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Anonyme
29/1/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Faire des vers de 50 pieds, je ne suis pas pour !!!
C'est vraiment ce que déteste et cela fait deux fois en trois textes... Faire des rimes pour des rimes, où va la poésie ?...écrivez en prose.... |
nico84
29/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai bien aimé Chenier, la longueur des vers ne m'a pas particuliérement géné. J'ai apprecié particuliérement la fin, surtout les deux derniers quatrains, où tristesse, pessimisme, fatalisme se mélent à la réalité. Le début est par contre un peu long à se mettre en route.
"Mais, tu avais trop pleuré ! Les aubes étoilées sont attirantes, Ils avaient gelé la lune rousse et tout le soleil devenait amer." Les conséquences de l'amour peuvent parfois être désastreuses et de grandes ampleurs .... Bravo pour cette création. |
Anonyme
30/1/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Au delà de la métrique, il y a des expressions poétiques incroyables.
C'est parfois pas facile à lire à cause de la rythmique et certaines musiques semblent dissonnantes Disons que la prose aurait peut-être été une meilleure parure pour cette inspiration |
clementine
30/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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La dimension poétique est bien présente et c'est vraiment ce qui compte à mes yeux.
C'est très beau, envoûtant, suave. Bravo. J'adore le dernier vers. |
Anonyme
30/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je vous lis, je vous relis, et plus votre poésie me plaît, elle est atypique avec les vers longs, qui pour moi, ne sont pas un problème, bien au contraire. Vous avez votre style, mais cela je vous l'ai déjà dit, tans pis si je me répète. Un peu d'originalité ne fait pas de mal, surtout lorsque l'écriture est aussi belle.
Dans les premières strophes, vous posez le décor, et peu à peu une situation troublante prend forme, " Est-ce en ces nuits d’amour, que tu dormais dans l’exil ", " Il y avait des oiseaux bleus, dans tes rêves de douleurs ? ". Nous voilà plongé dans un écrit où la souffrance s'exprime, nous cueille, nous enveloppe sous le poids de vos mots si significatifs. Tout l'ensemble est conforme à mon attente, mais je retiendrai vos deux dernières strophes : " J'ai vu des archipels aux rayons de ta céleste lumière ! Et des îles Dans le firmament bleu délirant, ouvert à l’infini aux vogueurs : Est-ce en ces nuits d’amour, que tu dormais dans l’exil Il y avait des oiseaux bleus, dans tes rêves de douleurs ? Mais, tu avais trop pleuré ! Les aubes étoilées sont attirantes, Ils avaient gelé la lune rousse et tout le soleil devenait amer. Dans l’acte d’amour qui m’a transporté, de torpeurs enivrantes. Que ma désespérance éclate en sanglots ! Et mon linceul sera la mer ! " L'Amour nous fait mais aussi parfois nous défait ... |