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Anonyme
12/3/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai bien aimé et l'exercice surréaliste me semble réussi. C'est maîtrisé, plutôt agréable.
"Tremblement de ciel dû aux fumées de détresse. Elle en a la gorge sèche, la rocheuse qui paye. Panique dans la collerette puis retour à la case cage. Les marchands marchent sur l’eau, changée en vain." |
Lunastrelle
19/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un poème surréaliste, oui. Mais dont la logique nous guide jusqu'au bout, j'ai bien aimé.
Grande question tout de même: qu'est-ce que le conditionnement? Ce texte s'efforce d'y répondre, du moins de la traduire, et je trouve l'exercice assez réussi. J'ai vu aussi que plusieurs registres de langue se mêlaient, ça rend le texte plus proche de nous, et plus "vrai", en quelque sorte. |
LeopoldPartisan
21/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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vraiment impressionnant que ce texte dont l'accroche m'inquiétait un peu. Vieux reflexe de méfiance vis-à-vis d'un pseudo intellectualisme de bazar. Ici rien de tout cela, si le surréalisme est au rendez-vous, il apporte à l'ensemble une réelle vision novatrice et d'une rare intelligence.
"Une immonde beauté au gré de l’iris se disperse sur la peau puis un fragile déplacement d’atmosphère génère de précieuses galeries souterraines." "L’appétence se propage à travers des régimes où "Je" est un jeu de patience." Bravo "Derrière le panneau il y a un monde pittoresque. Vingt milles lieux dans la tête sans jamais se noyer." |
Pascal31
28/3/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Pour être franc, je n'ai pas compris grand-chose.
Je n'ai peut-être pas fait l'effort nécessaire pour tout saisir, mais il est probable aussi que l'auteur n'ait pas su m'intéresser au fond du problème. Je ne dis pas que c'est uniquement de sa faute (je vois que d'autres commentateurs ont su apprécier), mais pour moi, ce texte est à la fois hermétique et très peu poétique. Désolé. |
Anonyme
28/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je me suis laissé embarquer volontiers par cette roulotte sauvage : sensations garanties, équipées lourdes de sens pour des ailleurs radicaux. Le champ lexical sert à merveille cet univers. Merci pour cette lecture revigorante.
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David
8/4/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Chachnikov,
Le poème semble parler d'enfance, peut-être de sa trace en chacun de nous, il y a deux vers assez explicites : "Les portes de l’enfance sont, au futur, dans de vieilles cultures en mouvement." "Référence au mouvement, l’enfant est éléphant." On parle d'une "mémoire d'éléphant" avec peut-être une mise en avant de la rancune par cette image, pour le "mouvement" c'est moins clair, est-ce en référence au pachyderme et son pas comparée aux "vieilles cultures" qui ne renvoient pas forcement au sens figuré du mot comme "la culture d'un peuple" mais à son sens propre, la culture de ses tulipes par exemple, qui débute le poème. L'impression de rancune, elle me vient aussi de quelques oppositions : "immonde beauté", "Magie du crachoir", "défèquent leurs couleurs" qui parsèment des allusions bien plus oniriques : "C’est une pluie d’étoiles tissant, petit à petit, la moelle d’un rêve authentique." Le dernier passage, sans noirceur, semble promouvoir la bohème, l'imaginaire, propre à ce temps-là. La mise en vers ne m'illustre rien de précis, ça irait autant en prose poétique j'ai l'impression, que faire sinon de ses vers plus longs qu'une ligne, une plus grande page ? |