Plus douce encore sera ta peau, je te l’assure Verts tes yeux, que le soleil a dépeints Et ces taches de rousseurs, sur ton visage d’azur Me lavera de mon désespoir, d’un amour si empreint
Et alors, je me suis baigné dans tes poèmes Un empire d’ondes, d’astres lactescents, Flammes dévorantes sur l’azur vert, d’un amour blême Imprégnant son corps d’étoiles, à coup de délires.
Mouvements lents, où l’amour rutile le jour, Plus fort encore que l’ivresse, plus vastes les lyres Qui fermentent les rougeurs âcres de l’amour. Passions, d’embrasement, d’éclairs, et de trombes.
Et nos amours fougueux, au clair de lune le soir, L’aube magnifiée de l’amour, comme un peuple de colombes J’ai vu quelquefois l’amour, qu’un homme a cru apercevoir.
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