureuses et entraîner le poète dans de charmantes circonvolutions romantiques.
Un avant-propos… bien à propos… qui m’a, justement, inspiré ces quelques réflexions. Du premier vers, belle image fœtale que cette inspiration qui se glisse «du sac amniotique » pour se nicher dans le cœur, le corps et l’esprit du narrateur jusqu’à le mettre en transe (ou trance c’est pareil). Son pouvoir est magique et j’imagine aisément les moments de béatitude qui habitent celui à qui elle s’offre dans la création poétique, picturale ou musicale. Le premier quatrain réussit à exprimer tout cela puis nous conduit dans le second à ces périodes où tout semble éteint, où plus rien ne vient stimuler la pensée, où « l’encrier » de l’âme reste vide. La belle au bois dormant ne se réveille plus, c’est inquiétant et douloureux ! J’ai bien aimé la personnification et la transposition de l’inspiration dans cette attente, parfois longue, de retrouver les plaisirs orgasmiques. Toute création n’est-elle pas la suite de douleurs jouissives, de plaisirs intenses suivis d’une mise au monde ? Le premier tercet joue encore avec la personnification : « le gardien » « de sa virginité » « au lit du quotidien » est absolument touchant. Belle image. La déesse « inspiration » du deuxième tercet redevient cette « étincelle » dont le vœu du narrateur est qu’elle rallume « la flamme » d’une « femme », « les feux de l’enfance ». Beaucoup de nostalgie émane de ce ravissant sonnet au discours fluide et copieux en images très représentatives de la pensée. La voix poétique était bien inspirée lors de cet écrit. Évoquer ce mystérieux sujet purement éthéré qu’est l’inspiration, le plaisir de la connaître, l’inquiétude de son absence, le doute de son retour, le vœu de la retrouver, tout cela en quatorze alexandrins de bon aloi, je dis bravo. Un peu long ce commentaire ^^... (je précise que je n'utilise pas, et n'utiliserai jamais l'I.A... ni en écriture, ni en commentaires, rien que mes modestes mots et ma propre pensée). Désolée, mais le thème et la façon de le traiter m'ont… inspirée. |
Robot
17/6/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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De nombreux poèmes traitent du thème de l'inspiration.
Ce qui m'a plu dans la découverte de celui-ci, c'est qu'il ne généralise pas. C'est une vision personnelle de l'inspiration, celle du narrateur. La rédaction classique est fluide, les rimes diverses et assez originales. |
papipoete
18/6/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour cervantes
et sancho pensa... à doter votre plume, d'un beau coup d'imagination, remontant à l'origine du tout début, jaillie au sein de la mère. bien sûr que le sujet de savoir quoi écrire, sans qu'un maître dise : thème : l'inspiration ; vous avez deux heures ! varie selon chaque personne : moi, par exemple lorsque la nature devant ma fenêtre, ne me tire pas quelques lignes, je retourne à l'aube de ma vie et j'ouvre ces tiroirs, où sont rangés mes souvenirs ! NB vous écrivez avec force images, plus touchantes les unes que les autres, comme dans la première strophe, puits de savoir jamais tari. Il fallait la trouver la rime " amniotique et hypnotique " hollé ! l'alexandrin semble l'ami de votre plume, à le voir se balader sur ses 12 pieds sans trébucher. |
Quidonc
18/6/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime bien
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Le poète interroge sur la source de son inspiration : "est-ce Dieu, est-ce le diable, est-ce toi, mon Amour ?" Cette question initiale place l'inspiration dans un cadre à la fois sacré et profane, divin et humain.
"L'inspiration" explore avec sensibilité et profondeur la source et la nature de l'inspiration artistique. Sa structure flexible et son langage évocateur en font un poème qui charme et qui se lit avec plaisir. |
GiL
19/6/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Cervantes,
Finalement, j’aime beaucoup, mais j’ai dû m’y rependre à plusieurs fois pour y parvenir… En résumé : - j’adore la chute (quelle belle formule !) ; - j’aime beaucoup le récit de la naissance de l’inspiration ; - j’aime beaucoup les rimes, riches, parfois surprenantes (...celles en « tique ») ; - j’aime bien la personnalisation de l’inspiration et les métaphores qui en découlent, dont celles de sa (ses) relation(s) avec le poète ; - mais j’aime moins la construction de certaines formulations qui m’ont brouillé la comprenette lors de ma première lecture : 1) « Fille du temps qui fuit » me semble bien être une apposition au sujet, alors que fait-elle au milieu des compléments « le réveil... », « l’orgasme... », « l’amour... » ? 2) les vers 9 et 10 sont un tantinet trop alambiqués, à mon goût ; j’ai compris : « Elle seule pourtant fit de moi le gardien / De sa virginité au lit du quotidien. » mais bien sûr, écrit comme ça, ça ne serait pratiquement plus de la poésie… Cela dit, à la lecture des commentaires, j’ai eu l’impression que ce ressenti est personnel. Quoi qu’il en soit, merci Cervantes. |
Provencao
1/8/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour cervantes,
Sublime écrit créant le passage à la fois concret et symbolique d'un monde de l'inspiration dans lequel vivre, raisonner et faire trouvent leur profondeur la plus entière et la plus parlante. Se repérer, se nommer, c'est avant tout s'appuyer et stimuler notre propre décentrement, notre propre manque. Au plaisir de vous lire, Cordialement |