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Anonyme
26/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Salut ! An dro, la ronde ! Ici, si j'ai bien compris, il s'agit de la ronde infernale qui fait qu'on est dans l'alcool de père en fils sans espoir d'en sortir un jour et avec toutes les dérives que ça implique... Pas très flatteur pour les Bretons, population à laquelle j'appartiens. Au delà de cette remarque et bien que n'étant pas spécialiste de ce "genre poétique", avec quelques retouches de ci de là et un bon accompagnement musical, pourquoi pas ?
J'aime bien ces quatres vers : "C’est la faute au grand-père Qui cachait au lit clos Au grand dam de grand-mère Le vin bu au goulot..." Même si les lits clos ont disparu du paysage depuis un certain temps ! Edit : Salut Chêne ! Même les imbéciles, dont je fais partie, peuvent changer d’avis… d’où la modification de mon appréciation ! J’avais pris ce texte « de travers » alors qu’après relecture il n’y a vraiment pas de quoi fouetter un chat, quand bien même ce dernier serait Breton. Amicalement. Alex … le susceptible ! |
wancyrs
15/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est fantastique et bien trouvé. Les assonances font mouche, l'histoire cohérente, racontée avec un soupçon d'humour, et cette fin qui casse le rythme... Un peu comme si la musique s'arrêtait pour que le chanteur clame :
Mon fils est mal barré ! Pas besoin de musique ici pour apprécier, le texte à lui seul se suffit. |
Lhirondelle
26/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Y a pas à dire, l'auteur s'y entend en "chanson à boire" et le plaisir est d'autant plus grand que la métrique impeccable nous désaltère jusqu'à la lie.
Quelle héridité ! Quelle hilarité ! A boire au deuxième degré sans modération... comme le cidre en somme... ça pétille et ça fait pas de mal... Vivement la musique pour danser cet an dro... Vive la Bretagne et ses chapeaux ronds... |
Pascal31
26/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Dès la première strophe, j'ai eu la musique de "La chanson de Gavroche" en tête et elle m'a accompagnée tout au long de ma lecture. Et j'ai lu d'un trait, un peu comme si j'avais bu cul sec ! Alors bien sûr, je n'ai pas eu l'impression de siroter une coupe de champagne, mais plutôt d'étancher ma soif avec le beaujolais nouveau ! Et c'est tout aussi grisant... Tchin-tchin !
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Arielle
26/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Si c’est héréditaire
C’est pas prémédité" mais voilà un calvaire que j'ai vraiment goûté ! Sans prétention mais efficace et bien enlevée, une joyeuse chanson à boire devant laquelle je lève mon verre : Yec’hed mat |
Raoul
27/2/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Ça chante et grince âpre en un peu creux…
Je ne trouve pas que le narrateur soit concerné par ce qu'il nous chante là… Pourtant un adepte des sujets hors des sentiers battus, voir casse gueule, ici, (sur le déterminisme génétique et social), je n'y trouve pas mon compte. La volonté de réduire le champs sémantique, le point de vue, réduit aussi la poésie… Une vague idée qui ressemble à du Gavroche dans le texte, c'est à peu près tout, navré mais je m'ennuie ferme. |
Anonyme
27/2/2011
a aimé ce texte
Bien ↓
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C'est bien de la mauvaise foi d'ivrogne que d'aller chercher un coupable à son vice... Quant à trouver l'hérédité... C'est quasi imparable, et ça permet surtout de s'arranger avec ses scrupules.
Maintenant, je pense que l’avoir désignée de la même façon qu’on désignait Voltaire et Rousseau comme responsables de tout et n’importe quoi, est une bonne idée. Au niveau de l'écrit, je ne connais pas la règle qui régit l'écriture des chansons. (Ecrit-on la musique avant ou après, par exemple ? Le texte a-t-il de l’importance ?) Je trouve les rimes assez simples (é, ou, ère, eur), sûrement dues à la simplicité ambiante, mais placées sans logique (2 ou 3 selon les strophes). Si la chanson reprend le thème de Gavroche, le narrateur ici est un adulte, ce qui , à mon sens, dénature l'emprunt (n’est-il pas supposé avoir plus de conscience que de nous seriner « c’est pas ma faute » comme un môme piqué la main dans le sac ?). Il me semble que "les merguez et le méchoui qu'on grille au brasero" s'ils font populaire, ne font pas plus ivrogne. Par contre, le bordeaux pour un pochard… On ne se refuse rien ! |
Lunar-K
27/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai toujours bien aimé les chansons populaires, qu'elles soient tournées biture ou bien paillardes.
