|
|
Anonyme
17/1/2008
a aimé ce texte
Bien
|
J'aime bien: "A cette voix du ciel qui résonne en moi, je me souvenais encore de l'éternité. "Se souvenir de l'éternité", est-ce embrasser l'humilité ou greffer des cernes d'orgueil sur les murs de l'instant? J'aime le titre aussi, il comble nos iris d'insignes vagabondages... Pourtant peut-être que, si je puis me permettre, votre texte souffre-t-il de quelques escarres emphatiques, mais la poésie n'est-elle pas le mégaphone perpétuel de nos pensées muettes? Peut-être et je dis bien peut-être que plus de simplicité donnerait plus de force à votre message...
|
Toscanelli
12/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
|
On vit souvent seul, mais plus encore, on meurt toujours seul, et l'univers, l'infini, les temps infinis, c'est ce qui nous effraie, mais ce qui nous rassure aussi. C'est comme ça que j'ai ressenti ce poème, et je l'aime bien.
|
Anonyme
25/4/2016
a aimé ce texte
Bien
|
Commençons par ce qui a rendu ma lecture un peu difficile, la ponctuation qui me semble parfois maladroite et n'être pas toujours bien placé, ensuite il y a des répétitions ( d'espaces infinis d'espaces de temps - le vent caresse sa monotonie caressante), le mot "infini", est employé rien que trois fois dans ce poème, (espaces infinis, dans l'infini, si infinie), il y a aussi des "qui" un peu trop surtout dans la troisième strophe un peu les uns à la suite des autres.
Ce texte véhicule une étrange émotion, que je n'ai pas réussi totalement à cerner, je pense que ce poème manque un peu de fluidité, de fil conducteur mais il a tout de même un côté interssant. |