Il y a quelques temps nous avons eu droit à un excellent chant paillard avec le "joual stylisé" de wancyrs ; voici désormais un chant à boire d'aussi bonne qualité, ou presque. En effet, si l'ensemble est très réussi et très amusant, je trouve que certains vers et certaines rimes sont un peu trop faciles et forcées. Par exemple : "J’ai fait les quatr’ cents coups/Quand j’étais un jeun’ fou" : Je n'aime pas trop ce "jeun' fou". Je crois que cela donnerait mieux avec "Quand j'étais jeune et fou". Je serai curieux d'entendre une version musicale. Il me semble que, peut-être, ces petites imperfections ne seraient plus du tout gênantes alors. Un excellent texte donc, au rythme simple et cohérent ; texte très amusant bien qu'un peu trop facile par moment. Mais peu importe, je ne vais pas gâcher mon plaisir pour aussi peu, j'ai adoré ! |
shanne
27/2/2011
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Bonjour,
Oui, je pense à la chanson de Gavroche et je trouve que c'est dommage, ce n'est que mon simple avis, il ne fallait pas y toucher...j'avais tout simplement envie de le dire mais bon votre texte est bon Je ne note pas et ça n'a aucune importance...pour vous comme pour moi. |
Charivari
4/3/2011
a aimé ce texte
Bien
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Ça tourne, ce petit texte, ça se boit aussi bien qu'un petit verre de rosé. Ça donne envie d'en recommander un, tiens. Et la fin, elle fait très bien rebondir le tout. Le seul défaut, je trouve, c'est que l'idée est la même de la première à la dernière strophe, sans vraie évolution. Certes, vu le sujet c'est logique, mais c'est tout de même dommage
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Lapsus
8/3/2011
a aimé ce texte
Bien
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Voilà une dénonciation amusante de l'art universel de se défausser, probablement héréditaire, lui aussi pur atavisme, ou encore réflexe conditionné, appris dès l'enfance, au temps béni du biberon (coupé à l'eau, peut-être au vin).
Ces hexasyllabes fourmillant d'élisions restituent bien ce parler elliptique où l'on mange autant ses mots que l'on siffle de pinard, ambiance garantie "Les Bas-Fonds de Paris". Versons une larme (de quoi, grand Dieu ?) sur ces pauvres hères. |
framato
9/3/2011
a aimé ce texte
Pas
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Je trouve la plaisanterie un peu facile, le texte assez peu "chantant" et trop sage pour une "pocharderie". Je regrette aussi d'avoir déjà trop entendu c'est la faute à Voltaire et cie...
Je regrette aussi les très très trop nombreuses répétition du texte. Désolé de n'avoir trouvé que peu de sel à cette chanson qui se voulait drôle, mais qui ne m'a guère touché, encore moins fait sourire. Une prochaine fois, peut-être, avec un texte plus original, moins convenu ? |
guillaume
20/3/2011
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Commentaire modéré
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Anonyme
6/5/2011
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Commentaire modéré
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leni
2/12/2013
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salut chene
une chanson ritournelle pour rire style cabaret Plaisant Salut cordial Leni |
Anonyme
15/5/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Formulation qui se décline par des furtifs petits clins d’œil, l'on sait déjà que le plus important n'est pas là, la curiosité est sollicitée, c"est bien. Ah ! on en apprend de bel sur cette famille ...
Cela reste juste distrayant, ce texte n'a rien de transcendant. J'aime bien la phrase de fin, en effet cela promet "Mon fils est mal barré", tu m'étonnes !!! |